Résumé des chapitres précédents :
Depuis que j'ai rencontré Caroline, ma vie est devenue de plus en plus précaire. Je n'ai plus aucune confiance en moi et mes capacités de résister ont fondues aux fils des rencontres qu'ils m'ont imposés. J'ai perdu mon emploi et mes seules ressources sont dorénavant les ménages. Pour tout ceux qui me croisent, je suis au mieux une fille vulgaire et facile au pire une maso à qui nul permission n'est à demander pour profiter d'elle.
Je m'appelle Sally. Au cours d'une soirée j'ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick. Nick et Caroline m'ont rapidement obligée à m'habiller et à me maquiller avec vulgarité. Mes lèvres ont été tatouées et je suis depuis 1 mois un régime engraissant, ce qui accentue mon obsènité dans mes mini-jupes trop petites.
Caroline travaille dans la même entreprise que moi maintenant. Elle a tout raconté à mon patron qui m'avait déjà mis à l'écart suite à mon changement de présentation. Sur ces conseils je serais bientôt plus affectée qu'aux tâches ménagères de l'entreprise. A genoux, j'ai même dû demander à mon patron de "s'occuper de moi". Il ne s'est pas fait prier et, c'est la bouche pleine de sperme, écrasée sous le sexe de caroline se branlant sur mon visage que j'ai appris qu'il allait me trouver un chirurgien pour me faire la poitrine grosse et pendante que veulent Nick et Caroline
Je m'occupe maintenant du ménage des locaux. Je travaille entre midi et deux mais j'arrive vers 11h. J'amène le café à mon patron. et je le suce pendant qu'il le déguste. Il aime me faire remonter le soutien gorge sur la tête et et me dit que ça l'excite que je soit ridicule. Pendant que je le fais doucement remonter et descendre dans ma gorge comme me la demander Caroline, il aime m'écraser les seins et n'arrête pas de me parler de ma future poitrine de femelle. Je commence à me dire que se sera peut être bien, que ainsi je serais plus désirable comme il dit, et que je pourrais avoir peut être un poste de commerciale. Bien sûr ma paye a diminué de moitié, mais mon patron est généreux et je repars souvent avec un billet de 100€ qu'il aime bien me mettre dans les fesses avant que je prenne mon service de ménage.
Ma tenue n'a pas changée, pour le ménage, j'ai des sabots mais le reste est identique, toujours la même jupe en 42 alors qu'avec 5 kilo de plus en à peine un mois, je fais maintenant probablement du 44 voir du 46. Mes soutien-gorges aussi sont trop petit, mes siens débordent un peu au dessus et en dessous. Ils disent que tout le gras que j'ai sur le ventre il vont me le mettre dans les fesses et les lèvres et que serait une vraie petite poupée quand je sortirai de la clinique. Le rendez vous est dans un mois maintenant.
Hier soir Nick est passé avec un ami.
J'étais en train de regarder la télé et j'allais me préparer pour manger quand j'ai entendu ma porte s'ouvrir. Nick, qui a les clés, est rentré suivi immédiatement par un autre homme. Ils avaient un peu bu. Nick me dit qu'ils cherchaient une "petite femelle obéissante pour la soirée" et qu'ils avaient pensait à moi.
Je ne savais pas quoi dire. Nick m'a prise par le bras et m'a dit à l'oreille que son ami venait de se faire larguer, qu'il avait besoin de se changer les idées, et si je ne voulais pas, il donnerait mon nom et mon adresse sur internet, que mon appart deviendrait une maison de passe et que je deviendrais la plus grosse pute du quartier.... alors quand Nick m'a demandé de mettre un film porno puis de venir sucer son ami, je me suis résignée.
J'ai mis le film en marche puis en silence je me suis mise à quatre pattes et j'ai descendu la braguette de son ami qui s'était installé dans mon canapé.
Quand il a été bien dur, Nick m'a demandé d'aller me nettoyer car ils allaient me prendre par derrière à tour de rôle et j'avais intérêt à être propre car sinon il me ferait tout nettoyer avec ma langue.
Nick m'a emmenée dans la salle de bain par le bras et m'a fait mettre à croupie dans la baignoire, Il m'a dit qu'avec les lavements il y a toujours de l'eau qui sort un peu et qui rince ma mouille, et qu'il ne voulait pas que je me fasse de lavement avec le pommeau de la douche, mais uniquement avec un gode. J'ai commencé comme il m'a dit à croupie, mais dès que le gode était souillé je le passais sous le pommeau de la douche avant de me ré-engodé avec.
J'étais déjà bien propre et bien ouverte quand Nick, qui s'impatientait, est passé. quand il a compris ce que j'avais fait il a appelé son ami, ils m'ont traitée d'incapable et m'ont obligée à ramasser les excrément tombées de mes fesses et restés dans la bonde de la baignoire et d'en enduire le gode pour recommencer à me goder en m'interdisant de le laver. "C'est ta mouille qui doit te laver, pas l'eau de la douche".
C'etait très dur pour les fesses de se goder avec un gode plein d'excrément mais ,au bout d'un nouveau long moment le gode ressortait à nouveau bien propre. J'étais en sueur de mes efforts et toute rouge. C'est dans cet état un peu second que je suis venue leur dire que j'étais propre et demander ce que je devais faire.
Nick m'a demandé de commencer par aller leur chercher un nouvelle bière. Puis j'ai du me mettre à quatre patte devant eux et m'écarter les fesses pour monter mon anus.
Son ami m'a enfoncé et doigt, puis m'a attrapée les cheveux et m'a fait me retourner pour me le mettre dans la bouche. J'ai du ensuite le sucer à nouveau. Nick passa derrière moi il me pris les fesses à pleine mains et commença à me défonçer l'anus à grand coup de reins. Après cette longue préparation je n'en pouvais déjà plus et je ne pouvait m'empêcher des spasme de me serrer les fesses et visiblement cela lui plaisait. Régulièrement il poussait à fond pour dépasser mon second sphincter. Je suçais son ami du mieux que je pouvais et il m'écrasait la tête avec ses deux mains sur son sexe. Il était beaucoup plus violent que mon patron qui aime rester de long moment au fond de ma gorge en me pinçant le nez. J'avais des renvois incontrôlés tellement il butait loin au fond de ma gorge.
