Le samedi suivi, j'étais invitée chez mon patron. L'aprés midi, Caro, la copine de Nick est passé pour m'apporter une jupe à elle. Une jupe droite, en cuir. Elle m'a dit "à tout à l'heure, 19h au bas de chez toi". Elle m'a fait un bisou sur la bouche.
Je suis à nouveau passée chez Sephora pour un maquillage de soirée. Depuis plus d'une semaine j'étais déjà maquillée trés "soirée" en journée, alors la maquilleuse a du un peu surenchérir pour justifier son travail . Je suis repartie avec des paillettes et des faux cils. Le soir en m'habillant je trouvais que le maquillage et la jupe noire cela faisait un peu trop. J'optais donc pour un chemisier et une petite chaine en or avec ma médaille de baptéme pour donner un mon look un peu tendancieux, un air de bonne famille.
A 19h, comme convenu l'interphone sonna, je descendais rejoindre Nick et sa copine qui m'attendaient en bas dans leur voiture.
En rentrant je m'apperçue qu'il y avait quelqu'un à l'arrière. c'était le copain de Nick qui m'avait ramené et j'avais du sucer la dernière fois. Celui là que mon patron croyait être mon nouveau copain et dont Nick m'avait dit que je n'entenderais plus parler. Tout de suite il me dit bonjour en mettant la main sur ma cuisse. J'étais pétrifiée. Je tentais d'ouvrir la porte. Nick dans le rétro me dit de me calmer qu'il y avait la sécurité enfant.
Il me dit que Bruno était un copain, que c'était un mec bien, et que cela se passerait bien. Qu'il avait pensé que ce serait bien que Bruno soit mon partenaire officiel ce soir car il voulait proposer à mon patron un deal et que cela serait mieux si je venais en couple, que se serait plus rnaturel et que mon patron aurait ainsi plus de facilité à discuter affaire. Que de toute façon mon patron attendait sa venu et ne comprendrait pas que je sois venu sans lui. J'approuvais qu'à demi rassurée. Il me dit alors que j'étais ravissante.
Sa copine me félicita à son tour. Me disant que je pouvais me détendre, qu'il était normal que Bruno assure son rôle aprés le diner de samadi dernier et que d'aprés ce qu'elle, Nick et maintenant Bruno savaient (et tout le monde rigola), ce n'étais vraiment pas la peine de jouer la mijorée. Je ne rigolais pas et m'enfoncait un peu plus dans le fauteuril, en essayant de penser à autre chose. Il ne servait à rien de résister.
Pendant tout le trajet, Bruno, m'embrassa dans le cou, me tirailla délicatement les tétons et me caressa les cuisses, me prenant la main pour me faire sentir son désir. Je résistait mais en arrivant j'étais ruisselante et déjà plus proche de lui qu'au moment du départ. Disont que nous étions à nouveau redevenu "intime".
La propriéte était une maison bourgeoise assez grande à une trentaine de km de Paris. Nos hôtes vinrent nous accueillir sur le peron. Tous sortirent sauf moi qui avait reçu l'ordre de me remaquiller la bouche qui avait un peu bavée. Ils plaisantérent avec mon patron en disant que j'étais une vrai blonde.
Quand je les rejoignis, ils étaitent dans le salon, pour l'apéritif. Ils étaient assis et eurent tous le loissir de me voir arriver, fardée, avec mes lévres bien rouges, mes talons, mon chemisier et ma jupe droitre en cuir. Nick siffla asez vulgairement. "je ne tai jamais vu aussi sexy". Mon patron acquiessa d'un mouvement (involontaire?) du menton, sans mot dire . Bruno commenta, et assura qu'il trouvait cela un peu vulgaire , mais que j'adorais être sexy et que l'essentiel c'était que je me sente bien, que je sois moi même, au moins dans le privé, à défaut de pouvoir l'être plus au bureau. Ce que je me sentais obligée de confirmer rouge de honte par un hochement de tête.
Il y avait plusieurs fauteuil de libre. Bruno me désigna un fauteuil. Il était profond et j'avais l'impression qu'on voyait jusqu'à ma petite culotte. Bruno intervint. "Sally, voyons, tu es indécente, viens te mettre prés de moi plutôt". Il me fit m'asseoir sur l'épaisse moquette entre le fauteuil de Nick et le sien. Je m'asseyais à l'emplacement désigné comme possible compte tenu de ma tenue. La jupe en cuir me contraignait à garder les cuisse serrées, je restais donc droite, à genoux.
