Comme je ne connais personne dans la région, je contacte la société Tupperware et lui demande de me mettre en relation avec un groupe, car je dois acheter de la vaisselle. Je suis invitée à une soirée Tupperware, tout ce passe bien et je sympathise avec un petit groupe qui décide de continuer la soirée chez l'une d'entre elle et m'invite les accompagner. Je resiste un peu pour la forme mais suis bientôt entrainée sur le insistance.
L'après midi, nous avions un peu bu. Nous reprenons un petit apéritif en arrivant. Il est 18h30-19h. Je parle peu, elles parlent de mecs, de leur fantasmes. On boit encore. L'une d'entre elle propose de jouer au jeu de la vérité. Ele sont enthousiastes. Là encore je resiste pour la forme mais elle insistent et je suis bien obligée de céder à nouveau.
Elles commence par se poser mutuellement des questions sur les fantasmes des unes et des autres. Elles parlent très librement de fellation, de cunnilingus ou encore de sodomie. Je sens qu'elles se connaissent bien et qu'elles se sont plus ou moins mises toute d'accord pour me faire parler et en connaitre un peu plus sur moi.
Quand vient mon tour, je suis toute rouge. L'une d'entre elle me demande quand j'ai pour la dernière fois fait une fellation. Je baisse les yeux et lui dit que c'était sur un parking.
Elle sont toutes intéressée mais j'ai répondu alors mon tour passe Je pose à mon tour une question. Je la choisie très gentille, plutôt plus que les autres questions posées jusqu'alors. Puis c'est à nouveau moi qui est choisie pour répondre à une question. L'une d'entre elle me demande de décrire la scéne. Je lui dit que c'était il y a plusieurs mois. Que nous nous étions arretés avec mon ancien compagnon sur le parking d'une autoroute pour que j'ailles aux toilettes. Il était descendu pour me tenir la porte qui ne fermait pas. Mais il a eu une envie soudaine et m'a fait mettre à genoux et demandé de le prendre dans la bouche. Je ne sais pas dire non alors je l'ai sucé comme ça à genoux dans les toiletttes du parking dont la porte ne fermait même pas. J'ai arrété là mon histoire
Il était tard et certaines ont commencé à s'excuser et partir. J'en ai profité pour m'écliper, sans manquer de laisser à chaune mon téléphone au cas où elle souhaiteraient me revoir. j'ai ré-insister pour dire combien j'étais seule ici et que je connaissais personne.
Quinze jour plus tard , l'une d'entre elle m'a rappelé. Elle m'invitait à manger chez elle. J'étais enthousisate et j'ai promis de tout faire pour me libérer. Le lendemanin je confirmais.
Le repas était un samedi soir. Espérant que le mari serait là, j'ai mis beaucoup de soin à m'habiller comme j'aime, et comme je pense que beaucoup d'homme doivent apprécier : genre bourgeoise, révant de sexe, ou encore,plus concrêtement, sainte nitouche révant de se faire prendre sur la table de la cuisine : chemiser blanc, collier de perles, jupe droite, cheveux attachées petit talons, bas noirs, ... mais avec un petite touche provocante : maquillage soutenu, porte jarretelle visible sous la jupe sérreés, bague "o". Le genre de détails qui n'échappent pas au mâle à l'affût.
Il n'y avait pourtant pas d'homme ce soir là. Juste elle et moi. Très rapidement la conversation est revenu sur la table et j'ai raconté les yeux baissée la suite de l'histoire. Je lui ai dit qu'un gars avait tout vu et que j'avais du rentrer dans la voiture en pleure le visage plein de sperme. Je lui ai dit combien cela plaisait à mon copain de m'humilier, qu'il était très dominateur avec moi et qu'il me forçait souvent à faire des choses difficile pour moi car je suis très timide. Elle m'a demandé comment cela c'était fini avec lui, je lui ai dit que j'étais son juste son amante et qu'il m'avait laissée lorsqu'il était parti à Hong Kong pou sa boite.
On a un peu bu. Le soir nous nous sommes quitté bonne amie, en partant elle m'a discrétement carressé la fesse et fait un bisou sur la bouche (très chaste) en guise d'au revoir.