Quand il m'a prise à son tour je n'en pouvais plus je sentais que mon anus ne pouvais plus rien accepter. Nick pourtant m'a demandé de le prendre dans la bouche pour le nettoyer et a dit à son ami de me prendre bien fort car j'amais souffrir "même si j'en avais pas l'air".
Nick me tenait par les cheveux et, la bite dans sa bouche, je ne pouvais plus bouger. C'était insupportable. Je contractait tellement que j'ai commencé à chacun de ses coup de rein à pisser par terre un liquide qui n'était pas de la pisse, comme un éjaculat de femme fontaine, à moins que ce soit le contenu de ma prostate que se répandait ainsi.
Quand il s'en est aperçu, Nick ma fait sortir sa queue de ma bouche en me tirant par les cheveux, m'a donné une baffe en me demandant d'aller nettoyer cela tout de suite. Son ami est resté en moi pendant qu'à quatre pattes et pleurnichant j'allais chercher une serpillère sous l'évier.
Quand 'ai reprsi Nick dans ma bouche, son ami s'est remis à me défoncer de plus belle et sans rien pouvoir contrôler, j'ai me suis remise à pisser sur ma serpillère. Je n'en pouvait plus, je géniais en continue et je pissais à chacun de ses coups de reins une petite quantité de liquide odorant. Il a enfin éjaculé au fond de moi, Nick m'a lâchée et et je me suis effondrée sur la serpillère trempée. Nick ma rattrapée par les cheveux et m'a demandée de passer la serpillère. Son son ami en rigolant m'a mis son préservatif dans la bouche me félicitant " t'es vraiment bonne"
Nick m'a demandé de la garder pour aller me coucher et m'a recommandé de ne pas perdre pas une goute de son sperme. Quand ils sont partis j'avais encore le préservatif dans la bouche. il me l'on retiré et m'on enfoncé mon plus gros gode dans les fesses en me le calant avec une de mes gaine et je me suis endormie.
Le matin Nick m'avait laissée un mot : "Plus jamais de lavemant à l'eau. Je previens ton patron. On va t'en faire baver. "
Je veux croire en la pureté de sentiments : l'amour, le respect, la confiance, ... Je vais me battre pour garder mon innocence ... même si je jouis de savoir mon combat perdu d’avance et ma chute inéluctable.
Trip 3 chapitre 13, Sally dévoile sa condition à son patron
Résumé des chapitres précédents :
Je m'appelle Sally. Au cours d'une soirée j'ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick . Nick et Caroline m'obligent à m'habiller et à me maquiller comme une prostituée. Ils ont aussi entrepris de modifier mon corps pour leur désirs : mes lèvres ont été tatouées, je suis soumise à un régime engraissant et ils projettent de me faire une poitrine énorme et pendante comme celles des filles du magazine que je dois avoir tout le temps avec moi.
Caroline a fait connaissance de mon patron et est venu travailler avec moi. Je sais qu'elle n'est là que pour me m'assouvir encore plus complètement. Ce matin j'ai du venir au boulot en bougeant des fesses comme si je faisait le tapin et déjà selon Caroline un salarié lui aurait demandé s'il pourrait se me prendre par la bouche.
J'avais fait le café et Caroline m'accompagna pour l'amener au patron.
Alors que je servais le patron, Caroline demanda à lui parler en privé. Il était d'accord et me demanda de sortir et de rester devant la porte. Quelques minutes plus tard, c'est lui qui vint me rechercher.
"Caroline m'a dit que vous n'étiez pas une vrai femme. Je voulais savoir ce que vous aviez à dire sur le sujet".
Sous le regard sans complaisance et un sourire dédaigneux et moqueur de Caroline j'ai du raconter à mon patron que j'avais toujours rêvée d'être une fille mais que j'étais née avec un petit sexe de garçon. Pour finir je lui dit que j'étais suivie médicalement et que je prenais des hormones pour me transformer, que j'avais eu une mammoplastie pour mes seins et que c'est vrai je l'avais trompée par omission en me présentant comme une fille normale.
Puisque je n'avais "plus rien à cacher maintenant" Caroline m'a demandée de baisser ma culotte pour monter à mon patron mon petit sexe. J'étais rouge de honte mais j'obéis en baisant la tête. J'avais la jupe relevée et la culotte sur les genoux quand Caroline ajouta
"Vous conviendrez que pour le moins qu'on puisse dire, une femme pareille ce n'est pas normal ! Sally nous a demandé de l'aider à devenir une vrai femme. Je pense qu'elle serait également ravie que vous vous en occupiez également d'elle plus intimement"
"C'est vrai Sally?"
Je baisais la tête sans répondre alors Caroline enchaina.
"Sally met toi à genoux et demande à ton patron de t'apprendre à être une vrai femme"
Je m'exécutais et je me retrouvais donc à genoux au pied de mon patron
"Monsieur, pourriez vous m'apprendre?, je ferai tout ce que vous voulez."
"Sally, je suis vraiment très surpris par votre comportement mais j'apprécie votre honnêteté. Je vais vous affecter à des taches à votre niveau, comme me l'a suggéré Caroline tout à l'heure. Je suis d'accord avec elle : Une femme comme vous doit apprendre à servir et vous aller commencer tout de suite."
Il sortit son sexe et me le mis dans la bouche.
Pendant que je le faisait durcir en cajolant du mieux possible son sexe avec mes levres et ma langue, Caroline m'encourageait et parlait à mon patron.
"Allez suce le bien profond", "Vous savez, elle est très douée pour les choses du sexe !"
"Je vous recommande aussi son petit cul, elle le travaille chaque soir et je suis sur que c'est en pensant à vous. Elle ne vous l'a pas dit car elle est timide mais elle est folle amoureuse de vous.
Mon patron était très excité maintenant . Il me défonçait maintenant littéralement la bouche à grand coup de rein en me tenant par les cheveux
Caroline continua sur ce thème :
"Si vous le souhaitez nous pourrions distendre son anus et le transformer en vrai petit vagin doux et accueillant. Je vous propose qu'elle ne mange que le matin et avec un lavement chaque soir Je vous garantie qu'elle sera propre pour votre usage personnel toute la journée. Vous pourrais la prendre à votre convenance, quand vous voudrez.
Il m'étouffait. Caroline me dit que je devais avaler son gland et qu'elle voulait voir son gland descendre dans ma gorge.