La femme de mon patron qui était restée distante lors de notre repas de samedi dernier et avait semblé tiquée à mon arrivé, me classa dès lors définitivement classé dans la catégorie fille de ferme, bébéte, soumise, probablement facile, donc dans la case "quantité négligeable". Elle affichait une moue de mépris qui me fit baisser les yeux. Mon patron était attentif mais distant.
Bruno avait posé son rôle officiel de mâle dominant et Nick afficha ses convictions sur la place de la femme dans la société. Bruno et Nick mettait en avant une certaine autorité naturelle de l'homme, me prenant à témoins et n''hésitant pas à me faire confirmer leur propos. La femme de mon patron observait un silence génée avant d'approuver Caro qui notait immédiatement en me regardant que c'était plus vrai pour certaine femme que pour d'autre. Mon patron acquiesçait poliment.
Nous sommes ensuite passé à table. Bruno qui s'assit à mes coté posa sa main sur ma cuisse qu'il carressa doucement et ostensiblement sans se cacher de nos hôtes. Le début du repas était un peu protocolaire mais à force, cela finit presque par passer inaperçu. A table, la discussion allait bon train, le courant passait bien. L'alcool aidait les langues a se délier. Puis il y eu les blagues sur les blondes, auxquelles je me sentie obligée de répondre. La copine de Nick m'enfoncait : "et vous savez pourquoi... " hein Sally que c'est comme ça une blonde!?"
Au déssert, la femme de mon patron demanda de l'excuser, elle avait eu une dure journée. Elle nous souhaita une bonne faim de soirée. et affirma qu'elle était enchanté d'avoir pu faire plus ample connaissance. En disant cela elle semblait m'ignorer totalement, regardant les autres convives.
Après son départ, la discussion se relâcha encore un peu. Ils firent des grosses allusion, me demandant si j'étais une vrai blonde. Il me firent passer pour une fille facile, soumise, docile, ne sachant rien refuser. Bruno me tripotait de plus belle. "Hein ma belle, que tu aime tout en amour", j'approuvais tout, les yeux baissés, sans mot dire. Je me sentais humiliée, au bord des larmes. Les yeux de mon patron étincelaient.
Il devait étre 23h environ quand Nick aborda alors le business et demanda si il pouvait discuter avec mon patron en privé de ce dont ils avait parlé au téléphone. Il disparurent une demi heure environ. Lorsqu'ils revinrent Bruno et Caro m'avait fait enlever mon soutien gorge et reboutonné sur mes seins nus mon chemisier. J'avais aussi du enlever ma culotte sous ma jupe. A travers le chemisier, ils me pincaient les tétons à tour de rôle en me faisant boire.
Nick entra en premier dans la pièce. Je m'étais tournée vivement à leur arrivé et mon patron, je l'espérais, n'avait pas vu mon état, mais il pouvait le deviner car de dos j'imagine que l'absence de soutien gorge devait attirer le regard. Il gronda gentiment ses amis en leur disant de me laisser tranquille. Puis il dit qu'il était temps de partir. "Merci pour cet excellent repas" , "On fait comme on a dit"." Je pense qu'il faut partir maintenant, Sally a encore top bu". Mes bras sur les seins, rouge de honte, j'approuvais nick et me précipitais pour aller chercher mon manteaux et m'en couvrir.
J'attendis dix minutes avec mon manteau seule dans l'entrée, attendant qu'ils se disent au revoir et promettent de se revoir. Lorsqu'ils me rejoingnirent, mon patron vint me dire au revoir. Il me fit la bise, et me dit qu'il avait été enchanté de me connaître de façon plus "privée". Il me dit à Lundi.
Il était 23h30. Je rentrais avec Nick, Caro et Bruno.
Ils me déposérent et Bruno que je suçais depuis le départ et qui n'avait pas éjaculé demanda à Nick si je pouvais m'avoir pour la soirée. Nick lui dit "bien sûr", "mais ne l'esquinte pas trop hein!!"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire