Trip 3, chapitre 9, Sally a de jolies lèvres

Je me préparais donc à recevoir mon patron.

Le Samedi, Nick passa me prendre. Il avait une surprise pour moi. Il m'emmena en voiture jusqu'à un institut de beauté. Il connaissait la patronne qui connaissait aussi Caro. Il me dit qu'ils avaient décidé de me faire maquiller par sa copine pour ce soir, pour fêter ma nouvelle promotion, "mon patron allait adorer"

Ils me firent installer, et discutèrent un moment de mon maquillage. Nick, voulait des lévres plus pulpeuses et des sourcils mieux dessinés. Je tentais bien de dire quelques chose, que je trouvais que le maquillage actuel était un peu trop appuyée, que cela ferait mieux avec les lèvres plus fines, ... mais visiblement ni l'un ni l'autre n'y prétait attention.

L'esthéticienne me démaquilla. Ils partiresnt ensuite discuter dans la pièce voisine avant de revenir m'annoncer que ils allaient me faire un maquillage permanent car cela me convenait le mieux.

J'étais attérée. Cela allait faire mal, cela serait surement raté, je deviendrais une bête de foire. Il m'asurérent que non, que la technique était "maitrisée". C'était de toute façon décidé et il m'assurérent que Lise était la meilleure esthéticienne de Paris pour le maquillage permanent.

Je n'étais pas plus rassurée. Je commençait à vouloir partir mais une gifle vint tout de suite me rappeler à l'ordre. Puis ils me coincérent le bras dans le dos. Ils m'attachérent les bras dans au fauteuil avec une corde qui me cillait les poignets.
Ils commencérent par me raser les sourcils, puis vient le tatouage. je voyais la pointe juste au dessus de mon oeil. Cela faisait horriblement mal. Pourtant j'étais térrorisées à l'idée de bouger.

En suite ils passèrent à la bouche. Cela faisait encore plus mal. Nick me tenait la tête fermement. J'avais l'impression que l'esthéticienne débordaient largement autour de ma bouche, qu'elle me dessinait une bouche monstrueuse. Nick l'encourageait en disant "et là et là" en désignant des zones non tatouées.

Au bout d'une heure ils me montrérent mon visage me lassant attaché. J'étais toute tuméfiée. Je ne vis que mes lèvres énormes et rouge sombre. J'étais horrifié, j'étais devenue un monstre. Je pleurais pendant que Lise et Nick, tout sourire, s'autocongratulant des choix qu'il avaient fait, me disant que cela m'allait parfaitement. Lise me donna de la créme réparatrice. Je tremblais comme une feuilleen l'étalant à l'aveugle sur mes lévres

Je géniais pendant que Lise me maquillait prenant soin de ne pas mettre de maquillage sur les zones traitées. Au bout d'une demi heure de gérémiade, Nick me pris un sein dans sa main et le pressa en me disant que cela suffisait.



Lise me dit qu'il ne ne valait mieux pas que je me maquille plus se soir et ils éclatérent de rire. Lise me maquilla les zones non traitées et je parti sans un regard à la glace.

En arivant je me regardait dans la glace. Mes lévres avaient encore grossies. elles était tuméfiées et trés épaisse maintenant. Elle étaient rouges et gonflées. et j'avais l'air d'un poupée gonflable Je me suis dit que jamais je ne pourrais recevoir mon patron dans cet état.

J'éssayais de les dissimuler sous du fond teint cela me piqua horriblement m'obligeant à me démaquiller les lévres en catastrophe, ce qui les rendis encore plus rouge.

Nick me fis mettre une jupe ras le kiki, mon patron arrivait dans une heure et je devais encore préparer le repas.

Trip 3, Chapitre 8 : Sally change de métier

Depuis notre repas, le regard de mon patron a changé. A la fois plus dur et plus froid, je le trouve pesant et distant. Il me parle plus durement, me réprimande, me critique.