"On pense aussi lui faire une injection de Botox, pour relâcher complètement ses sphincters, quand pensez vous ? Si elle se chie dessus se sera le soir, c'est son problème"
Il éjacula avec abondance. J'avalais tout en pleurnichant.
J'allais m'essuyer le menton avec les mains mais Caroline m'en empêcha. Elle me fit étendre par terre et souleva sa jupe et s'assit sur mon visage. Caroline me fit étendre les bras et demanda à mon patron de m'écraser les doigts avec ses chaussure pour que je ne bouge pas pendant qu'elle se branlait sur mon visage. Elle dit que j'aimais être contrainte même si je disais le contraire et qu'il ne fallait pas faire attention à mes gémissement de douleur qui était en fait de signe que je prenais réellement plaisir à a situation.
"Vous avez raison Caroline, Je crois que je vais la virer comme vous me l'avez recommandé. Cette chose n'a rien à faire dans mon entreprise. Elle ne viendra plus que pour les ménages et les gros clients, c'est le mieux que je puisse faire compte tenu de sa condition. Avec la lettre qu'elle m'a signé sur les conseil de Nick, je n'aurais aucun problème."
"Je vais m'occuper d'elle. Elle aura les seins quevous m'avez dit qu'elle le souhaitait.
Ne vous en faites pas, je vais contacter le docteur qui a opéré ma femme mais cette fois-ci ce sera pour des vrais gros seins, pas comme ceux de ma femme. On va lui demandé d'injecter du silicone et on les lui faire pendre jusqu'à nombril comme une africaine. T pour le Botox, pourquoi pas c'est peut être une bonne idée."
Je m'appelle Sally. Au cours d'une soirée j'ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick . Nick et Caroline m'obligent à m'habiller et à me maquiller comme une prostituée. Ils ont aussi entrepris de modifier mon corps pour leur désirs : mes lèvres ont été tatouées, je suis soumise à un régime engraissant et ils projettent de me faire une poitrine énorme et pendante comme celles des filles du magazine que je dois avoir tout le temps avec moi.
Caroline a fait connaissance de mon patron et est venu travailler avec moi. Je sais qu'elle n'est là que pour me m'assouvir encore plus complètement. Ce matin j'ai du venir au boulot en bougeant des fesses comme si je faisait le tapin et déjà selon Caroline un salarié lui aurait demandé s'il pourrait se me prendre par la bouche.
J'avais fait le café et Caroline m'accompagna pour l'amener au patron.
Alors que je servais le patron, Caroline demanda à lui parler en privé. Il était d'accord et me demanda de sortir et de rester devant la porte. Quelques minutes plus tard, c'est lui qui vint me rechercher.
"Caroline m'a dit que vous n'étiez pas une vrai femme. Je voulais savoir ce que vous aviez à dire sur le sujet".
Sous le regard sans complaisance et un sourire dédaigneux et moqueur de Caroline j'ai du raconter à mon patron que j'avais toujours rêvée d'être une fille mais que j'étais née avec un petit sexe de garçon. Pour finir je lui dit que j'étais suivie médicalement et que je prenais des hormones pour me transformer, que j'avais eu une mammoplastie pour mes seins et que c'est vrai je l'avais trompée par omission en me présentant comme une fille normale.
Puisque je n'avais "plus rien à cacher maintenant" Caroline m'a demandée de baisser ma culotte pour monter à mon patron mon petit sexe. J'étais rouge de honte mais j'obéis en baisant la tête. J'avais la jupe relevée et la culotte sur les genoux quand Caroline ajouta
"Vous conviendrez que pour le moins qu'on puisse dire, une femme pareille ce n'est pas normal ! Sally nous a demandé de l'aider à devenir une vrai femme. Je pense qu'elle serait également ravie que vous vous en occupiez également d'elle plus intimement"
"C'est vrai Sally?"
Je baisais la tête sans répondre alors Caroline enchaina.
"Sally met toi à genoux et demande à ton patron de t'apprendre à être une vrai femme"
Je m'exécutais et je me retrouvais donc à genoux au pied de mon patron
"Monsieur, pourriez vous m'apprendre?, je ferai tout ce que vous voulez."
"Sally, je suis vraiment très surpris par votre comportement mais j'apprécie votre honnêteté. Je vais vous affecter à des taches à votre niveau, comme me l'a suggéré Caroline tout à l'heure. Je suis d'accord avec elle : Une femme comme vous doit apprendre à servir et vous aller commencer tout de suite."
Il sortit son sexe et me le mis dans la bouche.
Pendant que je le faisait durcir en cajolant du mieux possible son sexe avec mes levres et ma langue, Caroline m'encourageait et parlait à mon patron.
"Allez suce le bien profond", "Vous savez, elle est très douée pour les choses du sexe !"
"Je vous recommande aussi son petit cul, elle le travaille chaque soir et je suis sur que c'est en pensant à vous. Elle ne vous l'a pas dit car elle est timide mais elle est folle amoureuse de vous.
Mon patron était très excité maintenant . Il me défonçait maintenant littéralement la bouche à grand coup de rein en me tenant par les cheveux
Caroline continua sur ce thème :
"Si vous le souhaitez nous pourrions distendre son anus et le transformer en vrai petit vagin doux et accueillant. Je vous propose qu'elle ne mange que le matin et avec un lavement chaque soir Je vous garantie qu'elle sera propre pour votre usage personnel toute la journée. Vous pourrais la prendre à votre convenance, quand vous voudrez.
Il m'étouffait. Caroline me dit que je devais avaler son gland et qu'elle voulait voir son gland descendre dans ma gorge.
"On pense aussi lui faire une injection de Botox, pour relâcher complètement ses sphincters, quand pensez vous ? Si elle se chie dessus se sera le soir, c'est son problème"
Il éjacula avec abondance. J'avalais tout en pleurnichant.
J'allais m'essuyer le menton avec les mains mais Caroline m'en empêcha. Elle me fit étendre par terre et souleva sa jupe et s'assit sur mon visage. Caroline me fit étendre les bras et demanda à mon patron de m'écraser les doigts avec ses chaussure pour que je ne bouge pas pendant qu'elle se branlait sur mon visage. Elle dit que j'aimais être contrainte même si je disais le contraire et qu'il ne fallait pas faire attention à mes gémissement de douleur qui était en fait de signe que je prenais réellement plaisir à a situation.
