Trip 3, Chapitre 4 : Sally est bien obligée de céder

Elle était debout devant ma tête lorsque j'entendis la porte s'ouvrir à nouveau et une autre personne rentrer dans la pièce. Prise de panique, et sans me rendant pas compte du ridicule de ma situsation à 4 pattes les fesses à l'air tournées vers la porte, je me redressais prête à repousser l'intrus, mais aussitôt ma copine marreta en m'attrapa les cheveux et me remena fermement la tête sur la moquett ou elle la maintin en l'écrasant avec son pied.

"Viens", "rentre", "regarde comme elle t'attend", "jolies fesses hein, je ne t' avais pas menti!". "et cochonne avec ça"!

Voilà comment je fus présentée au nouvelle arrivant. Un homme de toute évidence, d'après les chaussures que je pouvais voir du coin de l'oeil

"Viens mon chou, assis toi là".
"Comme je te l'ai longuement expliqué, cette petite pute a l'habitude des hommes pervers. Elle n'arrête pas de tomber sur des mecs qui l'humile et la frappe. Ca va pas la changer et tu vas bien t'amuser."
"Bon je vous laisse. Soyez sages . On fait comme convenu..."
Il n'avait toujours pas parlé et j'étais encore tétanisée par terre lorsque j'entendis la porte se refermer derrière mon amie.

Tout cela s'était passé super vite et ma déchéance était encore montée d'un cran. J'étais là à quatre pattes dans mon salon, la culotte sur les cuisses, les fesses nues et rouges tendues vers un inconnu qui connaissait de moi que les cotés le plus dégradants de ma vie intime .

Il me carressa la croupe d'une grosse main et descendi vers mon sexe encore caché par ma culotte baissée. Ils sorties les parties génitales et les saisies à pleine main. De son autre main il m'administra et fessée qui me laissa bouche bée et les yeux pleins de larmes. Je serais tombée sur le coté si il ne m'avait pas maintenue en position en serrant fermement .

J'etais complétement à sa merci et les fesses meurties comme jamais. Il me dit alors qu'il allait vistiter mon appart et que si je bougeais un cheveux il me donnerait une correctoions dont je me souviendrait longtemp. Les larmes aux yeux j'approuvais en hochant la tête. Il me lacha alors, se leva, et alla directement dans ma chambre pendant que je restais là à craindre et le pire mais n'osant bouger.

Je l'entendis ouvrir les tiroirs, les placards et quelques minutes plus tard revenir dans la pièce. Il me saisi à nouveau par les cheveux pour me soulever la tête à quelques centimytre de la moquette et me demander si le gros god qu'il vait trouvé dans ma table de chevet était bien le mien. J'acquiçais le visage rouge toujours tourné vers la moquette. Il demanda si cela me plairait de me montrer combien je l'aimais ce god. Toujours fermement tenue et sans autre choix, j'acquiéssais de nouveau. Il me tartina alors les fesse de crême (ma crême était rangée avec le god), m'attraps une main qu'il me fit passer entre les cuisses et me la guida j'usqu'au mandrin. Il appuya le gland du god sur mon anus et me dit d'y aller.

J'avais toujours la tête sur le sol et il s'était assis dans mon fauteuil. Pendant que je m'enfoncais tant bien que mal mon god devant lui, il me demanda combien de fois jutilisait ce god. "Toutes les semaines, parfois plus souvent". Si j'en avais d'autre. "Oui, au fond de mon armoire". Pourquoi je me goddais. "Pour devenir souple et accueillante". Si je le portais pour sortir. "Non, car c'est encore un peu trop dur". Si j'aimais qu'on m'oblige à le faire "oui et que j'avais besoin d'être guidée pour progresser".