Un collègue est venu pour savoir ce qui se passait, si je me sentais bien. Je lui ai dit que tout allait bien, il m'a demandé si j'avais besoin de soutien. Je luis ai dit que non, que j'étais bien. alors qu'en fait j'étais très déprimée.

Immédiatement j'allais informer mon patron de sa visite. Il me dit que j'avais eu raison que j'avais la bonne attitude. Qu'il fallait se méfier des autres salariés. Que des salariés s'étaient plaint de mon attitude et de ma tenue qu'ils jugeaient provocantes. Que c'était mon droit de m'habiller comme je le voulais.

Il me dit cependant qu'il étaient obligé de marquer le coup en envoyant un courrier officiel. Qu'il ne fallait pas m'inquiéter, que j'avais besoin d'être cadrée, qu'il faisait cela me protéger de mes collègues il allait m'affecter à un espace plus tranquille. Je le remerciait. ne sachant trop à quoi m'en tenir.

Effectivement je recevais le lendemain un RAR mettant en cause la baisse soudaine de la qualité de mon travail et la nécessite de me ressaisir, rappelant que mon maquillage outrancier et mes tenues légére mettait mal à l'aise mes collégues donnait une mauvaise image de la société à nos clients.

Ainsi mes collégues me méprisait. Je me sens de moins en moins sûre de moi.

Dés mon arrivé le lendemain mon patron me convoquait en me demandant si je souhaitais continuer à m'accoutrer de la sorte. Devant mon acquiescement silencieux il me citait plusieurs plainte de collégues puis m'annonçait qui serait alors nécessaire pour la bonne marche et la paix de l'entreprise d'envisager mon licenciement ... à moins que je signe le courrier qu'il avait préparé.

dans ce courrier, qu'il me demandais de recopier à la main, je demandais à être "affectée au service de la gestion des des archives et des stocks, afin d'être mis à distance des collégues que je ne pouvais plus supporter".

Une fois le document dument recopié et signé il me dit que je devais préparer mon départ immédiatement et déménager entre midi et 2 pendant la pose déjeuné pour ne pas géner le fonctionnement de l'entreprise. Le visage défait je préparais les cartons et les portais discrètement à l'heure dite;, en rasant les murs.

Mon bureau était triste et vieux. Mon patron passa après son déjeuner. Il me dit qu'il allait améliorer le mobilier et que je pouvais rentrer chez moi maintenant et prendre des congés jusqu'à vendredi. Que le plus dur était fait et que je n'aurait plus à me soucier de rien. Il me dit même que j'aurai une prime pour surmonter la situation qu'il regrettait tout autant que moi et de ne jamais oublier qu'il était mon seul soutien dans la société.

Lundi quand je suis retournée au travail, mon bureau avait été aménagé. Les rideaux avaient été changés, on m'avait mis au centre de mon bureau un fauteuil pullman en cuir trés confortable, mon bureau avait été changé deplace et mis face la porte, mon ordinateur tournée vers la fenêtre, donnait sur la réserve. Je n' avait pas de siège pour m'asseoier, mais le reste était si extraordinaire que j'oubliais vite ce petit oubli et je pris le tabouret qui était dans un coin.

J'étais toute heureuse et passait le reste de l'aprés midi à défaire mes cartons. Le soir mon patron me dit qu'il aller convoquer les salarié pour leur annoncer mes nouvelles responsabilité. que je pourrais entrendre la réunion depuis mon bureau mais que ce n'était pas la peine de venir. J'entendis en effet les gens se réunir et mon patron aborder différents sujet avant de finir la réunion en leur annoncant que j'avais demandé à être chargée de la gestion des locaux et de l'accueil des fournisseur et que j'avais demandé le bureau de la réserve. Il conclu en disant que les salariés devaient s'en référer à lui en cas de problème sur ces sujets.