"Vous avez raison Caroline, Je crois que je vais la virer comme vous me l'avez recommandé. Cette chose n'a rien à faire dans mon entreprise. Elle ne viendra plus que pour les ménages et les gros clients, c'est le mieux que je puisse faire compte tenu de sa condition. Avec la lettre qu'elle m'a signé sur les conseil de Nick, je n'aurais aucun problème."
"Je vais m'occuper d'elle. Elle aura les seins quevous m'avez dit qu'elle le souhaitait.
Ne vous en faites pas, je vais contacter le docteur qui a opéré ma femme mais cette fois-ci ce sera pour des vrais gros seins, pas comme ceux de ma femme. On va lui demandé d'injecter du silicone et on les lui faire pendre jusqu'à nombril comme une africaine. T pour le Botox, pourquoi pas c'est peut être une bonne idée."
Trip 3, chapitre 12, Sally se fait Coacher par Caroline
Résumé des chapitres précédents :
Je m'appelle Sally, je suis d'un naturel excessivement timide et docile.
Au cours d'une soirée entre filles j'ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick dans des conditions telles que je n'avais d'autres choix que d'obéir dorénavant à leur désirs.
Alors que je m'habillais plutôt de façon discrète et sans ostentation, depuis qu'ils s'occupent de moi, je ne mets plus que des jupes, je me maquille de façon appuyée, et mes lèvres ont été tatouées. Par ailleurs Nick et Caroline on décidé de m'engraisser. Un régime à la pomme de terre m'a étét imposé. Enfin je dois emmener partout avec moi dans mon sac à main un magazine sur les fille à gros seins, pour "m'habituer", selon eux, car je serais comme elle un jour.
Nick s'est lié d'amitié avec mon patron et celui-ci a pris Caroline en stage pour travailler dans mon service. Au bureau mes colègues ont pris leur distance. Mon patron m'a demandé de ne plus manger avec eux et mon bureau a été déplacé à l'écart.
...............
Lundi Caroline est venue me prendre à la maison. Elle a choisi le chemisier et la jupe que je porterai aujourd'hui puis nous sommes parties ensemble au bureau avec sa voiture.
Après s'être garées loin des bureaux, quand elle m'a demandé de passer devant elle et de marcher jusqu'au bureaux en me déhanchant comme une pute qui fait le tapin, j'ai refusé. Elle m'a alors saisie et pressé violemment le téton et de l'autre mais m'a donnée une gifle magistrale. il ne lui a fallu que quelque secondes. Alors que j'étais encore surprise et choquée elle s'est rapproché tout sourire de mon oreille et m'a glissé d'un air glacial : "Tu obéis ou je recommence", Je n'ai pas répondu tout de suite alors elle m'a saisie le même sein l'a pressée encore plus fortement et à levée la main. Dans une grimace de douleur , j'ai murmuré "Oui".
"Alors avance maintenant et montre moi comment tu bouge tes grosses fesses" "et attention c'est jusqu'à ton bureau que tu dois marcher ainsi, que je ne te prenne pas à arrêter quand tu passeras devant tes collègues."
Caroline me suivait à 50 mettre comme si ne nous connaissions pas. Quand je suis passée, j'avais les yeux baissés. Les salariés présents sont restés silencieux mais je les voyais du coin de l'oeil se retourner sur mon passage. Un seul a lancé dans mon dos. "Alors Sally, tu ne viens pas nous dire bonjour?". Je ne me suis pas retournée, j'ai accéléré le pas mais j'ai bien entendu les autres pouffer de rire.
Nathalie est arrivée dans le bureau une dizaine de minute plus tard.
"J'ai discuté avec ton admirateur, sympa! Je lui ai demandé de me faire faire le tour de la boite. En tant que nouvelle stagiaire j'y ai le droit non? Je lui ai dit que je travaillais au stock, donc avec toi, il passera tout à l'heure me prendre pour la visite."
Je faisait mine de rien baissant les yeux sur mon clavier et c'est Caroline qui l'accueilli en lui disant "T'as vu le C'est le patron qui a donné un tabouret à Sally", "Une vrai petite secrétaire". En partant Caroline ferma la porte à clés en expliquant que le patron lui l'avais demandé. "Peut être qu'i n'a pas confiance ou qu'il veut la garder pour lui? qui sait?".
Ils revinrent une heure après. Ils avaient sympathisé et il reviendrait la prendre pour aller à la cantine ... "puisque je ne pouvais plus y aller".
Quand elle revint elle m'annonça enjouée que mon collègue serait intéressé pour que je le suce !
J'étais abasourdie. Si je commençais à sucer un collègue, c'est toute la boite qui allait me passer dessus. Je suppliais Caroline de ne pas faire ça, quelle ne se rendait pas compte qu'elle était en stage et que moi je resterai après son pasage. C'était impossible. J'étais affolée, je me suis jetée à ses pieds, lui embrassant les chaussures, lui demandant de me dire que c'était une blague pour me faire marcher. Elle lui ferait promettre que cela resterait entre nous et puis ce ne serait pas si dificile pour moi. ...
Tu n'es pas à un mec prêt non? Tu veux que lui dise de te foutre des baffes en plus et passer chez toi? il faut que je te rappelle Bruno, dans la voiture la dernière fois ? Le fait qu'il soit un de tes collègue ne change rien, tu n'es de tout façon bonne qu'à ça". Tu devrais même me dire merci de faire la maquerrele pour toi
Elle me donna une magistrale claque.
"Enleve ta culotte et met la dans ton sac à main, tu vas en avoir besoin pour t'essuyer le visage". "Je vais t'assouplir le caractère tu vas voir sale petite pute".
Puis elle me força à m'allonger par terre en me tirant par les cheveux, baissa sont jean et s'assis sur mon visage. Son sexe tout ouvert prenait tout mon visage.
Tout t'en se masturbant sur mon nez qu'elle enfonçait profondément dans son vagin elle répétait "Sally va sucer tous les mec de sa boite, sally est une pute" en me tirant les petit cheveux de chaque coté des oreilles. Après quelle eu longuement frotté et que j'étais à moitié étouffée elle jouis et je setnis sa mouille remplir mes narines et ma bouche.
