Je veux croire en la pureté de sentiments : l'amour, le respect, la confiance, ... Je vais me battre pour garder mon innocence ... même si je jouis de savoir mon combat perdu d’avance et ma chute inéluctable.

Trip 3, Chapitre 11, Sally entrevoit son avenir

Résumé des chapitre précédents :
Je m'appelle Sally, je suis d'un naturel excessivement timide et docile, ce qui m'a souvent value d'être humiliée, abusée et même frappée par mes petits copains.
C'est au cours d'une soirée entre filles que j'ai rencontré Caroline. Caroline a tout de suite perçue chez moi une proie facile pour son ami. Elle m'a présenté à Nick dans des conditions telles que je n'avais d'autres choix que d'admettre dorénavant comme naturel pour moi d'accepter ses demandes et celles de Caroline.
Nick a découvert ou je travaillais et s'est lié d'amitié avec mon patron. Depuis qu'il s'occupe de moi je ne mets plus que des jupes et je me maquille de façon appuyée. Cette transformation rapide à été mis sur le compte de la renconre d'un petit ami, elle n'en a pas moins troublé le personnel et mon patron m'a fait aménager un bureau loin des autres salariés.
Ce soir, j'ai du inviter mon patron à diner à la maison, pour le remercié.
La veille, Nick et son amie Caroline m'avait emmenée dans un salon d'esthétique pour le faire tatouer les lèvres avec une teinte rouge permanente . Malgré mes protestations, je m'étais retrouvée avec des lèvres excessivement gonflées pour accueillir mon patron chez moi.

...............

Mon patron s'inquièta de l'absence de Bruno, sensé être mon petit ami, mais je lui dit que nous avioins rompu. Il le regretta et me fit promettre de ne pas revenir sur les changements positifs que cette relation avait provoqué chez moi. notamment sur mon maquillage et sur mes tenues vestimentaires.
Mon patron posa ensuite une question sur mes lèvres. "Vous avez fait quelque chose à vos lèvres, il me semble?", J'étais un peu gênée et Nick a profité de mon hésitation pour répondre. "Sally est aller se faire tatouer les lèvres. Elle aime beaucoup l'idée d'avoir une bouche toujours parfaite. Pour ma part je trouve que la forme et le rouge qu'elle a choisi est vulgaire, mais elle en rêvait depuis si longtemps, n'est ce pas Sally?". J'ai acquiescé.
Mon patron s'est exclamé. "C'est vrai que vos lèvres sont très vulgaire. Je suis sûr que ma femme ne va pas aimer, vous verrez avec elle, mais du moment que cela ne vous empêche pas de bien faire votre travail, ... Vous m'avez assuré que vous étiez très motivée, il va falloir nous montrer tout ça. Je ne crois que ce que je vois " Je n'ai rien répondu, acquiesçant de la tête.

Après avoir débarrassé, les hommes ont continué à discuter sans m'adresser la parole.
Je suis restée debout ne sachant si je devais aller me coucher, attendant un signe au cas où ils aurait eu besoin de moi. Je suis restée une heure comme ça à me dodeliner d'un pied sur l'autre dans un coin de la pièce avant que Nick me dise que je pouvais aller me coucher car j'avais du travail le lendemain. Puis Nick et mon patron sont sortis ensemble prendre un dernier verre.

Le lendemain, je me suis levée à 7 heures, mais je n'ai pas eu le temps de manger. J'ai passé beaucoup de temps à essayer de dissimuler sous du rouge à levre et du fond de teint mes lèvres gonflées et j'étais inquiète de retourner au bureau dans cet état. Peut être que c'est pour cela que je suis arrivée un peu en retard. Mon patron est arrivé après moi . Il est passé peu après dans mon bureau pour me dire que les salariés l'avait informé que j'étais arrivée en retard, qu'il ne ma payait pas à rien faire, et qu'il ne faudrait pas que cela se reproduise. Je pensais qu'il n'en saurait rien et un peu confuse je me suis bien sûr engagée à respecter les horaires du bureau. Il m'a également demandée de ne pas manger au restaurant de l'entreprise car mes lèvres était susceptible de provoquer certains salariés. Il y avait déjà eu des remarques ce matin et j'ai bien sûr accepté.
Je n'avais pas prévu de repas et je ne me voyait pas sortir prendre au sandwich au kebab du coin avec mes lévres déformées. Je trouvais mes lèvres était vraiment horribles et, j'en étais sûr, tout le monde allait me regarder, et se moquer de moi.
Les bureaux devait être fermée pendant l'heure du repas et je ne voulais pas, après être déjà arrivée en retard ce main, avoir une nouvelle remarque de mon patron. J'ai préféré donc restée debout devant la porte de mon bureau et je n'ai donc pas pu manger. A 14h j'ai réouvert mon bureau commencé à travailler sur l'inventaire des fournitures, j'avais très mal au dos du fait de ma longue station debout, mais j'étais rassurée d'avoir fait ce qu'il fallait pour ne pas m'attirer de nouveaux reproches.

