Je veux croire en la pureté de sentiments : l'amour, le respect, la confiance, ... Je vais me battre pour garder mon innocence ... même si je jouis de savoir mon combat perdu d’avance et ma chute inéluctable.

Trip 3, Chapitre 8 : Sally change de métier

Depuis notre repas, le regard de mon patron a changé. A la fois plus dur et plus froid, je le trouve pesant et distant. Il me parle plus durement, me réprimande, me critique.

Un collègue est venu pour savoir ce qui se passait, si je me sentais bien. Je lui ai dit que tout allait bien, il m'a demandé si j'avais besoin de soutien. Je luis ai dit que non, que j'étais bien. alors qu'en fait j'étais très déprimée.

Immédiatement j'allais informer mon patron de sa visite. Il me dit que j'avais eu raison que j'avais la bonne attitude. Qu'il fallait se méfier des autres salariés. Que des salariés s'étaient plaint de mon attitude et de ma tenue qu'ils jugeaient provocantes. Que c'était mon droit de m'habiller comme je le voulais.

Il me dit cependant qu'il étaient obligé de marquer le coup en envoyant un courrier officiel. Qu'il ne fallait pas m'inquiéter, que j'avais besoin d'être cadrée, qu'il faisait cela me protéger de mes collègues il allait m'affecter à un espace plus tranquille. Je le remerciait. ne sachant trop à quoi m'en tenir.

Effectivement je recevais le lendemain un RAR mettant en cause la baisse soudaine de la qualité de mon travail et la nécessite de me ressaisir, rappelant que mon maquillage outrancier et mes tenues légére mettait mal à l'aise mes collégues donnait une mauvaise image de la société à nos clients.

Ainsi mes collégues me méprisait. Je me sens de moins en moins sûre de moi.

Dés mon arrivé le lendemain mon patron me convoquait en me demandant si je souhaitais continuer à m'accoutrer de la sorte. Devant mon acquiescement silencieux il me citait plusieurs plainte de collégues puis m'annonçait qui serait alors nécessaire pour la bonne marche et la paix de l'entreprise d'envisager mon licenciement ... à moins que je signe le courrier qu'il avait préparé.

dans ce courrier, qu'il me demandais de recopier à la main, je demandais à être "affectée au service de la gestion des des archives et des stocks, afin d'être mis à distance des collégues que je ne pouvais plus supporter".

Une fois le document dument recopié et signé il me dit que je devais préparer mon départ immédiatement et déménager entre midi et 2 pendant la pose déjeuné pour ne pas géner le fonctionnement de l'entreprise. Le visage défait je préparais les cartons et les portais discrètement à l'heure dite;, en rasant les murs.

Mon bureau était triste et vieux. Mon patron passa après son déjeuner. Il me dit qu'il allait améliorer le mobilier et que je pouvais rentrer chez moi maintenant et prendre des congés jusqu'à vendredi. Que le plus dur était fait et que je n'aurait plus à me soucier de rien. Il me dit même que j'aurai une prime pour surmonter la situation qu'il regrettait tout autant que moi et de ne jamais oublier qu'il était mon seul soutien dans la société.

Lundi quand je suis retournée au travail, mon bureau avait été aménagé. Les rideaux avaient été changés, on m'avait mis au centre de mon bureau un fauteuil pullman en cuir trés confortable, mon bureau avait été changé deplace et mis face la porte, mon ordinateur tournée vers la fenêtre, donnait sur la réserve. Je n' avait pas de siège pour m'asseoier, mais le reste était si extraordinaire que j'oubliais vite ce petit oubli et je pris le tabouret qui était dans un coin.

J'étais toute heureuse et passait le reste de l'aprés midi à défaire mes cartons. Le soir mon patron me dit qu'il aller convoquer les salarié pour leur annoncer mes nouvelles responsabilité. que je pourrais entrendre la réunion depuis mon bureau mais que ce n'était pas la peine de venir. J'entendis en effet les gens se réunir et mon patron aborder différents sujet avant de finir la réunion en leur annoncant que j'avais demandé à être chargée de la gestion des locaux et de l'accueil des fournisseur et que j'avais demandé le bureau de la réserve. Il conclu en disant que les salariés devaient s'en référer à lui en cas de problème sur ces sujets.


Le lendemain je me sentais vraiment chez moi. Mon patron passa me donner les instruction pour la journée. Je lui dit que je n'avais pas de chaise mais que j'avais pris le taboutert. "bonne initiative Sally, continuez".



Le soir, avec l'accord de Nick je passais discretement à son bureau pour lui proposer avec ma petite voix de venir manger à la maison ce WE, pour le remercier. Il accepta, et s'excusa pour sa femme qui ne pourrait pas venir.

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