Mon projet de vie

J'ai 50 ans, grande, blonde, docile, maso j'aime les filles comme les garçons.

Je cherche un.e directeur/trice de conscience, conseil de l'ombre intellectuel.le (spirituel.le ?) qui me déposséderait de ma vie et imposerait peu à peu ses choix pour moi : nourriture, vêtements, parfum, spiritualité (tigresse blanche, ou autre), pratiques sexuelles, travail, lectures, sorties ...  Je recherche une éducation psychologique progressive destinée à me modeler en profondeur.

Mes aspirations sont restées longtemps prisonniers dans un corps qui n'était pas le mien, je peux enfin les vivre. C'est pour cela qu'ils sont peut être plus évolués que ceux de beaucoup de femme, et que je suis à la fois si novice et si motivée. 

Voici quelques informations sur ma vie privée :

Je travaille dans une administration, à plus d'une heure de transport de mon domicile. Je travaille comme une folle, et le WE je consacre mon temps à ma famille. A part le sport (running), une fois par semaine, je n'ai pas d'activité associative, cultuelle, etc. mais j'aimerais pratiquer une activité qui me sera désignée. Je lis beaucoup sur la sexualité et sur la vie  (fantasmée ou réelle) que d'autres racontent à travers leurs récits.

Mon style vestimentaire est classique, je porte uniquement des jupes, jambes nues. J'ai un style plutôt "BCBG". Je peux m'habiller sexy, mais j'aime aussi les habits "modestes". Je pense en effet que c'est une preuve de soumission à la société. J'admire les femmes voilées ou en burqa. Leur soumission est acceptée et encouragée par leur communauté, contrairement à chez nous. J'ai même suivi quelques cours à la mosquée de Paris il y a quelques années avec l'idée de mon convertir juste pour cela! Évidemment avec les attentats, cela refroidit les ardeurs et on a peur de tomber sur des dérangés à l'esprit morbide, ce qui n'est pas mon cas : j'aime la vie.

Pour mes limites, je pense que je saurai les dire à temps pour éviter mon refus (comme une jument qui se cabre) . En tout cas, il n'y pas de raison que je ne respecte pas les obligations qui me seront faites, car je suis demandeuse d'obligations, justement.

J'aimerais qu'il me soit donné un nom évocateur de mon dévouement et de ma soumission afin qu'il contribue à mon modelage à chaque fois que je le saisisse. J'ai pensé à un pseudo plutôt "soft" comme joliepassive, mais quelque chose de plus contraignant me parait nécessaire, peut être même les initiales des mots d'une phrase emblématique, d'une maxime, d'un ordre qui me pousse dans la direction voulue. Peut être même quelque chose de plus provocant, humiliant, serait plus adapté à la chose soumise que je veux devenir ...

Mes pratiques sexuelles : j'aime beaucoup les fellations et les cunni (j'aime boire les jus et semences) et les sodomies . Je suis endurante et dure à la tache. J'aime être incitée par de petites et grosses claques. Je me masturbe également régulièrement et je pense être dépendante du plaisir sexuel (mais j'en ai honte, alors je ne le montre pas). J'ai des jouets intimes (godes) que je porte régulièrement  (par exemple pour regarder un film)  pour rester souple, et j'en retire beaucoup de plaisir. J'aime les film X, bdsm, gapping, même très crus.

Les pratiques qui me font fantasmer : gifles, marques, piercings (notamment intimes et humiliants : nez, sexe, seins, ..), tatouages (mais je n'en ai aucun), dilatations (j'ai envie de sentir des mains fouiller mon intimité), lavements (avec de l'eau, du vin, du lait, ...), attouchements et sexe forcés avec des inconnus ou des personnes qui me sont désignées ... mais après une période où mon désir me conduisait la nuit sucer des inconnus sur des aides d'autoroute, je suis devenue trop timide pour faire cela de ma propre initiative.

J'aimerais par ailleurs être initiée et forcée aux pratiques que je juge dégradante : prostitution, zoo, uro, ...  mais je ne sais pas si j'aimerai un jour  bondage, aiguilles, cire, marques, scato, cravache, cane, fouet, car je n'aime pas la douleur et les mauvaises odeurs. 

En plus des histoires que vous trouverez sur mon blog, et qui disent beaucoup sur moi, voici un lien vers des histoires érotiques d'autres auteur(e)s : http://smselection.blogspot.com/

Vous savez maintenant ce que je veux devenir. Cela a été initié toute petite par les lectures des bandes dessinées de Georges Pichard, dès mes 10 ans puis, plus tard, par celles (beaucoup plus "hard") de Joseph Farrel, Simon Benson, et Prestongraphics. Leurs dessins et histoires sont peu à peu devenus un désir profond qui m'habite continuellement. Chaque jour, pendant des années, mon désir de devenir une de ces femmes-objet abusées et dépossédées de leur corps est monté en puissance.