Le lendemain je me sentais vraiment chez moi. Mon patron passa me donner les instruction pour la journée. Je lui dit que je n'avais pas de chaise mais que j'avais pris le taboutert. "bonne initiative Sally, continuez".



Le soir, avec l'accord de Nick je passais discretement à son bureau pour lui proposer avec ma petite voix de venir manger à la maison ce WE, pour le remercier. Il accepta, et s'excusa pour sa femme qui ne pourrait pas venir.

Trip 3, chapitre 7 : Sally assume

Le samedi suivi, j'étais invitée chez mon patron. L'aprés midi, Caro, la copine de Nick est passé pour m'apporter une jupe à elle. Une jupe droite, en cuir. Elle m'a dit "à tout à l'heure, 19h au bas de chez toi". Elle m'a fait un bisou sur la bouche.

Je suis à nouveau passée chez Sephora pour un maquillage de soirée. Depuis plus d'une semaine j'étais déjà maquillée trés "soirée" en journée, alors la maquilleuse a du un peu surenchérir pour justifier son travail . Je suis repartie avec des paillettes et des faux cils. Le soir en m'habillant je trouvais que le maquillage et la jupe noire cela faisait un peu trop. J'optais donc pour un chemisier et une petite chaine en or avec ma médaille de baptéme pour donner un mon look un peu tendancieux, un air de bonne famille.

A 19h, comme convenu l'interphone sonna, je descendais rejoindre Nick et sa copine qui m'attendaient en bas dans leur voiture.

En rentrant je m'apperçue qu'il y avait quelqu'un à l'arrière. c'était le copain de Nick qui m'avait ramené et j'avais du sucer la dernière fois. Celui là que mon patron croyait être mon nouveau copain et dont Nick m'avait dit que je n'entenderais plus parler. Tout de suite il me dit bonjour en mettant la main sur ma cuisse. J'étais pétrifiée. Je tentais d'ouvrir la porte. Nick dans le rétro me dit de me calmer qu'il y avait la sécurité enfant.

Il me dit que Bruno était un copain, que c'était un mec bien, et que cela se passerait bien. Qu'il avait pensé que ce serait bien que Bruno soit mon partenaire officiel ce soir car il voulait proposer à mon patron un deal et que cela serait mieux si je venais en couple, que se serait plus rnaturel et que mon patron aurait ainsi plus de facilité à discuter affaire. Que de toute façon mon patron attendait sa venu et ne comprendrait pas que je sois venu sans lui. J'approuvais qu'à demi rassurée. Il me dit alors que j'étais ravissante.

Sa copine me félicita à son tour. Me disant que je pouvais me détendre, qu'il était normal que Bruno assure son rôle aprés le diner de samadi dernier et que d'aprés ce qu'elle, Nick et maintenant Bruno savaient (et tout le monde rigola), ce n'étais vraiment pas la peine de jouer la mijorée. Je ne rigolais pas et m'enfoncait un peu plus dans le fauteuril, en essayant de penser à autre chose. Il ne servait à rien de résister.

Pendant tout le trajet, Bruno, m'embrassa dans le cou, me tirailla délicatement les tétons et me caressa les cuisses, me prenant la main pour me faire sentir son désir. Je résistait mais en arrivant j'étais ruisselante et déjà plus proche de lui qu'au moment du départ. Disont que nous étions à nouveau redevenu "intime".

La propriéte était une maison bourgeoise assez grande à une trentaine de km de Paris. Nos hôtes vinrent nous accueillir sur le peron. Tous sortirent sauf moi qui avait reçu l'ordre de me remaquiller la bouche qui avait un peu bavée. Ils plaisantérent avec mon patron en disant que j'étais une vrai blonde.

