Trip 3, Chapitre 4 : Sally est bien obligée de céder

Elle était debout devant ma tête lorsque j'entendis la porte s'ouvrir à nouveau et une autre personne rentrer dans la pièce. Prise de panique, et sans me rendant pas compte du ridicule de ma situsation à 4 pattes les fesses à l'air tournées vers la porte, je me redressais prête à repousser l'intrus, mais aussitôt ma copine marreta en m'attrapa les cheveux et me remena fermement la tête sur la moquett ou elle la maintin en l'écrasant avec son pied.

"Viens", "rentre", "regarde comme elle t'attend", "jolies fesses hein, je ne t' avais pas menti!". "et cochonne avec ça"!

Voilà comment je fus présentée au nouvelle arrivant. Un homme de toute évidence, d'après les chaussures que je pouvais voir du coin de l'oeil

"Viens mon chou, assis toi là".
"Comme je te l'ai longuement expliqué, cette petite pute a l'habitude des hommes pervers. Elle n'arrête pas de tomber sur des mecs qui l'humile et la frappe. Ca va pas la changer et tu vas bien t'amuser."
"Bon je vous laisse. Soyez sages . On fait comme convenu..."
Il n'avait toujours pas parlé et j'étais encore tétanisée par terre lorsque j'entendis la porte se refermer derrière mon amie.

Tout cela s'était passé super vite et ma déchéance était encore montée d'un cran. J'étais là à quatre pattes dans mon salon, la culotte sur les cuisses, les fesses nues et rouges tendues vers un inconnu qui connaissait de moi que les cotés le plus dégradants de ma vie intime .

Il me carressa la croupe d'une grosse main et descendi vers mon sexe encore caché par ma culotte baissée. Ils sorties les parties génitales et les saisies à pleine main. De son autre main il m'administra et fessée qui me laissa bouche bée et les yeux pleins de larmes. Je serais tombée sur le coté si il ne m'avait pas maintenue en position en serrant fermement .

J'etais complétement à sa merci et les fesses meurties comme jamais. Il me dit alors qu'il allait vistiter mon appart et que si je bougeais un cheveux il me donnerait une correctoions dont je me souviendrait longtemp. Les larmes aux yeux j'approuvais en hochant la tête. Il me lacha alors, se leva, et alla directement dans ma chambre pendant que je restais là à craindre et le pire mais n'osant bouger.

Je l'entendis ouvrir les tiroirs, les placards et quelques minutes plus tard revenir dans la pièce. Il me saisi à nouveau par les cheveux pour me soulever la tête à quelques centimytre de la moquette et me demander si le gros god qu'il vait trouvé dans ma table de chevet était bien le mien. J'acquiçais le visage rouge toujours tourné vers la moquette. Il demanda si cela me plairait de me montrer combien je l'aimais ce god. Toujours fermement tenue et sans autre choix, j'acquiéssais de nouveau. Il me tartina alors les fesse de crême (ma crême était rangée avec le god), m'attraps une main qu'il me fit passer entre les cuisses et me la guida j'usqu'au mandrin. Il appuya le gland du god sur mon anus et me dit d'y aller.

J'avais toujours la tête sur le sol et il s'était assis dans mon fauteuil. Pendant que je m'enfoncais tant bien que mal mon god devant lui, il me demanda combien de fois jutilisait ce god. "Toutes les semaines, parfois plus souvent". Si j'en avais d'autre. "Oui, au fond de mon armoire". Pourquoi je me goddais. "Pour devenir souple et accueillante". Si je le portais pour sortir. "Non, car c'est encore un peu trop dur". Si j'aimais qu'on m'oblige à le faire "oui et que j'avais besoin d'être guidée pour progresser".

Pendant que je lui répondait le god allais et venait maintenant profondememnt en moi. Il me dit alors de me mettre debout en gardant les yeux basissés, de retirer le gode et de le poser verticalement sur la table du salon et de venir avec lui dans ma chambre choisir des vétements car nous allions sortir. Il parlais de façcon autoritaire mais sans aggressivité. Pour la première fois je voyait en entier mais pas encore son visage même si je pouvais le devinerdu coin de l'oeil. Il étais petit (20cm de moins que moi) un peu fort, rasé, habillait de façon banal, légérement négligé, le monsieur tout le monde que je croise dans la rue tous les jours.


Il me fit passer devant lui et resta derrière moi lorque j'ouvris mon armoire. Il me demanda de choisir une tenue décontractée que nous allions faire un petit tour en bas de chez moi. Un short et des chaussures basse lui irait mais qu'il voulais un chemisier transparent ou très décolleté. Je suivais à la lettre ses instructions et choisi les vetements demandées que je disposais sur mon lit.