Ce que je veux est encore très (très) loin de mon niveau actuel, j'en suis consciente. Mais je ferais tout pour aller aussi loin que possible. A l'issue, je veux être objet, usé puis abandonné dans un coin dès qu'on a fini de l'utiliser. D'ici à quelques années, je m'imagine toujours sous mon apparence réservée et respectable mais avec  un esprit perverti à force de sortir en club, de sexe forcé, et de réception d'"ami(e)", à l'affut du désir d'autrui. Sans être particulièrement jolie, je souhaiterais acquérir un sex-appeal naturel capable d'attirer  ces mains et ces yeux qui me désirent (malheureusement sans oser aujourd'hui), d'amener les personnes à me toucher, à m'enfoncer leur doigt dans la bouche, dans le cul ou la chatte, à se branler sur moi, à m'humilier. Je veux jouir de ce décalage entre ma respectabilité, mon image sociale, et la manifestation de mes fantasmes les plus inavouables. Dans mes désirs les plus avancés, je veux une vie facile et simple (enfermée?), sans stress, sans pensée, sans volonté, sans désir autre que celle de servir encore, comme droguée, juste avec le sourire béa de la fille qui sait qu'elle peut être appelée à tout moment, et doit plaire à tous et qu'elle n'y échappera pas. Mon apparence physique est modifiée, mes seins sont énormes, mes lèvres exagérément pulpeuse, je porte continuellement un gode, on m'a posé des piercings et des tatouages évocateurs sur le sexe, le ventre les sein, autour de l'anus... C'est mon Maître ou ma Maitresse qui parle au chirurgien, à l'esthéticienne, au coiffeur, au perceur ; pas moi, je n'existe plus. Tous les jours j'espère boire ma dose de jus ou de sperme. Je m'imagine pleurer de honte en pensant à la chose que je suis devenue physiquement et psychologiquement, au mépris des gens, à la perte des liens avec ma famille et de mes ami(e)s. Je m'imagine droguée, un emploi d'hôtesse dans un bar, prêtée, régulièrement battue, ou alors femme de ménage, en burqua, enfermée dans un Riad, dormant au pied du lit de mes patron.nes. Est ce que se sera possible? D'ici combien d'années? C'est encore trop tôt pour le dire.

Si vous voulez me contacter, mon mail est transsally@gmail.com. Merci de préciser ce que vous avez lu de moi, et ce que vous proposez. Je consulte peu mon mail car j'ai peu de réponses. Si vous êtes  loin, je serai plus assidue pour mes mails, et si vous êtes proche nous pourrons nous voir dans le lieu que vous me désignerez. Je ne possède pas de webcam et ne souhaite pas en utiliser car ma démarche n'a rien a voir avec l'apparence physique. Je n'aime pas non plus les chats et autre msn qui tournent en rond.

Trip3 chapitre 14 : Sally apprend à se nettoyer pour recevoir

Résumé des chapitres précédents :
Depuis que j'ai rencontré Caroline, ma vie est devenue de plus en plus précaire. Je n'ai plus aucune confiance en moi et mes capacités de résister ont fondues aux fils des rencontres qu'ils m'ont imposés. J'ai perdu mon emploi et mes seules ressources sont dorénavant les ménages. Pour tout ceux qui me croisent, je suis au mieux une fille vulgaire et facile au pire une maso à qui nul permission n'est à demander pour profiter d'elle.
Je m'appelle Sally. Au cours d'une soirée j'ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick. Nick et Caroline m'ont rapidement obligée à m'habiller et à me maquiller avec vulgarité. Mes lèvres ont été tatouées et je suis depuis 1 mois un régime engraissant, ce qui accentue mon obsènité dans mes mini-jupes trop petites.
Caroline travaille dans la même entreprise que moi maintenant. Elle a tout raconté à mon patron qui m'avait déjà mis à l'écart suite à mon changement de présentation. Sur ces conseils je serais bientôt plus affectée qu'aux tâches ménagères de l'entreprise. A genoux, j'ai même dû demander à mon patron de "s'occuper de moi". Il ne s'est pas fait prier et, c'est la bouche pleine de sperme, écrasée sous le sexe de caroline se branlant sur mon visage que j'ai appris qu'il allait me trouver un chirurgien pour me faire la poitrine grosse et pendante que veulent Nick et Caroline

