Le lendemain elle m'a rappelée pour m'inviter à nouveau et me présenter à une de ses amies. C'était à nouveau pour samedi et je dus attendre une semaine entière à m'ennuyer à la maison avant de retourner chez elle. Cette fois ci je m'habillais de façon plus accessible, toujours jupe droite mais plus courte et élastique, des talons un peu plus haut, un chemisier rose, un maquillage très étudiés, plus lolita.
Lorsque j'arrivais son amie était là. Elles discutait dans le salon, assise sur les fauteuils. Ma nouvelle amie me fit à nouveau la bise sur la bouche malgrè ma gêne et m'invita à la suivre en me mettant discretement la main aux fesses. . Je ne bronchais pas.
Elle me fit assoeir sur le canapé, à coté de son amie et s'assis à coté de moi. Les deux filles se trouvaient donc de part et d'autre de moi. Ma copine commença alors à raconté à son amie, mon histoire tout en me possant avec insistance la main suir la cuisse à l'orée de mes bas. Je baissais les yeux ne sachant plus ou me mettre et vidait d'un coup le verre de vodka orange qu'elle m'avait servi.
C'est à ce moment là que le copain de ma copine est rentré. Elles ont arrété de discuter de mon histoire mais on continuer à gliousser et se faire des messes basses. Lui ne sembailt pas comprendre mais sa curiosité était clairement en éveil.
Au moment de passer à table elle me plaça à coté de son amie et s'assit en fasse de moi avec son compganon. Pendant tout le repas elle me carressa avec le bout du pied sous la table et son amie voyant ça, m'effleura mine de rien plusieurs fois la cuisse du bout des doigts avec des yeux concupiscents et lourd de sous entendus. je me sentais comme une proie qu'on s'apprête à dévorer.
A la fin du repas on est repassé au salon, et on a reprit de l'alccol. J'étais gaie et la tête me tournait un peu je ne savais plus trop ce que je dissais. Jj'ai voulu aller aux toilettes. Lorsque je sortis, l'amie de ma copine m'attendait à la porte. Elle me demanda l'autorisation de m'enbrasser me disant qu'elle me trouvait très séduisante. Comme j'acquiéssait en bassaint les yeux, à la place d'un chaste bisou, j'eu le droit à un véritable patin et des carresses très appuyées sur les fesses et les seins. Elle me demanda alors de l'attendre et c'est ensemble que nous sommes revenues au salon.
Il était maintenant clair que je sortais avec elle. Elle était très proche de moi, la main ostensiblement posée sur ma cuisse, me carressant doucement. Puis très rapidement se fut les bisous dans le cou devant son couple d'ami qui semblait trouver cela tout à fait normal.
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