Pendant que je lui répondait le god allais et venait maintenant profondememnt en moi. Il me dit alors de me mettre debout en gardant les yeux basissés, de retirer le gode et de le poser verticalement sur la table du salon et de venir avec lui dans ma chambre choisir des vétements car nous allions sortir. Il parlais de façcon autoritaire mais sans aggressivité. Pour la première fois je voyait en entier mais pas encore son visage même si je pouvais le devinerdu coin de l'oeil. Il étais petit (20cm de moins que moi) un peu fort, rasé, habillait de façon banal, légérement négligé, le monsieur tout le monde que je croise dans la rue tous les jours.


Il me fit passer devant lui et resta derrière moi lorque j'ouvris mon armoire. Il me demanda de choisir une tenue décontractée que nous allions faire un petit tour en bas de chez moi. Un short et des chaussures basse lui irait mais qu'il voulais un chemisier transparent ou très décolleté. Je suivais à la lettre ses instructions et choisi les vetements demandées que je disposais sur mon lit.

Il choisi ma tenue et sortit de la pièce en me demandant de m'habiller avec soin. il referma la porte et j'enfilais les vétements avec fébrillité : il avait choisi une culotte large et blanche, une paire de collant, un body, un short blanc très moulant, une paire de petit escarpins avec 3 cm de talons et pour le haut un soutien gorge blanc et un T-shirt vaporeux, assez décolleté. J'ouvris la porte de ma chambre toute tremblante. Il étais assis transquillement dansmon fauteuil et me regarda en souriant. C'est bien Sally, je suis content de ton obeissance, tu n'a pas à trembler, si tu continue à m'obeir sans poser de question tout se passera bien. Ca va tu es rassurée. Je dit un tout petit "oui".

Il me fit alors venir d'un geste. Je me présentais devant lui la tête baissée. Il demanda de m'agenouiller et de la sucer. Je m'executais immédiatement et sortais de son slip une bite encore molle que je saisie entre mes lévres. Pendant que je le sucais il me dit qu'il allait revenir et s'occuper de moi et que ce serait une des récompenses que je recevrait le plus souvent et qu'il espérait que j'y prenne rapidement le plus grand plaisir. Je lui montrais que j'aimais ça et m'appliquais à lui donner le maximum de plaisir. Il jouit assez vite dans ma bouche et j'avalais son sperme comme aimait que je le fasses mon précédent copain.

Il me fit me relever et m'envoya me faire un brin de toilette et me maquiller dans la salle de bain. il voulais un maquillage soutenu, me demanda combien de temps j'avais besoin et prendre tout ce dont j'avais besoin car il ne voulait pas me revoir avant que j'ai fini.

Après 20 minutes je demandais si je pouvais sortir. "C'est bon, montre moi le résultat", "Ok on y va". "Baisse ton short" Juste avant de sortir il me fit ouvrir mon short baisser mon collant, ouvrir mon body et baisser ma culotte. Il me graissa les fesse et me demanda de masseoir sur le god juste et de bien l'enfoncer puis en me demandant de bien le tenir il me remit ma culotte, agrafa mon body et remonta mes collant et mon short. P.uis il me demanda mon sac, pris les clès et ouvrit la porte pallière

C'est ainsi que nous primes ensemble l'assenseur. Il était peut être 15h, et il faisait très chaud. Suivant les instructions données dans l'ascensseur, je fis le tour du paté de maison alors que lui marhait derrière moi à une certaine distance.

Je rentrais moi vacillante et en sueur car le god m'affaiblissait beacoup. Une fois dans le hall je l'attendis, n'ayant pas les clès. Voyant l'assenceur descendre, je me cachais dans la cage d'escalier. C'est là qu'il me rejoint. Il me dit que j'avais bien fait mais qu'il faudrait que je m'habittue à mon image et que tout se passerait bien, que j'avais bien travaillé mais que pour la forme et parceque je n'était pas rester dans le hall, il aller me donner une petite claque. Il me demanda si je comprennais pourquoi il devait me la donner. je bassait les yeux en répondant à nouveau un petit "oui". Il me fit alors mettre à genoux et me donnea 2 petites claques puis alors que à bout, je sanglotais il me fit me relever et monter les 3 étages en me carressant les fesses.*

Une fois rentrée chez moi, il déposa les clès sur la table, me reconnada de prendre un bain et me demandade répondre impérativement à son prochain coup de fil en me diant qu'il me laisser mle reposer. Il me laissa son numéro sur un pos-tit et parti.