Je m'occupe maintenant du ménage des locaux. Je travaille entre midi et deux mais j'arrive vers 11h. J'amène le café à mon patron. et je le suce pendant qu'il le déguste. Il aime me faire remonter le soutien gorge sur la tête et et me dit que ça l'excite que je soit ridicule. Pendant que je le fais doucement remonter et descendre dans ma gorge comme me la demander Caroline, il aime m'écraser les seins et n'arrête pas de me parler de ma future poitrine de femelle. Je commence à me dire que se sera peut être bien, que ainsi je serais plus désirable comme il dit, et que je pourrais avoir peut être un poste de commerciale. Bien sûr ma paye a diminué de moitié, mais mon patron est généreux et je repars souvent avec un billet de 100€ qu'il aime bien me mettre dans les fesses avant que je prenne mon service de ménage.
Ma tenue n'a pas changée, pour le ménage, j'ai des sabots mais le reste est identique, toujours la même jupe en 42 alors qu'avec 5 kilo de plus en à peine un mois, je fais maintenant probablement du 44 voir du 46. Mes soutien-gorges aussi sont trop petit, mes siens débordent un peu au dessus et en dessous. Ils disent que tout le gras que j'ai sur le ventre il vont me le mettre dans les fesses et les lèvres et que serait une vraie petite poupée quand je sortirai de la clinique. Le rendez vous est dans un mois maintenant.

Hier soir Nick est passé avec un ami.
J'étais en train de regarder la télé et j'allais me préparer pour manger quand j'ai entendu ma porte s'ouvrir. Nick, qui a les clés, est rentré suivi immédiatement par un autre homme. Ils avaient un peu bu. Nick me dit qu'ils cherchaient une "petite femelle obéissante pour la soirée" et qu'ils avaient pensait à moi.
Je ne savais pas quoi dire. Nick m'a prise par le bras et m'a dit à l'oreille que son ami venait de se faire larguer, qu'il avait besoin de se changer les idées, et si je ne voulais pas, il donnerait mon nom et mon adresse sur internet, que mon appart deviendrait une maison de passe et que je deviendrais la plus grosse pute du quartier.... alors quand Nick m'a demandé de mettre un film porno puis de venir sucer son ami, je me suis résignée.
J'ai mis le film en marche puis en silence je me suis mise à quatre pattes et j'ai descendu la braguette de son ami qui s'était installé dans mon canapé.
Quand il a été bien dur, Nick m'a demandé d'aller me nettoyer car ils allaient me prendre par derrière à tour de rôle et j'avais intérêt à être propre car sinon il me ferait tout nettoyer avec ma langue.
Nick m'a emmenée dans la salle de bain par le bras et m'a fait mettre à croupie dans la baignoire, Il m'a dit qu'avec les lavements il y a toujours de l'eau qui sort un peu et qui rince ma mouille, et qu'il ne voulait pas que je me fasse de lavement avec le pommeau de la douche, mais uniquement avec un gode. J'ai commencé comme il m'a dit à croupie, mais dès que le gode était souillé je le passais sous le pommeau de la douche avant de me ré-engodé avec.
J'étais déjà bien propre et bien ouverte quand Nick, qui s'impatientait, est passé. quand il a compris ce que j'avais fait il a appelé son ami, ils m'ont traitée d'incapable et m'ont obligée à ramasser les excrément tombées de mes fesses et restés dans la bonde de la baignoire et d'en enduire le gode pour recommencer à me goder en m'interdisant de le laver. "C'est ta mouille qui doit te laver, pas l'eau de la douche".
C'etait très dur pour les fesses de se goder avec un gode plein d'excrément mais ,au bout d'un nouveau long moment le gode ressortait à nouveau bien propre. J'étais en sueur de mes efforts et toute rouge. C'est dans cet état un peu second que je suis venue leur dire que j'étais propre et demander ce que je devais faire.
Nick m'a demandé de commencer par aller leur chercher un nouvelle bière. Puis j'ai du me mettre à quatre patte devant eux et m'écarter les fesses pour monter mon anus.
Son ami m'a enfoncé et doigt, puis m'a attrapée les cheveux et m'a fait me retourner pour me le mettre dans la bouche. J'ai du ensuite le sucer à nouveau. Nick passa derrière moi il me pris les fesses à pleine mains et commença à me défonçer l'anus à grand coup de reins. Après cette longue préparation je n'en pouvais déjà plus et je ne pouvait m'empêcher des spasme de me serrer les fesses et visiblement cela lui plaisait. Régulièrement il poussait à fond pour dépasser mon second sphincter. Je suçais son ami du mieux que je pouvais et il m'écrasait la tête avec ses deux mains sur son sexe. Il était beaucoup plus violent que mon patron qui aime rester de long moment au fond de ma gorge en me pinçant le nez. J'avais des renvois incontrôlés tellement il butait loin au fond de ma gorge.
Quand il m'a prise à son tour je n'en pouvais plus je sentais que mon anus ne pouvais plus rien accepter. Nick pourtant m'a demandé de le prendre dans la bouche pour le nettoyer et a dit à son ami de me prendre bien fort car j'amais souffrir "même si j'en avais pas l'air".
Nick me tenait par les cheveux et, la bite dans sa bouche, je ne pouvais plus bouger. C'était insupportable. Je contractait tellement que j'ai commencé à chacun de ses coup de rein à pisser par terre un liquide qui n'était pas de la pisse, comme un éjaculat de femme fontaine, à moins que ce soit le contenu de ma prostate que se répandait ainsi.
Quand il s'en est aperçu, Nick ma fait sortir sa queue de ma bouche en me tirant par les cheveux, m'a donné une baffe en me demandant d'aller nettoyer cela tout de suite. Son ami est resté en moi pendant qu'à quatre pattes et pleurnichant j'allais chercher une serpillère sous l'évier.
Quand 'ai reprsi Nick dans ma bouche, son ami s'est remis à me défoncer de plus belle et sans rien pouvoir contrôler, j'ai me suis remise à pisser sur ma serpillère. Je n'en pouvait plus, je géniais en continue et je pissais à chacun de ses coups de reins une petite quantité de liquide odorant. Il a enfin éjaculé au fond de moi, Nick m'a lâchée et et je me suis effondrée sur la serpillère trempée. Nick ma rattrapée par les cheveux et m'a demandée de passer la serpillère. Son son ami en rigolant m'a mis son préservatif dans la bouche me félicitant " t'es vraiment bonne"
Nick m'a demandé de la garder pour aller me coucher et m'a recommandé de ne pas perdre pas une goute de son sperme. Quand ils sont partis j'avais encore le préservatif dans la bouche. il me l'on retiré et m'on enfoncé mon plus gros gode dans les fesses en me le calant avec une de mes gaine et je me suis endormie.
Le matin Nick m'avait laissée un mot : "Plus jamais de lavemant à l'eau. Je previens ton patron. On va t'en faire baver. "