Après m'avoir essayé le visage avec ma culotte elle me demanda de refaire mon "maquillage pute"
Alors que j'étais à peine remise mon patron passa accueillir Caroline. Elle lui dit qu'elle avait déjà commencé à s'occuper de moi, que j'étais très appilquée et proposas à mon patron que j'apporte un petit café quand il voudrait.
Je m'appelle Sally, je suis d'un naturel excessivement timide et docile.
Au cours d'une soirée entre filles j'ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick dans des conditions telles que je n'avais d'autres choix que d'obéir dorénavant à leur désirs.
Alors que je m'habillais plutôt de façon discrète et sans ostentation, depuis qu'ils s'occupent de moi, je ne mets plus que des jupes, je me maquille de façon appuyée, et mes lèvres ont été tatouées. Par ailleurs Nick et Caroline on décidé de m'engraisser. Un régime à la pomme de terre m'a étét imposé. Enfin je dois emmener partout avec moi dans mon sac à main un magazine sur les fille à gros seins, pour "m'habituer", selon eux, car je serais comme elle un jour.
Nick s'est lié d'amitié avec mon patron et celui-ci a pris Caroline en stage pour travailler dans mon service. Au bureau mes colègues ont pris leur distance. Mon patron m'a demandé de ne plus manger avec eux et mon bureau a été déplacé à l'écart.
...............
Lundi Caroline est venue me prendre à la maison. Elle a choisi le chemisier et la jupe que je porterai aujourd'hui puis nous sommes parties ensemble au bureau avec sa voiture.
Après s'être garées loin des bureaux, quand elle m'a demandé de passer devant elle et de marcher jusqu'au bureaux en me déhanchant comme une pute qui fait le tapin, j'ai refusé. Elle m'a alors saisie et pressé violemment le téton et de l'autre mais m'a donnée une gifle magistrale. il ne lui a fallu que quelque secondes. Alors que j'étais encore surprise et choquée elle s'est rapproché tout sourire de mon oreille et m'a glissé d'un air glacial : "Tu obéis ou je recommence", Je n'ai pas répondu tout de suite alors elle m'a saisie le même sein l'a pressée encore plus fortement et à levée la main. Dans une grimace de douleur , j'ai murmuré "Oui".
"Alors avance maintenant et montre moi comment tu bouge tes grosses fesses" "et attention c'est jusqu'à ton bureau que tu dois marcher ainsi, que je ne te prenne pas à arrêter quand tu passeras devant tes collègues."
Caroline me suivait à 50 mettre comme si ne nous connaissions pas. Quand je suis passée, j'avais les yeux baissés. Les salariés présents sont restés silencieux mais je les voyais du coin de l'oeil se retourner sur mon passage. Un seul a lancé dans mon dos. "Alors Sally, tu ne viens pas nous dire bonjour?". Je ne me suis pas retournée, j'ai accéléré le pas mais j'ai bien entendu les autres pouffer de rire.
Nathalie est arrivée dans le bureau une dizaine de minute plus tard.
"J'ai discuté avec ton admirateur, sympa! Je lui ai demandé de me faire faire le tour de la boite. En tant que nouvelle stagiaire j'y ai le droit non? Je lui ai dit que je travaillais au stock, donc avec toi, il passera tout à l'heure me prendre pour la visite."
Je faisait mine de rien baissant les yeux sur mon clavier et c'est Caroline qui l'accueilli en lui disant "T'as vu le C'est le patron qui a donné un tabouret à Sally", "Une vrai petite secrétaire". En partant Caroline ferma la porte à clés en expliquant que le patron lui l'avais demandé. "Peut être qu'i n'a pas confiance ou qu'il veut la garder pour lui? qui sait?".
Ils revinrent une heure après. Ils avaient sympathisé et il reviendrait la prendre pour aller à la cantine ... "puisque je ne pouvais plus y aller".
Quand elle revint elle m'annonça enjouée que mon collègue serait intéressé pour que je le suce !
J'étais abasourdie. Si je commençais à sucer un collègue, c'est toute la boite qui allait me passer dessus. Je suppliais Caroline de ne pas faire ça, quelle ne se rendait pas compte qu'elle était en stage et que moi je resterai après son pasage. C'était impossible. J'étais affolée, je me suis jetée à ses pieds, lui embrassant les chaussures, lui demandant de me dire que c'était une blague pour me faire marcher. Elle lui ferait promettre que cela resterait entre nous et puis ce ne serait pas si dificile pour moi. ...
Tu n'es pas à un mec prêt non? Tu veux que lui dise de te foutre des baffes en plus et passer chez toi? il faut que je te rappelle Bruno, dans la voiture la dernière fois ? Le fait qu'il soit un de tes collègue ne change rien, tu n'es de tout façon bonne qu'à ça". Tu devrais même me dire merci de faire la maquerrele pour toi
Elle me donna une magistrale claque.
"Enleve ta culotte et met la dans ton sac à main, tu vas en avoir besoin pour t'essuyer le visage". "Je vais t'assouplir le caractère tu vas voir sale petite pute".
Puis elle me força à m'allonger par terre en me tirant par les cheveux, baissa sont jean et s'assis sur mon visage. Son sexe tout ouvert prenait tout mon visage.
Tout t'en se masturbant sur mon nez qu'elle enfonçait profondément dans son vagin elle répétait "Sally va sucer tous les mec de sa boite, sally est une pute" en me tirant les petit cheveux de chaque coté des oreilles. Après quelle eu longuement frotté et que j'étais à moitié étouffée elle jouis et je setnis sa mouille remplir mes narines et ma bouche.
Après m'avoir essayé le visage avec ma culotte elle me demanda de refaire mon "maquillage pute"
Alors que j'étais à peine remise mon patron passa accueillir Caroline. Elle lui dit qu'elle avait déjà commencé à s'occuper de moi, que j'étais très appilquée et proposas à mon patron que j'apporte un petit café quand il voudrait.
Trip 3, Chapitre 11, Sally entrevoit son avenir
Résumé des chapitre précédents :
Je m'appelle Sally, je suis d'un naturel excessivement timide et docile, ce qui m'a souvent value d'être humiliée, abusée et même frappée par mes petits copains.