Je m'effondrait sur mon lit, enlevait le god et dormit jusqu'au lendemain matin.



Trip 3, Chapitre 3 : Sally est prise à son propre jeu

Ma copine était très exitée. Ses caresses étaint de plus en plus pressentes. Elle me pelotait maintenant les seins à pleines mains. Je commençais à ne pas être tout à fait rassurée. et montrais des signes de résistance.

Je demandais à rentrer. Ma copine fit la moue mais ne dit rien. Elle se calma immédiatement et nous discutames gentiment pendant encore une petite demi heure avant qu'elle ne remercisse nos hôtes et me propose de partir ensemble. Alors que nous étions devant ma voiture, elle me pris la main et me la serra tendrement en me faisant un baiser dans le cou. Elle me proposa de me raccompagner mais je lui dit que j'était fatiguée. Elle insista et je lui donnait mon adresse et téléphone pour que nous nous rencontrions le lendemain dimanche en début d'après midi.

Je rentrais et me branlais longuement en pensant à la soirée que nous venions de passer. Je n'aurais pas du résister, je le regrettais maintenant. Vers les 2h je m'endormie enfin le sourire aux levres, remplie d'espérance pour le lendemain.

A 13h mon amie sonna à la porte. j'avais réveillée vers les 10h et avais tout de suite entrepris de me préparer pour la recevoir. J'avais pris une douche, je m'était parfumée abondamment, je portais un désabillé transparent et un tablier par dessus. j'avais mangé tôt et m'était ensuite aussitôt mise à récurer toute la maison. je voulais qu'elle me trouve chez moi en bonne petite femme d'intérieur.

Alors que je rangeais, je veillais à mettre en évidence un certain nombre de choses utile. Dans les toilettes, un magazine d'annonce et un de confessions plutôt hard, sur mon lit des desssous sexy et mes plus hauts talons au pied de mon lits, dans le tiroir de ma table de nuit un god de trè sforte taille.

Lorsqu'elle sonna je parue étonnée, J''enlevais mes gants et l'invitait à faire le tour de mon appart, pendant que je défaissait rapidement et confuse mon tablier. Je lui montrais rapidement la chambre en prenant un air géné, et l'invitait à prendre un verre au salon.

Elle semblait très sûre d'elle et de sa position vis à vis de moi. Je me mis donc naturellemen à genoux à ses cotés pour la servir. Elle me pris la main et m'attira vers sa bouche pour un baissé langouseux auquel je erépondit avec abandon. Pendant qu'elle m'embrassait elle me carressait les fesses.

En me remettant à genoux je fis tomber un verre d'eau. Je me précipitais pour éponger l'eau à quatre patte devant elle. Elle me carressa la croupe d'une main ferme. je posais la tête par terre et tendait les fesses. Elle sortit alors de son fauteuil se mis derrière moi et souleva ma jupe baissa ma culotte et m'adminitra quelle que fessée, gentille plutôt émoustillante, lui permettant d'asseoir encore un peu plus son autorité. A la fin elle me demanda de rester dans cette position et me dot juste qu'elle erveniat bientôt avant de s'éclipser. Elle ouvrit la porte est sortit. je restait là la tête sur la moquette, les fesse à l'air, l'attendant alors que mon coeur battait la chamade

Elle revint après un long moment mais qui n'exéda pas à y réfléchir plus d'une dizaine de minute. J'entendi ses pas avec un certaine appréhension me demandant si c'était bien les siens, mais ses félicitations pour la position que j'avais su garder me rassura aussitôt.

