Je veux croire en la pureté de sentiments : l'amour, le respect, la confiance, ... Je vais me battre pour garder mon innocence ... même si je jouis de savoir mon combat perdu d’avance et ma chute inéluctable.

Trip 2 : Sally refait sa garde robe

Il fallait donc que je fasses des efforts et je savais dans quelle direction!
Dès le lendemein, , ma tenue avait déjà l'égérement changée. J'avais gardé un pantalon mais j'ai opté pour des talons plus haut de quelques centimétres et j'ai mis un vernis rose soutenu avec un rouge à lèvre plus foncé que d'habitude. Le résultat ne s'est pas fait attender : j'ai eu immédiatement des félicitation de mon patron qui m'a dit que j'était rès belle et que j'étais sur la bonne voie.

J'étais heureuse toute la journée après ça. J'e fredonnais même en nettoyant les toilettes. cela a du se remarquer et j'ai eu beaucoup de réflexions gentilles au cours de la journée. Le soir le patron m'a dit qu'il avait hâte d'être demain pour voir qu'elle heuresue surprise je lui réservais.
le soir j'ai pris rendez vous pour le lendemain 12h chez un coiffeur que m'a recommandé Nat, Palnet'hair à Montpellier. Certaines de nos consoeurs s'y rendent. Il était temps de changer ma coupe "années 70" pour une coupe actuelle.

Le soir je me suis fait plaisir, j'ai choisi une jolie culotte et j'ai mis un petit plug pour regarder la télé. ensuite je me suis branler longuement en pensant à ce qu'allar faire de moi mon patron si je lui laissais décider progressivement de mon habillement. A quoi allais ressembler? genre pute en mini jupe et talon aiguille, ou secrétaire en tailleur, voire chretienne intégriste ou une musulmane voilée?



Je passais en revu toutes ces féminités et leur implication sur la vie de tous les jours. Qu'allaient en penser les collégues et mon amie? Et mes connaissances si je les rencontrais dans la rue ? J'ai éjaculé dans ma mains et j'ai tout bu.

Trip 2 : Sally travaille bien mais peut mieux faire

Et je suis fondamentalement une fille facile. Je réve qu'on me mette la main au fesse, mine de rien en passant lorsque je fait la faisselle, dans le métro, le tram, les bius, au cinéma.... Mes les hommes n'osent pas. .. ou si peu. Qu'elle meilleur compiment qu'une main qui vous flatte la croupe?.

Je m'imagine au bureau, dans un cours de management. On nous à dit qu'il fallait parfois toucher son interlocutteur pour s'affirmer comme le leader d'un groupe. Je pense que cela commencera comme ca. Mon patron me touchera l'épaule, me fera m'assoeir à sa place pour me montrer quelque chose sur son écran et me re-touchera discrêtement l'épaule pour obtenir mon attention. Il sera aderrière moi de coté, de sorte que je sois à la hauteur de sa braguette lorsque je tourne la tête. Normalement un patron doit savoir lorsque son assistante est prête à tout. Il pourrait alors me félliciter pour les toilettes et demander si j'aime mon métier, et si je suis bien dans son entreprise.


Pour lui répondre je ne léverai pas les yeux, je les garderai baissés à hauteur de sa braguette. Je lui dirait combien ses félicitations me vont droit au coeur. Combien je souhaite m'épanouir et réussir dans son entreprise. Je lui demanderai alors ce qu'il pense de mon travail.

Il quittera sa place te me demandera de m'assoeir à sa petite table ronde, celle qu'il utilise pour les réunions pour qu'on en discute. Il me dira alors que je fais du très bon boulot. Que je suis très impliquée et qu'il souhaite me garder. Il abordera ensuite, les points à améliorer : ma tenue, trop classique à son goût et pas assez "vendeuse" compte tenu qu'en tant qu'attachée de direction, je représente la société plus que quiconque et que j'accueille nos clients et ses invités. Je lui dit que je suis d'accord, que je ne savais pas exactement ce qu'il voulait et que j'avais opter jusqu'alors un style sobre, pantalon et top avec talons de 2 à 3 cm maxi car je suis très grande mais que j'étais disposer à changer s'il considérait que c'était important. Je laui ai ensuite dit que j'étais timide et plutôt romantique, que ce ne serait pas facile pour moi mais que je voulais réussir à l'accompagner de mon mieux et lui prouver mon engagement et de mon professionnalisme. Il m'a répondu que c'était très bien qu'il n'en attendait pas moins de moi. Un coup de fil important est arrivé et je me suis eclipsé à ce moment.