C'est au cours d'une soirée entre filles que j'ai rencontré Caroline. Caroline a tout de suite perçue chez moi une proie facile pour son ami. Elle m'a présenté à Nick dans des conditions telles que je n'avais d'autres choix que d'admettre dorénavant comme naturel pour moi d'accepter ses demandes et celles de Caroline.
Nick a découvert ou je travaillais et s'est lié d'amitié avec mon patron. Depuis qu'il s'occupe de moi je ne mets plus que des jupes et je me maquille de façon appuyée. Cette transformation rapide à été mis sur le compte de la renconre d'un petit ami, elle n'en a pas moins troublé le personnel et mon patron m'a fait aménager un bureau loin des autres salariés.
Ce soir, j'ai du inviter mon patron à diner à la maison, pour le remercié.
La veille, Nick et son amie Caroline m'avait emmenée dans un salon d'esthétique pour le faire tatouer les lèvres avec une teinte rouge permanente . Malgré mes protestations, je m'étais retrouvée avec des lèvres excessivement gonflées pour accueillir mon patron chez moi.
...............
Mon patron s'inquièta de l'absence de Bruno, sensé être mon petit ami, mais je lui dit que nous avioins rompu. Il le regretta et me fit promettre de ne pas revenir sur les changements positifs que cette relation avait provoqué chez moi. notamment sur mon maquillage et sur mes tenues vestimentaires.
Mon patron posa ensuite une question sur mes lèvres. "Vous avez fait quelque chose à vos lèvres, il me semble?", J'étais un peu gênée et Nick a profité de mon hésitation pour répondre. "Sally est aller se faire tatouer les lèvres. Elle aime beaucoup l'idée d'avoir une bouche toujours parfaite. Pour ma part je trouve que la forme et le rouge qu'elle a choisi est vulgaire, mais elle en rêvait depuis si longtemps, n'est ce pas Sally?". J'ai acquiescé.
Mon patron s'est exclamé. "C'est vrai que vos lèvres sont très vulgaire. Je suis sûr que ma femme ne va pas aimer, vous verrez avec elle, mais du moment que cela ne vous empêche pas de bien faire votre travail, ... Vous m'avez assuré que vous étiez très motivée, il va falloir nous montrer tout ça. Je ne crois que ce que je vois " Je n'ai rien répondu, acquiesçant de la tête.
Après avoir débarrassé, les hommes ont continué à discuter sans m'adresser la parole.
Je suis restée debout ne sachant si je devais aller me coucher, attendant un signe au cas où ils aurait eu besoin de moi. Je suis restée une heure comme ça à me dodeliner d'un pied sur l'autre dans un coin de la pièce avant que Nick me dise que je pouvais aller me coucher car j'avais du travail le lendemain. Puis Nick et mon patron sont sortis ensemble prendre un dernier verre.
Le lendemain, je me suis levée à 7 heures, mais je n'ai pas eu le temps de manger. J'ai passé beaucoup de temps à essayer de dissimuler sous du rouge à levre et du fond de teint mes lèvres gonflées et j'étais inquiète de retourner au bureau dans cet état. Peut être que c'est pour cela que je suis arrivée un peu en retard. Mon patron est arrivé après moi . Il est passé peu après dans mon bureau pour me dire que les salariés l'avait informé que j'étais arrivée en retard, qu'il ne ma payait pas à rien faire, et qu'il ne faudrait pas que cela se reproduise. Je pensais qu'il n'en saurait rien et un peu confuse je me suis bien sûr engagée à respecter les horaires du bureau. Il m'a également demandée de ne pas manger au restaurant de l'entreprise car mes lèvres était susceptible de provoquer certains salariés. Il y avait déjà eu des remarques ce matin et j'ai bien sûr accepté.
Je n'avais pas prévu de repas et je ne me voyait pas sortir prendre au sandwich au kebab du coin avec mes lévres déformées. Je trouvais mes lèvres était vraiment horribles et, j'en étais sûr, tout le monde allait me regarder, et se moquer de moi.
Les bureaux devait être fermée pendant l'heure du repas et je ne voulais pas, après être déjà arrivée en retard ce main, avoir une nouvelle remarque de mon patron. J'ai préféré donc restée debout devant la porte de mon bureau et je n'ai donc pas pu manger. A 14h j'ai réouvert mon bureau commencé à travailler sur l'inventaire des fournitures, j'avais très mal au dos du fait de ma longue station debout, mais j'étais rassurée d'avoir fait ce qu'il fallait pour ne pas m'attirer de nouveaux reproches.
Je suis rentré vers 17h. Nick m'a appelée dans la soirée. Il avait été informé par mon patron de sa demande ne pas perturber le personnel. Il était bien sûr d'accord et pensait même que cela était une excellente idée. Quand je lui ai dit que je n'avais pas mangé car je ne voulais pas sortir comme ça, il m'a félicité et m'a dit que cela était au final un mal pour un bien. Je devais penser à préparer mes repas, car ce serait dorénavant toujours comme ça pas de restaurant ni de sortie, je devrais rester dans mon bureau toute la journée. Il me dit qu'en plus il passerait contrôler ce que je mangeais.
Le lendemain et le reste de la semaine mon patron était en déplacement. A par le matin et le soir je n'ai croisé aucun salariée pendant toute la semaine. la réserve était vraiment isolée. Comme demandé, je suis restée dans mon bureau et j'ai mangé le bouef et le gratin que je m'était préparée.
Nick passa avec Caroline le jeudi soir.
Ils me félicitèrent sur mes lèvres qui me donnait un air "très pute". Avec l'oedeme qui les doublait encore de volume, je ressemblais à une poupée gonflable. Nick s'excusa vaguement d'avoir du dire que c'était moi qui les avait choisi mais que c'était mieux ainsi pour moi.
Nick demanda à voir le plat que j'avais préparé et congelé pour cette semaine. Selon lui, la viande n'était pas pour les pauvres et j'avais trop peu de ressources pour gaspiller. Pour me faire passer le gout de la bonne chaire, tu ne mangera à partir de maintenant qe que des patates.
"On va te transformer en canard gras, engraissée à la pomme de terre", rajouta Caroline.
Nick me fit promettre de respecter à la lettre mon nouveau régime et pour faire plaisir à Caroline, j'en mangerai aussi le matin et rien d'autre.