Quand je les rejoignis, ils étaitent dans le salon, pour l'apéritif. Ils étaient assis et eurent tous le loissir de me voir arriver, fardée, avec mes lévres bien rouges, mes talons, mon chemisier et ma jupe droitre en cuir. Nick siffla asez vulgairement. "je ne tai jamais vu aussi sexy". Mon patron acquiessa d'un mouvement (involontaire?) du menton, sans mot dire . Bruno commenta, et assura qu'il trouvait cela un peu vulgaire , mais que j'adorais être sexy et que l'essentiel c'était que je me sente bien, que je sois moi même, au moins dans le privé, à défaut de pouvoir l'être plus au bureau. Ce que je me sentais obligée de confirmer rouge de honte par un hochement de tête.

Il y avait plusieurs fauteuil de libre. Bruno me désigna un fauteuil. Il était profond et j'avais l'impression qu'on voyait jusqu'à ma petite culotte. Bruno intervint. "Sally, voyons, tu es indécente, viens te mettre prés de moi plutôt". Il me fit m'asseoir sur l'épaisse moquette entre le fauteuil de Nick et le sien. Je m'asseyais à l'emplacement désigné comme possible compte tenu de ma tenue. La jupe en cuir me contraignait à garder les cuisse serrées, je restais donc droite, à genoux.

La femme de mon patron qui était restée distante lors de notre repas de samedi dernier et avait semblé tiquée à mon arrivé, me classa dès lors définitivement classé dans la catégorie fille de ferme, bébéte, soumise, probablement facile, donc dans la case "quantité négligeable". Elle affichait une moue de mépris qui me fit baisser les yeux. Mon patron était attentif mais distant.

Bruno avait posé son rôle officiel de mâle dominant et Nick afficha ses convictions sur la place de la femme dans la société. Bruno et Nick mettait en avant une certaine autorité naturelle de l'homme, me prenant à témoins et n''hésitant pas à me faire confirmer leur propos. La femme de mon patron observait un silence génée avant d'approuver Caro qui notait immédiatement en me regardant que c'était plus vrai pour certaine femme que pour d'autre. Mon patron acquiesçait poliment.

Nous sommes ensuite passé à table. Bruno qui s'assit à mes coté posa sa main sur ma cuisse qu'il carressa doucement et ostensiblement sans se cacher de nos hôtes. Le début du repas était un peu protocolaire mais à force, cela finit presque par passer inaperçu. A table, la discussion allait bon train, le courant passait bien. L'alcool aidait les langues a se délier. Puis il y eu les blagues sur les blondes, auxquelles je me sentie obligée de répondre. La copine de Nick m'enfoncait : "et vous savez pourquoi... " hein Sally que c'est comme ça une blonde!?"

Au déssert, la femme de mon patron demanda de l'excuser, elle avait eu une dure journée. Elle nous souhaita une bonne faim de soirée. et affirma qu'elle était enchanté d'avoir pu faire plus ample connaissance. En disant cela elle semblait m'ignorer totalement, regardant les autres convives.

Après son départ, la discussion se relâcha encore un peu. Ils firent des grosses allusion, me demandant si j'étais une vrai blonde. Il me firent passer pour une fille facile, soumise, docile, ne sachant rien refuser. Bruno me tripotait de plus belle. "Hein ma belle, que tu aime tout en amour", j'approuvais tout, les yeux baissés, sans mot dire. Je me sentais humiliée, au bord des larmes. Les yeux de mon patron étincelaient.

Il devait étre 23h environ quand Nick aborda alors le business et demanda si il pouvait discuter avec mon patron en privé de ce dont ils avait parlé au téléphone. Il disparurent une demi heure environ. Lorsqu'ils revinrent Bruno et Caro m'avait fait enlever mon soutien gorge et reboutonné sur mes seins nus mon chemisier. J'avais aussi du enlever ma culotte sous ma jupe. A travers le chemisier, ils me pincaient les tétons à tour de rôle en me faisant boire.