Trip 3, Chapitre 2 : Sally se met dans une situation embarrassante

Le lendemain elle m'a rappelée pour m'inviter à nouveau et me présenter à une de ses amies. C'était à nouveau pour samedi et je dus attendre une semaine entière à m'ennuyer à la maison avant de retourner chez elle. Cette fois ci je m'habillais de façon plus accessible, toujours jupe droite mais plus courte et élastique, des talons un peu plus haut, un chemisier rose, un maquillage très étudiés, plus lolita.

Lorsque j'arrivais son amie était là. Elles discutait dans le salon, assise sur les fauteuils. Ma nouvelle amie me fit à nouveau la bise sur la bouche malgrè ma gêne et m'invita à la suivre en me mettant discretement la main aux fesses. . Je ne bronchais pas.

Elle me fit assoeir sur le canapé, à coté de son amie et s'assis à coté de moi. Les deux filles se trouvaient donc de part et d'autre de moi. Ma copine commença alors à raconté à son amie, mon histoire tout en me possant avec insistance la main suir la cuisse à l'orée de mes bas. Je baissais les yeux ne sachant plus ou me mettre et vidait d'un coup le verre de vodka orange qu'elle m'avait servi.

C'est à ce moment là que le copain de ma copine est rentré. Elles ont arrété de discuter de mon histoire mais on continuer à gliousser et se faire des messes basses. Lui ne sembailt pas comprendre mais sa curiosité était clairement en éveil.

Au moment de passer à table elle me plaça à coté de son amie et s'assit en fasse de moi avec son compganon. Pendant tout le repas elle me carressa avec le bout du pied sous la table et son amie voyant ça, m'effleura mine de rien plusieurs fois la cuisse du bout des doigts avec des yeux concupiscents et lourd de sous entendus. je me sentais comme une proie qu'on s'apprête à dévorer.

A la fin du repas on est repassé au salon, et on a reprit de l'alccol. J'étais gaie et la tête me tournait un peu je ne savais plus trop ce que je dissais. Jj'ai voulu aller aux toilettes. Lorsque je sortis, l'amie de ma copine m'attendait à la porte. Elle me demanda l'autorisation de m'enbrasser me disant qu'elle me trouvait très séduisante. Comme j'acquiéssait en bassaint les yeux, à la place d'un chaste bisou, j'eu le droit à un véritable patin et des carresses très appuyées sur les fesses et les seins. Elle me demanda alors de l'attendre et c'est ensemble que nous sommes revenues au salon.





Il était maintenant clair que je sortais avec elle. Elle était très proche de moi, la main ostensiblement posée sur ma cuisse, me carressant doucement. Puis très rapidement se fut les bisous dans le cou devant son couple d'ami qui semblait trouver cela tout à fait normal.

Trip 3, Chapitre 1 : Sally se fait des amis

Comme je ne connais personne dans la région, je contacte la société Tupperware et lui demande de me mettre en relation avec un groupe, car je dois acheter de la vaisselle. Je suis invitée à une soirée Tupperware, tout ce passe bien et je sympathise avec un petit groupe qui décide de continuer la soirée chez l'une d'entre elle et m'invite les accompagner. Je resiste un peu pour la forme mais suis bientôt entrainée sur le insistance.

L'après midi, nous avions un peu bu. Nous reprenons un petit apéritif en arrivant. Il est 18h30-19h. Je parle peu, elles parlent de mecs, de leur fantasmes. On boit encore. L'une d'entre elle propose de jouer au jeu de la vérité. Ele sont enthousiastes. Là encore je resiste pour la forme mais elle insistent et je suis bien obligée de céder à nouveau.

Elles commence par se poser mutuellement des questions sur les fantasmes des unes et des autres. Elles parlent très librement de fellation, de cunnilingus ou encore de sodomie. Je sens qu'elles se connaissent bien et qu'elles se sont plus ou moins mises toute d'accord pour me faire parler et en connaitre un peu plus sur moi.