Pour s'assurer de mon obeissance, Caroline demanda à Nick de me faire vider tout mon frigidaire et mes réserve dans un grand sac poubelle. Je ne devais avoir dorénavant chez moi que des pomme de terre. Il étaient tous les deux hilares. " on passera voir régulièrement ta prise de poids, tu as intéret à en plrendre sinon on te gavera à l'entonoir et au baton". J'en avais les larmes aux yeux.
Caroline elle semblait enchantée de venir faire ce petit stage et de s'occuper de moi pendant 15 jours. Elle arriverai Lundi. Elle me dit que j'allais en baver et qu'elle ferait en sorte de faire dévouvrir à mon patron les joie de ma présence à son service.
Elle voulait que j'aménage le bureau pour son arrivée. Elle m'a dit que mon patron lui avait demandé de prendre le grand fauteuil de la pièce d'à coté et qu'elle récupérait évidement mon bureau en attendant qu'on men octroie un nouveau. En attendant je pourrais m'installer sur un coin de son bureau.
Avant de me quitter Caroline sortit de son sac un magazine érotique avec que des filles avec des gros seins. Elle me dit que Nick l'avait acheté sur son conseil. Elle me demanda avec un sourire pervers de le feuilleter et de me masturber chaque soir en regardant bien tous ces gros nichons et en m'imaginant à la place de ces filles, contraintes dorénavant de poser nue pour vivre et nourir leur famille. "Un jour tu seras comme ça alors commence par t'habituer."
Je n'en pouvais plus de leur méchanceté, je leur ai dit que mon corps m'appartenait, et qu'ils ne pouvaient pas dire des choses comme cela, que cela me ferait du mal.
Je me suis pris une grosse gifle de Caroline qui me fit éclater en sanglorts. "Tu te prends pour qui petite pute? Tu nous appartiens, met toi bien ça dans le crâne et on fera de toi ce que qu'on voudra". "Et si tu ne fait pas ce qu'on te dit tu auras affaire à nous. Tu te masturbera comme je te l'ai dis chaque soir, crois moi!"
"Et qu'est ce qu'on fait quand on a du foutre plein les main et qu'on est une pute à gros seins et à grosse lèvres comme toi?" demanda nick
"Je .. je .. ne sais pas."
"Et bien on l'avale et on s'en fait un masque pout la nuit."
"Tu le feras n'est ce pas?"
Je hauchait la tête une nouvelle fois en larme.
Le soir après des pommes de terre à l'eau , j'ai pris le magazine pour le coucher. Ces femmes avaient toutes des seins énormes, et certaines très pendants. Il y en avait de toutes les races. Beaucoup avait mon age ou plus agée. En dernière page il y avait un post-it de Caroline. "tu prendras ce magazine partout avec toi dans mon sac à main. Je vérifierais"
Je me suis branlée en me répétant tout le temps "bientôt toi", "j'aurais des seins comme ça", "je dois obéir, pour caroline et Nick", "ils ont raison tu n'es qu'une pute". Malgrè l'odeur et la sensation visqueuse, j'ai ensuite aspiré le jus et essuyé mes mains sur mon visage avant de m'endormir.
Je m'appelle Sally, je suis d'un naturel excessivement timide et docile, ce qui m'a souvent value d'être humiliée, abusée et même frappée par mes petits copains.
C'est au cours d'une soirée entre filles que j'ai rencontré Caroline. Caroline a tout de suite perçue chez moi une proie facile pour son ami. Elle m'a présenté à Nick dans des conditions telles que je n'avais d'autres choix que d'admettre dorénavant comme naturel pour moi d'accepter ses demandes et celles de Caroline.
Nick a découvert ou je travaillais et s'est lié d'amitié avec mon patron. Depuis qu'il s'occupe de moi je ne mets plus que des jupes et je me maquille de façon appuyée. Cette transformation rapide à été mis sur le compte de la renconre d'un petit ami, elle n'en a pas moins troublé le personnel et mon patron m'a fait aménager un bureau loin des autres salariés.
Ce soir, j'ai du inviter mon patron à diner à la maison, pour le remercié.
La veille, Nick et son amie Caroline m'avait emmenée dans un salon d'esthétique pour le faire tatouer les lèvres avec une teinte rouge permanente . Malgré mes protestations, je m'étais retrouvée avec des lèvres excessivement gonflées pour accueillir mon patron chez moi.
...............
Mon patron s'inquièta de l'absence de Bruno, sensé être mon petit ami, mais je lui dit que nous avioins rompu. Il le regretta et me fit promettre de ne pas revenir sur les changements positifs que cette relation avait provoqué chez moi. notamment sur mon maquillage et sur mes tenues vestimentaires.
Mon patron posa ensuite une question sur mes lèvres. "Vous avez fait quelque chose à vos lèvres, il me semble?", J'étais un peu gênée et Nick a profité de mon hésitation pour répondre. "Sally est aller se faire tatouer les lèvres. Elle aime beaucoup l'idée d'avoir une bouche toujours parfaite. Pour ma part je trouve que la forme et le rouge qu'elle a choisi est vulgaire, mais elle en rêvait depuis si longtemps, n'est ce pas Sally?". J'ai acquiescé.
Mon patron s'est exclamé. "C'est vrai que vos lèvres sont très vulgaire. Je suis sûr que ma femme ne va pas aimer, vous verrez avec elle, mais du moment que cela ne vous empêche pas de bien faire votre travail, ... Vous m'avez assuré que vous étiez très motivée, il va falloir nous montrer tout ça. Je ne crois que ce que je vois " Je n'ai rien répondu, acquiesçant de la tête.
Après avoir débarrassé, les hommes ont continué à discuter sans m'adresser la parole.
Je suis restée debout ne sachant si je devais aller me coucher, attendant un signe au cas où ils aurait eu besoin de moi. Je suis restée une heure comme ça à me dodeliner d'un pied sur l'autre dans un coin de la pièce avant que Nick me dise que je pouvais aller me coucher car j'avais du travail le lendemain. Puis Nick et mon patron sont sortis ensemble prendre un dernier verre.