Nick entra en premier dans la pièce. Je m'étais tournée vivement à leur arrivé et mon patron, je l'espérais, n'avait pas vu mon état, mais il pouvait le deviner car de dos j'imagine que l'absence de soutien gorge devait attirer le regard. Il gronda gentiment ses amis en leur disant de me laisser tranquille. Puis il dit qu'il était temps de partir. "Merci pour cet excellent repas" , "On fait comme on a dit"." Je pense qu'il faut partir maintenant, Sally a encore top bu". Mes bras sur les seins, rouge de honte, j'approuvais nick et me précipitais pour aller chercher mon manteaux et m'en couvrir.

J'attendis dix minutes avec mon manteau seule dans l'entrée, attendant qu'ils se disent au revoir et promettent de se revoir. Lorsqu'ils me rejoingnirent, mon patron vint me dire au revoir. Il me fit la bise, et me dit qu'il avait été enchanté de me connaître de façon plus "privée". Il me dit à Lundi.

Il était 23h30. Je rentrais avec Nick, Caro et Bruno.

Ils me déposérent et Bruno que je suçais depuis le départ et qui n'avait pas éjaculé demanda à Nick si je pouvais m'avoir pour la soirée. Nick lui dit "bien sûr", "mais ne l'esquinte pas trop hein!!"

Trip 3, Chapitre 6 : Sally Change de look

Nick m'appela dimanche soir pour me dire me dire qu'il passerait me prendre lundi après le bureau et me dire qu'il me voulait maquillée comme vendredi. je lui dit que c'était un maquillage de soir, que cela n'irait pas pour la journée mais il insista et j'acquiesçais.

Le lendemain, j'arrivais donc au travail. J'avais les levres rouges, avec un gloss brillant, les joue creusées au fard et les pommettes bien roses, mes yeux étaient noir charbon rehaussés d'or sur la paupière mobile te d'argent au creux de l'oeil. Les filles eurent un ragard génée, mais les garçons me firent des compliments. Mon patron en apparté, m'a dit qu'il avait passé une trés agréable soirée, qu'il m'avait trouvé très jolie, mais qu'il avait regretté que nous nous ayons si peu eu l'occasion de discuter ensemble, mais quil avait laissé faire la nature et qu'il avait trouvé notre rencontre avec ce jeune homme très touchante. Il conclu en me disant qu'il aimerait inviter mon ami en retour, que j'étais invité et que mon nouveau copain (dit il en me faisant un clin d'oeil) était bien évidemment le bien venu. Je m'offusquais, géné, mais mon maquillage et mon récent changement de look démentait mes propos. Je devais nécessairement être amoureuse.

Comme prévu le soir Nick vint me chercher. Il m'attendait dans la voiture. il me dit que j'étais trés jolie et je devrais me maquiller dorénavant tous les jours jour comme ça. Il me donna des nouvelle de son copain. Il me dit l'avoir "brieffé" sur moi et qu'il ne viendrait plus m'embêter. Effectivement il ne m'avait pas appelé dimanche, ni aujourd'hui. J'étais soulagé et je l'en remerciait.

Trip3 Chapitre 5 : Sally rencontre Bruno

Nick m'appela quelques jours plus tard. Il avait pensé à moi tout le temps. Il avait trés envie de moi. Il me dire qu'il voulait passer me prendre à la sortie du bureau et me raccompagner chez moi. Je lui donnait l'adresse. A 17 heure il m'appelait , il était arrivé en bas et me demandait de venir me chercher. il voulait voir ou je travaillais.

Je le présentais à mon patron comme un ami qui venait me rendre visite. Il se présenta comme journaliste dans un magazine économique régional. Il discutérent un moment. Mon patron lui donna sa carte puis nous partimes.

Sitôt dans la voiture, il me fit me tourner vers lui et me donna un giffle magistrale, me disant qu'il n'admetterait plus dorénavant que je porte des pantalons. Je lui dit que j'avais déjà fait des progrés, que je lui jurais que je n'en porterai plus qu'il n'aurait plus besoin de me gifler pour ça. J'étais en pleur, éffondrée. Il me fit le suçer pendant tout le trajet jusqu'à mon appart. A notre arrivé, il me fit lui remettre tous mes pantalons puis il me défonça littéralement le cul et me laissa là en me disant qu'il m'aimait. En partant il dit " A demain peut être".