Quand vient mon tour, je suis toute rouge. L'une d'entre elle me demande quand j'ai pour la dernière fois fait une fellation. Je baisse les yeux et lui dit que c'était sur un parking.

Elle sont toutes intéressée mais j'ai répondu alors mon tour passe Je pose à mon tour une question. Je la choisie très gentille, plutôt plus que les autres questions posées jusqu'alors. Puis c'est à nouveau moi qui est choisie pour répondre à une question. L'une d'entre elle me demande de décrire la scéne. Je lui dit que c'était il y a plusieurs mois. Que nous nous étions arretés avec mon ancien compagnon sur le parking d'une autoroute pour que j'ailles aux toilettes. Il était descendu pour me tenir la porte qui ne fermait pas. Mais il a eu une envie soudaine et m'a fait mettre à genoux et demandé de le prendre dans la bouche. Je ne sais pas dire non alors je l'ai sucé comme ça à genoux dans les toiletttes du parking dont la porte ne fermait même pas. J'ai arrété là mon histoire

Il était tard et certaines ont commencé à s'excuser et partir. J'en ai profité pour m'écliper, sans manquer de laisser à chaune mon téléphone au cas où elle souhaiteraient me revoir. j'ai ré-insister pour dire combien j'étais seule ici et que je connaissais personne.

Quinze jour plus tard , l'une d'entre elle m'a rappelé. Elle m'invitait à manger chez elle. J'étais enthousisate et j'ai promis de tout faire pour me libérer. Le lendemanin je confirmais.

Le repas était un samedi soir. Espérant que le mari serait là, j'ai mis beaucoup de soin à m'habiller comme j'aime, et comme je pense que beaucoup d'homme doivent apprécier : genre bourgeoise, révant de sexe, ou encore,plus concrêtement, sainte nitouche révant de se faire prendre sur la table de la cuisine : chemiser blanc, collier de perles, jupe droite, cheveux attachées petit talons, bas noirs, ... mais avec un petite touche provocante : maquillage soutenu, porte jarretelle visible sous la jupe sérreés, bague "o". Le genre de détails qui n'échappent pas au mâle à l'affût.

Il n'y avait pourtant pas d'homme ce soir là. Juste elle et moi. Très rapidement la conversation est revenu sur la table et j'ai raconté les yeux baissée la suite de l'histoire. Je lui ai dit qu'un gars avait tout vu et que j'avais du rentrer dans la voiture en pleure le visage plein de sperme. Je lui ai dit combien cela plaisait à mon copain de m'humilier, qu'il était très dominateur avec moi et qu'il me forçait souvent à faire des choses difficile pour moi car je suis très timide. Elle m'a demandé comment cela c'était fini avec lui, je lui ai dit que j'étais son juste son amante et qu'il m'avait laissée lorsqu'il était parti à Hong Kong pou sa boite.

On a un peu bu. Le soir nous nous sommes quitté bonne amie, en partant elle m'a discrétement carressé la fesse et fait un bisou sur la bouche (très chaste) en guise d'au revoir.

Trip 2 : Sally refait sa garde robe

Il fallait donc que je fasses des efforts et je savais dans quelle direction!
Dès le lendemein, , ma tenue avait déjà l'égérement changée. J'avais gardé un pantalon mais j'ai opté pour des talons plus haut de quelques centimétres et j'ai mis un vernis rose soutenu avec un rouge à lèvre plus foncé que d'habitude. Le résultat ne s'est pas fait attender : j'ai eu immédiatement des félicitation de mon patron qui m'a dit que j'était rès belle et que j'étais sur la bonne voie.

J'étais heureuse toute la journée après ça. J'e fredonnais même en nettoyant les toilettes. cela a du se remarquer et j'ai eu beaucoup de réflexions gentilles au cours de la journée. Le soir le patron m'a dit qu'il avait hâte d'être demain pour voir qu'elle heuresue surprise je lui réservais.
le soir j'ai pris rendez vous pour le lendemain 12h chez un coiffeur que m'a recommandé Nat, Palnet'hair à Montpellier. Certaines de nos consoeurs s'y rendent. Il était temps de changer ma coupe "années 70" pour une coupe actuelle.