Le lendemain, je me suis levée à 7 heures, mais je n'ai pas eu le temps de manger. J'ai passé beaucoup de temps à essayer de dissimuler sous du rouge à levre et du fond de teint mes lèvres gonflées et j'étais inquiète de retourner au bureau dans cet état. Peut être que c'est pour cela que je suis arrivée un peu en retard. Mon patron est arrivé après moi . Il est passé peu après dans mon bureau pour me dire que les salariés l'avait informé que j'étais arrivée en retard, qu'il ne ma payait pas à rien faire, et qu'il ne faudrait pas que cela se reproduise. Je pensais qu'il n'en saurait rien et un peu confuse je me suis bien sûr engagée à respecter les horaires du bureau. Il m'a également demandée de ne pas manger au restaurant de l'entreprise car mes lèvres était susceptible de provoquer certains salariés. Il y avait déjà eu des remarques ce matin et j'ai bien sûr accepté.
Je n'avais pas prévu de repas et je ne me voyait pas sortir prendre au sandwich au kebab du coin avec mes lévres déformées. Je trouvais mes lèvres était vraiment horribles et, j'en étais sûr, tout le monde allait me regarder, et se moquer de moi.
Les bureaux devait être fermée pendant l'heure du repas et je ne voulais pas, après être déjà arrivée en retard ce main, avoir une nouvelle remarque de mon patron. J'ai préféré donc restée debout devant la porte de mon bureau et je n'ai donc pas pu manger. A 14h j'ai réouvert mon bureau commencé à travailler sur l'inventaire des fournitures, j'avais très mal au dos du fait de ma longue station debout, mais j'étais rassurée d'avoir fait ce qu'il fallait pour ne pas m'attirer de nouveaux reproches.
Je suis rentré vers 17h. Nick m'a appelée dans la soirée. Il avait été informé par mon patron de sa demande ne pas perturber le personnel. Il était bien sûr d'accord et pensait même que cela était une excellente idée. Quand je lui ai dit que je n'avais pas mangé car je ne voulais pas sortir comme ça, il m'a félicité et m'a dit que cela était au final un mal pour un bien. Je devais penser à préparer mes repas, car ce serait dorénavant toujours comme ça pas de restaurant ni de sortie, je devrais rester dans mon bureau toute la journée. Il me dit qu'en plus il passerait contrôler ce que je mangeais.
Le lendemain et le reste de la semaine mon patron était en déplacement. A par le matin et le soir je n'ai croisé aucun salariée pendant toute la semaine. la réserve était vraiment isolée. Comme demandé, je suis restée dans mon bureau et j'ai mangé le bouef et le gratin que je m'était préparée.
Nick passa avec Caroline le jeudi soir.
Ils me félicitèrent sur mes lèvres qui me donnait un air "très pute". Avec l'oedeme qui les doublait encore de volume, je ressemblais à une poupée gonflable. Nick s'excusa vaguement d'avoir du dire que c'était moi qui les avait choisi mais que c'était mieux ainsi pour moi.
Nick demanda à voir le plat que j'avais préparé et congelé pour cette semaine. Selon lui, la viande n'était pas pour les pauvres et j'avais trop peu de ressources pour gaspiller. Pour me faire passer le gout de la bonne chaire, tu ne mangera à partir de maintenant qe que des patates.
"On va te transformer en canard gras, engraissée à la pomme de terre", rajouta Caroline.
Nick me fit promettre de respecter à la lettre mon nouveau régime et pour faire plaisir à Caroline, j'en mangerai aussi le matin et rien d'autre.
Pour s'assurer de mon obeissance, Caroline demanda à Nick de me faire vider tout mon frigidaire et mes réserve dans un grand sac poubelle. Je ne devais avoir dorénavant chez moi que des pomme de terre. Il étaient tous les deux hilares. " on passera voir régulièrement ta prise de poids, tu as intéret à en plrendre sinon on te gavera à l'entonoir et au baton". J'en avais les larmes aux yeux.
Caroline elle semblait enchantée de venir faire ce petit stage et de s'occuper de moi pendant 15 jours. Elle arriverai Lundi. Elle me dit que j'allais en baver et qu'elle ferait en sorte de faire dévouvrir à mon patron les joie de ma présence à son service.
Elle voulait que j'aménage le bureau pour son arrivée. Elle m'a dit que mon patron lui avait demandé de prendre le grand fauteuil de la pièce d'à coté et qu'elle récupérait évidement mon bureau en attendant qu'on men octroie un nouveau. En attendant je pourrais m'installer sur un coin de son bureau.
Avant de me quitter Caroline sortit de son sac un magazine érotique avec que des filles avec des gros seins. Elle me dit que Nick l'avait acheté sur son conseil. Elle me demanda avec un sourire pervers de le feuilleter et de me masturber chaque soir en regardant bien tous ces gros nichons et en m'imaginant à la place de ces filles, contraintes dorénavant de poser nue pour vivre et nourir leur famille. "Un jour tu seras comme ça alors commence par t'habituer."
Je n'en pouvais plus de leur méchanceté, je leur ai dit que mon corps m'appartenait, et qu'ils ne pouvaient pas dire des choses comme cela, que cela me ferait du mal.
Je me suis pris une grosse gifle de Caroline qui me fit éclater en sanglorts. "Tu te prends pour qui petite pute? Tu nous appartiens, met toi bien ça dans le crâne et on fera de toi ce que qu'on voudra". "Et si tu ne fait pas ce qu'on te dit tu auras affaire à nous. Tu te masturbera comme je te l'ai dis chaque soir, crois moi!"
"Et qu'est ce qu'on fait quand on a du foutre plein les main et qu'on est une pute à gros seins et à grosse lèvres comme toi?" demanda nick
"Je .. je .. ne sais pas."
"Et bien on l'avale et on s'en fait un masque pout la nuit."
"Tu le feras n'est ce pas?"
Je hauchait la tête une nouvelle fois en larme.
Le soir après des pommes de terre à l'eau , j'ai pris le magazine pour le coucher. Ces femmes avaient toutes des seins énormes, et certaines très pendants. Il y en avait de toutes les races. Beaucoup avait mon age ou plus agée. En dernière page il y avait un post-it de Caroline. "tu prendras ce magazine partout avec toi dans mon sac à main. Je vérifierais"
Je me suis branlée en me répétant tout le temps "bientôt toi", "j'aurais des seins comme ça", "je dois obéir, pour caroline et Nick", "ils ont raison tu n'es qu'une pute". Malgrè l'odeur et la sensation visqueuse, j'ai ensuite aspiré le jus et essuyé mes mains sur mon visage avant de m'endormir.
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