Il choisi ma tenue et sortit de la pièce en me demandant de m'habiller avec soin. il referma la porte et j'enfilais les vétements avec fébrillité : il avait choisi une culotte large et blanche, une paire de collant, un body, un short blanc très moulant, une paire de petit escarpins avec 3 cm de talons et pour le haut un soutien gorge blanc et un T-shirt vaporeux, assez décolleté. J'ouvris la porte de ma chambre toute tremblante. Il étais assis transquillement dansmon fauteuil et me regarda en souriant. C'est bien Sally, je suis content de ton obeissance, tu n'a pas à trembler, si tu continue à m'obeir sans poser de question tout se passera bien. Ca va tu es rassurée. Je dit un tout petit "oui".

Il me fit alors venir d'un geste. Je me présentais devant lui la tête baissée. Il demanda de m'agenouiller et de la sucer. Je m'executais immédiatement et sortais de son slip une bite encore molle que je saisie entre mes lévres. Pendant que je le sucais il me dit qu'il allait revenir et s'occuper de moi et que ce serait une des récompenses que je recevrait le plus souvent et qu'il espérait que j'y prenne rapidement le plus grand plaisir. Je lui montrais que j'aimais ça et m'appliquais à lui donner le maximum de plaisir. Il jouit assez vite dans ma bouche et j'avalais son sperme comme aimait que je le fasses mon précédent copain.

Il me fit me relever et m'envoya me faire un brin de toilette et me maquiller dans la salle de bain. il voulais un maquillage soutenu, me demanda combien de temps j'avais besoin et prendre tout ce dont j'avais besoin car il ne voulait pas me revoir avant que j'ai fini.

Après 20 minutes je demandais si je pouvais sortir. "C'est bon, montre moi le résultat", "Ok on y va". "Baisse ton short" Juste avant de sortir il me fit ouvrir mon short baisser mon collant, ouvrir mon body et baisser ma culotte. Il me graissa les fesse et me demanda de masseoir sur le god juste et de bien l'enfoncer puis en me demandant de bien le tenir il me remit ma culotte, agrafa mon body et remonta mes collant et mon short. P.uis il me demanda mon sac, pris les clès et ouvrit la porte pallière

C'est ainsi que nous primes ensemble l'assenseur. Il était peut être 15h, et il faisait très chaud. Suivant les instructions données dans l'ascensseur, je fis le tour du paté de maison alors que lui marhait derrière moi à une certaine distance.

Je rentrais moi vacillante et en sueur car le god m'affaiblissait beacoup. Une fois dans le hall je l'attendis, n'ayant pas les clès. Voyant l'assenceur descendre, je me cachais dans la cage d'escalier. C'est là qu'il me rejoint. Il me dit que j'avais bien fait mais qu'il faudrait que je m'habittue à mon image et que tout se passerait bien, que j'avais bien travaillé mais que pour la forme et parceque je n'était pas rester dans le hall, il aller me donner une petite claque. Il me demanda si je comprennais pourquoi il devait me la donner. je bassait les yeux en répondant à nouveau un petit "oui". Il me fit alors mettre à genoux et me donnea 2 petites claques puis alors que à bout, je sanglotais il me fit me relever et monter les 3 étages en me carressant les fesses.*

Une fois rentrée chez moi, il déposa les clès sur la table, me reconnada de prendre un bain et me demandade répondre impérativement à son prochain coup de fil en me diant qu'il me laisser mle reposer. Il me laissa son numéro sur un pos-tit et parti.

Je m'effondrait sur mon lit, enlevait le god et dormit jusqu'au lendemain matin.



Trip 3, Chapitre 3 : Sally est prise à son propre jeu

Ma copine était très exitée. Ses caresses étaint de plus en plus pressentes. Elle me pelotait maintenant les seins à pleines mains. Je commençais à ne pas être tout à fait rassurée. et montrais des signes de résistance.

Je demandais à rentrer. Ma copine fit la moue mais ne dit rien. Elle se calma immédiatement et nous discutames gentiment pendant encore une petite demi heure avant qu'elle ne remercisse nos hôtes et me propose de partir ensemble. Alors que nous étions devant ma voiture, elle me pris la main et me la serra tendrement en me faisant un baiser dans le cou. Elle me proposa de me raccompagner mais je lui dit que j'était fatiguée. Elle insista et je lui donnait mon adresse et téléphone pour que nous nous rencontrions le lendemain dimanche en début d'après midi.

Je rentrais et me branlais longuement en pensant à la soirée que nous venions de passer. Je n'aurais pas du résister, je le regrettais maintenant. Vers les 2h je m'endormie enfin le sourire aux levres, remplie d'espérance pour le lendemain.

A 13h mon amie sonna à la porte. j'avais réveillée vers les 10h et avais tout de suite entrepris de me préparer pour la recevoir. J'avais pris une douche, je m'était parfumée abondamment, je portais un désabillé transparent et un tablier par dessus. j'avais mangé tôt et m'était ensuite aussitôt mise à récurer toute la maison. je voulais qu'elle me trouve chez moi en bonne petite femme d'intérieur.