J'avais 2 ou trois jupes trés classique, au dessus du genoux dans ma garde robe. Mes collégues ne m'avait jamais vu en jupe, mais dés le ledemain j'étais en jupe.

Au début j'était un peu rouge. mais j'ai vite oublié. Nick ne m'a pas appelé, ce jour là. j'étais triste. pendant 3 jours, rien. j'étais effondrée.

Enfin en rentrant du bureau, je trouvais dans ma boite au lettre un mot. "Je t'invite à une soirée chez moi" un taxi passera te chercher samedi soir à 22h. Je te veux sexy". signé "Nick".

Je prenais immédiatement rendez vous chez Séphora, pour un maquillage de soirée, pour le lendemain. Puis je passais la soirée à essayer toute ma garde robe afin de choisir la tenue qui me mettrait le plus en valeur.

Le lendemain, je demandais à la maquilleuse un maquillage "sexy", car j'étais invité par mon copain à un diner et je voulais le séduire. je passai sle reste de l'ap^rés midi à m'apreter, à me parfumer, à choisir mes bijoux.

A 22h comme convenu le taxi était là. J'arrivais chez Nick. un peu plus tard Ils étaient en train de finir de manger. 5 personne étaitent à table, Nick et son amie, un homme seul qu'il me présenta comme un ami et ... mon patron et sa femme!. Je prenais immédiatement Nick à part et le suppliait de laisser mon travail en dehors de notre relation. Il me dit de ne pas m'inquiéter. Qu'il l'avais invité uniquement pour des raioson professionnel, que je n'aurai qu'à tenir compagnie à son copain. Nick me plaça entre lui etBruno, son copain.

Bruno entrepris tout de suite de me draguer tout de suite. Je le comprends, jolie et apprété come j'étais, je faisais vraiment célibataire de sortie. Au début j'étais méfiante et sur les gardes. Mais tout le monde était gentil, l'ambiance était détendue, j'ai un peu bu. De son coté, Bruno avait le coeur brisé. Il venait de faire larguer par sa copine.

Il m'a dit qu'il me trouvait trés jolie. On a bien rigolé. Nick semblait me couver du regard mais ne disait rien. Je sentais qu'à être plus proche de son copain je lui paraissait gentille, voir que je suscitais en lui un début de sentiment de jalousie qui me rendrait plus désirable?

A chaque fois que je croisais sa copine dans le couloir ou à la cuisine, elle me frolait les fesses, la poitrine ou les cuisse, sans un mot, avec un regard lourd de convoitise. Lui, c'est dans la cuisine, qui passa sa main sous ma robe pour me masser les fesses en me disant qu'il me trouvait belle et en demandant d'aller me remaquiller et d'en profiter pour enlever ma culotte que.

Vers minuit il se faisait tard. la soirée touchait à sa fin. Son copain proposa de me racommpagner. En réponse à meon regard intérrogateur, Nick faire un signe d'acquiessement et j'acquiessais donc à mon tour avec le sourire. Je dit au revoir à mes hôte, à mon patron et à sa femme, avec lesquel j'avais trés peu discuté.

Le copain en question était vraiment collant, il insista lourdement, me tripotant, essayant d'atteindre mon entrecuisse. Il avait fermé sa voiture et je n'avais pas de culotte. Je voyais venir le moment où j'allais me faire violer. A force de discussion et à cours d'argument, je dus me résourdre à lui faire une pipe pour "le consoler" de sa salope de copine qui l'avait laissé tomber.

A 3 heures, le gout du sperme dans la bouche. je rejoignais enfin mon appart, épuissée.