Le soir je me suis fait plaisir, j'ai choisi une jolie culotte et j'ai mis un petit plug pour regarder la télé. ensuite je me suis branler longuement en pensant à ce qu'allar faire de moi mon patron si je lui laissais décider progressivement de mon habillement. A quoi allais ressembler? genre pute en mini jupe et talon aiguille, ou secrétaire en tailleur, voire chretienne intégriste ou une musulmane voilée?



Je passais en revu toutes ces féminités et leur implication sur la vie de tous les jours. Qu'allaient en penser les collégues et mon amie? Et mes connaissances si je les rencontrais dans la rue ? J'ai éjaculé dans ma mains et j'ai tout bu.

Trip 2 : Sally travaille bien mais peut mieux faire

Et je suis fondamentalement une fille facile. Je réve qu'on me mette la main au fesse, mine de rien en passant lorsque je fait la faisselle, dans le métro, le tram, les bius, au cinéma.... Mes les hommes n'osent pas. .. ou si peu. Qu'elle meilleur compiment qu'une main qui vous flatte la croupe?.

Je m'imagine au bureau, dans un cours de management. On nous à dit qu'il fallait parfois toucher son interlocutteur pour s'affirmer comme le leader d'un groupe. Je pense que cela commencera comme ca. Mon patron me touchera l'épaule, me fera m'assoeir à sa place pour me montrer quelque chose sur son écran et me re-touchera discrêtement l'épaule pour obtenir mon attention. Il sera aderrière moi de coté, de sorte que je sois à la hauteur de sa braguette lorsque je tourne la tête. Normalement un patron doit savoir lorsque son assistante est prête à tout. Il pourrait alors me félliciter pour les toilettes et demander si j'aime mon métier, et si je suis bien dans son entreprise.


Pour lui répondre je ne léverai pas les yeux, je les garderai baissés à hauteur de sa braguette. Je lui dirait combien ses félicitations me vont droit au coeur. Combien je souhaite m'épanouir et réussir dans son entreprise. Je lui demanderai alors ce qu'il pense de mon travail.

Il quittera sa place te me demandera de m'assoeir à sa petite table ronde, celle qu'il utilise pour les réunions pour qu'on en discute. Il me dira alors que je fais du très bon boulot. Que je suis très impliquée et qu'il souhaite me garder. Il abordera ensuite, les points à améliorer : ma tenue, trop classique à son goût et pas assez "vendeuse" compte tenu qu'en tant qu'attachée de direction, je représente la société plus que quiconque et que j'accueille nos clients et ses invités. Je lui dit que je suis d'accord, que je ne savais pas exactement ce qu'il voulait et que j'avais opter jusqu'alors un style sobre, pantalon et top avec talons de 2 à 3 cm maxi car je suis très grande mais que j'étais disposer à changer s'il considérait que c'était important. Je laui ai ensuite dit que j'étais timide et plutôt romantique, que ce ne serait pas facile pour moi mais que je voulais réussir à l'accompagner de mon mieux et lui prouver mon engagement et de mon professionnalisme. Il m'a répondu que c'était très bien qu'il n'en attendait pas moins de moi. Un coup de fil important est arrivé et je me suis eclipsé à ce moment.

Trip 2 : Sally au travail!

Je bosses beaucoup. mais en plus il faut que j'assure certaines tâches "spéciale". Ainsi, c'est moi qui suis chargée de faire la petite vaisselle et la propreté des toilettes, je fais ça le matin en arrivant mais aussi maintenant de plus en plus souvent la journée.

Je suis efficace et tout le monde se félicite de m'avoir. Cela fait une économie de femme de ménage, il y a toujours du papier et les toilettes sont propres.