Je suis rentré vers 17h. Nick m'a appelée dans la soirée. Il avait été informé par mon patron de sa demande ne pas perturber le personnel. Il était bien sûr d'accord et pensait même que cela était une excellente idée. Quand je lui ai dit que je n'avais pas mangé car je ne voulais pas sortir comme ça, il m'a félicité et m'a dit que cela était au final un mal pour un bien. Je devais penser à préparer mes repas, car ce serait dorénavant toujours comme ça pas de restaurant ni de sortie, je devrais rester dans mon bureau toute la journée. Il me dit qu'en plus il passerait contrôler ce que je mangeais.

Le lendemain et le reste de la semaine mon patron était en déplacement. A par le matin et le soir je n'ai croisé aucun salariée pendant toute la semaine. la réserve était vraiment isolée. Comme demandé, je suis restée dans mon bureau et j'ai mangé le bouef et le gratin que je m'était préparée.

Nick passa avec Caroline le jeudi soir.
Ils me félicitèrent sur mes lèvres qui me donnait un air "très pute". Avec l'oedeme qui les doublait encore de volume, je ressemblais à une poupée gonflable. Nick s'excusa vaguement d'avoir du dire que c'était moi qui les avait choisi mais que c'était mieux ainsi pour moi.
Nick demanda à voir le plat que j'avais préparé et congelé pour cette semaine. Selon lui, la viande n'était pas pour les pauvres et j'avais trop peu de ressources pour gaspiller. Pour me faire passer le gout de la bonne chaire, tu ne mangera à partir de maintenant qe que des patates.
"On va te transformer en canard gras, engraissée à la pomme de terre", rajouta Caroline.
Nick me fit promettre de respecter à la lettre mon nouveau régime et pour faire plaisir à Caroline, j'en mangerai aussi le matin et rien d'autre.
Pour s'assurer de mon obeissance, Caroline demanda à Nick de me faire vider tout mon frigidaire et mes réserve dans un grand sac poubelle. Je ne devais avoir dorénavant chez moi que des pomme de terre. Il étaient tous les deux hilares. " on passera voir régulièrement ta prise de poids, tu as intéret à en plrendre sinon on te gavera à l'entonoir et au baton". J'en avais les larmes aux yeux.

Caroline elle semblait enchantée de venir faire ce petit stage et de s'occuper de moi pendant 15 jours. Elle arriverai Lundi. Elle me dit que j'allais en baver et qu'elle ferait en sorte de faire dévouvrir à mon patron les joie de ma présence à son service.
Elle voulait que j'aménage le bureau pour son arrivée. Elle m'a dit que mon patron lui avait demandé de prendre le grand fauteuil de la pièce d'à coté et qu'elle récupérait évidement mon bureau en attendant qu'on men octroie un nouveau. En attendant je pourrais m'installer sur un coin de son bureau.

Avant de me quitter Caroline sortit de son sac un magazine érotique avec que des filles avec des gros seins. Elle me dit que Nick l'avait acheté sur son conseil. Elle me demanda avec un sourire pervers de le feuilleter et de me masturber chaque soir en regardant bien tous ces gros nichons et en m'imaginant à la place de ces filles, contraintes dorénavant de poser nue pour vivre et nourir leur famille. "Un jour tu seras comme ça alors commence par t'habituer."
Je n'en pouvais plus de leur méchanceté, je leur ai dit que mon corps m'appartenait, et qu'ils ne pouvaient pas dire des choses comme cela, que cela me ferait du mal.
Je me suis pris une grosse gifle de Caroline qui me fit éclater en sanglorts. "Tu te prends pour qui petite pute? Tu nous appartiens, met toi bien ça dans le crâne et on fera de toi ce que qu'on voudra". "Et si tu ne fait pas ce qu'on te dit tu auras affaire à nous. Tu te masturbera comme je te l'ai dis chaque soir, crois moi!"
"Et qu'est ce qu'on fait quand on a du foutre plein les main et qu'on est une pute à gros seins et à grosse lèvres comme toi?" demanda nick
"Je .. je .. ne sais pas."
"Et bien on l'avale et on s'en fait un masque pout la nuit."
"Tu le feras n'est ce pas?"
Je hauchait la tête une nouvelle fois en larme.

Le soir après des pommes de terre à l'eau , j'ai pris le magazine pour le coucher. Ces femmes avaient toutes des seins énormes, et certaines très pendants. Il y en avait de toutes les races. Beaucoup avait mon age ou plus agée. En dernière page il y avait un post-it de Caroline. "tu prendras ce magazine partout avec toi dans mon sac à main. Je vérifierais"
Je me suis branlée en me répétant tout le temps "bientôt toi", "j'aurais des seins comme ça", "je dois obéir, pour caroline et Nick", "ils ont raison tu n'es qu'une pute". Malgrè l'odeur et la sensation visqueuse, j'ai ensuite aspiré le jus et essuyé mes mains sur mon visage avant de m'endormir.

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