Trip 2 : Sally au travail!

Je bosses beaucoup. mais en plus il faut que j'assure certaines tâches "spéciale". Ainsi, c'est moi qui suis chargée de faire la petite vaisselle et la propreté des toilettes, je fais ça le matin en arrivant mais aussi maintenant de plus en plus souvent la journée.

Je suis efficace et tout le monde se félicite de m'avoir. Cela fait une économie de femme de ménage, il y a toujours du papier et les toilettes sont propres.

Comme beaucoup de mes consoeurs, je suis une "pisseuse". Nous allons souvent au toilette. C'est pourquoi, peut être on trouve qu'il est légitime que je les nettoie.

En fait dès mon arrivé j'ai toujours fait bien attention à laisser les toilettes propre derrière moi. Un jour, les toilettes étaient très sales et un mail à circulé avec une photo de chiotte dégeulasse. Il était demandé que la personne qui avait salie devait nettoyer. Je suis aller aussitôt les nettoyer, car je ne voulais pas que qu'un des salariés se sente humilié. D'ailleurs, je n'imaginais pas quelqu'un d'autre s'en charger.

J'ai été félicité par tous et très rapidement tous ont pris l'habitude de m'appeler lorsqu'il y avait quelques chose à nettoyer. Suite à ces félicitation, très rapidement, je me suis aussi chargée de la petite vaisselle. Le matin en arrivant, lorsque je vois des tasses et verres dans l'évier je les nettoie.

Je prend un réel plaisir à avoir les mains dans l'évier lorsque les salariés rentrent. Qu'ils voient que je nettoie leur affaire me place indubitablement à une position féminine dans leur esprit. Je fais partie des chic fille, chic et gentille. Et entre gentille et naive il y a le même distance qu'entre naive et facile dans la pensée d'un mec.

Trip 1 : le chantage "Obeis sinon !"

D'un naturel docile et enjoué il m'arrive d'avoir quelques difficultés à obéir à des demandes particulièrement grave, souvent parce qu'elle mettent en péril ma sécurité. Notamment lorsque je ne me refuse à certains actes ou lorsque j'ai peur d'être présentée à certaines personnes sous mon vrai jour. Le plus souvent je m'exécute après une bonne giffle. Mais parfois, il faut me forcer et le chantage est la méthode la plus efficace.

J'ai peur qu'un jour on apprenne qui je suis. Que le postier le sache et en profite, que le gars qui fait la surveillance me coince dans un couloir et qu'il instaure progressivement un droit de cuissage, que ces copains viennent m'attendre à la sortie du bureau...



Bien sûr tous garde les formes, mais sans plus. Il ne veulent pas se compromettre. Au boulot les histoires de sexe font vite jaser. Alors il font juste des allusions, histoire se faire mousser et, qui sait, se faire de nouveau pote sur mon dos.

Voilà ce qu'il me disent dans les couloirs : "Alors il parait que tu t'es bien amusé hier?", "C'était bon? Tu étais en joyeuses compagnie hier en discothèque !", "mais tu changes tout le temps de mec !?. C'est dit suffisament discrêtement et suffisament fort à la fois pour qu'un tiers entende et créé la rumeur. Je les imagine déjà : "Sally a l'air de beaucoup sortir en ce moment. Elle sort avec quelqu'un de l'entreprise mais personne ne sait exactement qui c'est !" "Tu à remarqué qu'elle baisse les yeux quand elle croise X, je serait pas étonné qu'elle soit amoureuse"

Mes Fantasmes

J'aime m'imaginer soumise au désir d'un homme fort ou d'un groupe d'homme pervers qui abuse(nt) de moi, rencontre après rencontre.

J'aime les fantaisies réalistes. Ma préférée reste celle de l'Attachée de Direction humiliée par son patron et quelques employés de l'entreprise . Le patron connait mes goûts et mon petit secret, en abuse. Il me convoque à des réunions fort tard le soir. Je suis obligée de rester. Je dois aussi l'accompagner ou accompagner certains employés sur des salons ou en voyage. Mon amie ne sait rien. Je suis obligée de lui cacher car le patron m'y a obligée. Je serais virée sinon. Il veut que je vive cette vie de mensonge, la peur au ventre, que petit à petit je m'enfonce dans le mensonge jusqu'à l'entretenir moi même et m'y perdre défnitivement.