Alors que je rangeais, je veillais à mettre en évidence un certain nombre de choses utile. Dans les toilettes, un magazine d'annonce et un de confessions plutôt hard, sur mon lit des desssous sexy et mes plus hauts talons au pied de mon lits, dans le tiroir de ma table de nuit un god de trè sforte taille.

Lorsqu'elle sonna je parue étonnée, J''enlevais mes gants et l'invitait à faire le tour de mon appart, pendant que je défaissait rapidement et confuse mon tablier. Je lui montrais rapidement la chambre en prenant un air géné, et l'invitait à prendre un verre au salon.

Elle semblait très sûre d'elle et de sa position vis à vis de moi. Je me mis donc naturellemen à genoux à ses cotés pour la servir. Elle me pris la main et m'attira vers sa bouche pour un baissé langouseux auquel je erépondit avec abandon. Pendant qu'elle m'embrassait elle me carressait les fesses.

En me remettant à genoux je fis tomber un verre d'eau. Je me précipitais pour éponger l'eau à quatre patte devant elle. Elle me carressa la croupe d'une main ferme. je posais la tête par terre et tendait les fesses. Elle sortit alors de son fauteuil se mis derrière moi et souleva ma jupe baissa ma culotte et m'adminitra quelle que fessée, gentille plutôt émoustillante, lui permettant d'asseoir encore un peu plus son autorité. A la fin elle me demanda de rester dans cette position et me dot juste qu'elle erveniat bientôt avant de s'éclipser. Elle ouvrit la porte est sortit. je restait là la tête sur la moquette, les fesse à l'air, l'attendant alors que mon coeur battait la chamade

Elle revint après un long moment mais qui n'exéda pas à y réfléchir plus d'une dizaine de minute. J'entendi ses pas avec un certaine appréhension me demandant si c'était bien les siens, mais ses félicitations pour la position que j'avais su garder me rassura aussitôt.

Trip 3, Chapitre 2 : Sally se met dans une situation embarrassante

Le lendemain elle m'a rappelée pour m'inviter à nouveau et me présenter à une de ses amies. C'était à nouveau pour samedi et je dus attendre une semaine entière à m'ennuyer à la maison avant de retourner chez elle. Cette fois ci je m'habillais de façon plus accessible, toujours jupe droite mais plus courte et élastique, des talons un peu plus haut, un chemisier rose, un maquillage très étudiés, plus lolita.

Lorsque j'arrivais son amie était là. Elles discutait dans le salon, assise sur les fauteuils. Ma nouvelle amie me fit à nouveau la bise sur la bouche malgrè ma gêne et m'invita à la suivre en me mettant discretement la main aux fesses. . Je ne bronchais pas.

Elle me fit assoeir sur le canapé, à coté de son amie et s'assis à coté de moi. Les deux filles se trouvaient donc de part et d'autre de moi. Ma copine commença alors à raconté à son amie, mon histoire tout en me possant avec insistance la main suir la cuisse à l'orée de mes bas. Je baissais les yeux ne sachant plus ou me mettre et vidait d'un coup le verre de vodka orange qu'elle m'avait servi.

C'est à ce moment là que le copain de ma copine est rentré. Elles ont arrété de discuter de mon histoire mais on continuer à gliousser et se faire des messes basses. Lui ne sembailt pas comprendre mais sa curiosité était clairement en éveil.

Au moment de passer à table elle me plaça à coté de son amie et s'assit en fasse de moi avec son compganon. Pendant tout le repas elle me carressa avec le bout du pied sous la table et son amie voyant ça, m'effleura mine de rien plusieurs fois la cuisse du bout des doigts avec des yeux concupiscents et lourd de sous entendus. je me sentais comme une proie qu'on s'apprête à dévorer.

A la fin du repas on est repassé au salon, et on a reprit de l'alccol. J'étais gaie et la tête me tournait un peu je ne savais plus trop ce que je dissais. Jj'ai voulu aller aux toilettes. Lorsque je sortis, l'amie de ma copine m'attendait à la porte. Elle me demanda l'autorisation de m'enbrasser me disant qu'elle me trouvait très séduisante. Comme j'acquiéssait en bassaint les yeux, à la place d'un chaste bisou, j'eu le droit à un véritable patin et des carresses très appuyées sur les fesses et les seins. Elle me demanda alors de l'attendre et c'est ensemble que nous sommes revenues au salon.





Il était maintenant clair que je sortais avec elle. Elle était très proche de moi, la main ostensiblement posée sur ma cuisse, me carressant doucement. Puis très rapidement se fut les bisous dans le cou devant son couple d'ami qui semblait trouver cela tout à fait normal.