Comme beaucoup de mes consoeurs, je suis une "pisseuse". Nous allons souvent au toilette. C'est pourquoi, peut être on trouve qu'il est légitime que je les nettoie.

En fait dès mon arrivé j'ai toujours fait bien attention à laisser les toilettes propre derrière moi. Un jour, les toilettes étaient très sales et un mail à circulé avec une photo de chiotte dégeulasse. Il était demandé que la personne qui avait salie devait nettoyer. Je suis aller aussitôt les nettoyer, car je ne voulais pas que qu'un des salariés se sente humilié. D'ailleurs, je n'imaginais pas quelqu'un d'autre s'en charger.

J'ai été félicité par tous et très rapidement tous ont pris l'habitude de m'appeler lorsqu'il y avait quelques chose à nettoyer. Suite à ces félicitation, très rapidement, je me suis aussi chargée de la petite vaisselle. Le matin en arrivant, lorsque je vois des tasses et verres dans l'évier je les nettoie.

Je prend un réel plaisir à avoir les mains dans l'évier lorsque les salariés rentrent. Qu'ils voient que je nettoie leur affaire me place indubitablement à une position féminine dans leur esprit. Je fais partie des chic fille, chic et gentille. Et entre gentille et naive il y a le même distance qu'entre naive et facile dans la pensée d'un mec.

Trip 1 : le chantage "Obeis sinon !"

D'un naturel docile et enjoué il m'arrive d'avoir quelques difficultés à obéir à des demandes particulièrement grave, souvent parce qu'elle mettent en péril ma sécurité. Notamment lorsque je ne me refuse à certains actes ou lorsque j'ai peur d'être présentée à certaines personnes sous mon vrai jour. Le plus souvent je m'exécute après une bonne giffle. Mais parfois, il faut me forcer et le chantage est la méthode la plus efficace.

J'ai peur qu'un jour on apprenne qui je suis. Que le postier le sache et en profite, que le gars qui fait la surveillance me coince dans un couloir et qu'il instaure progressivement un droit de cuissage, que ces copains viennent m'attendre à la sortie du bureau...



Bien sûr tous garde les formes, mais sans plus. Il ne veulent pas se compromettre. Au boulot les histoires de sexe font vite jaser. Alors il font juste des allusions, histoire se faire mousser et, qui sait, se faire de nouveau pote sur mon dos.

Voilà ce qu'il me disent dans les couloirs : "Alors il parait que tu t'es bien amusé hier?", "C'était bon? Tu étais en joyeuses compagnie hier en discothèque !", "mais tu changes tout le temps de mec !?. C'est dit suffisament discrêtement et suffisament fort à la fois pour qu'un tiers entende et créé la rumeur. Je les imagine déjà : "Sally a l'air de beaucoup sortir en ce moment. Elle sort avec quelqu'un de l'entreprise mais personne ne sait exactement qui c'est !" "Tu à remarqué qu'elle baisse les yeux quand elle croise X, je serait pas étonné qu'elle soit amoureuse"

Mes Fantasmes

J'aime m'imaginer soumise au désir d'un homme fort ou d'un groupe d'homme pervers qui abuse(nt) de moi, rencontre après rencontre.

J'aime les fantaisies réalistes. Ma préférée reste celle de l'Attachée de Direction humiliée par son patron et quelques employés de l'entreprise . Le patron connait mes goûts et mon petit secret, en abuse. Il me convoque à des réunions fort tard le soir. Je suis obligée de rester. Je dois aussi l'accompagner ou accompagner certains employés sur des salons ou en voyage. Mon amie ne sait rien. Je suis obligée de lui cacher car le patron m'y a obligée. Je serais virée sinon. Il veut que je vive cette vie de mensonge, la peur au ventre, que petit à petit je m'enfonce dans le mensonge jusqu'à l'entretenir moi même et m'y perdre défnitivement.