Trip 3 chapitre 13, Sally dévoile sa condition à son patron

Résumé des chapitres précédents :
Je m'appelle Sally. Au cours d'une soirée j'
ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick . Nick et Caroline m'obligent à m'habiller et à me maquiller comme une prostituée. Ils ont aussi entrepris de modifier mon corps pour leur désirs : mes lèvres ont été tatouées, je suis soumise à un régime engraissant et ils projettent de me faire une poitrine énorme et pendante comme celles des filles du magazine que je dois avoir tout le temps avec moi.
Caroline a fait connaissance de mon patron et est venu travailler avec moi. Je sais qu'elle n'est là que pour me m'assouvir encore plus complètement. Ce matin j'ai du venir au boulot en bougeant des fesses comme si je faisait le tapin et déjà selon Caroline un salarié lui aurait demandé s'il pourrait se me prendre par la bouche.


J'avais fait le café et Caroline m'accompagna pour l'amener au patron.
Alors que je servais le patron, Caroline demanda à lui parler en privé. Il était d'accord et me demanda de sortir et de rester devant la porte. Quelques minutes plus tard, c'est lui qui vint me rechercher.
"Caroline m'a dit que vous n'étiez pas une vrai femme. Je voulais savoir ce que vous aviez à dire sur le sujet".
Sous le regard sans complaisance et un sourire dédaigneux et moqueur de Caroline j'ai du raconter à mon patron que j'avais toujours rêvée d'être une fille mais que j'étais née avec un petit sexe de garçon. Pour finir je lui dit que j'étais suivie médicalement et que je prenais des hormones pour me transformer, que j'avais eu une mammoplastie pour mes seins et que c'est vrai je l'avais trompée par omission en me présentant comme une fille normale.
Puisque je n'avais "plus rien à cacher maintenant" Caroline m'a demandée de baisser ma culotte pour monter à mon patron mon petit sexe. J'étais rouge de honte mais j'obéis en baisant la tête. J'avais la jupe relevée et la culotte sur les genoux quand Caroline ajouta
"Vous conviendrez que pour le moins qu'on puisse dire, une femme pareille ce n'est pas normal ! Sally nous a demandé de l'aider à devenir une vrai femme. Je pense qu'elle serait également ravie que vous vous en occupiez également d'elle plus intimement"
"C'est vrai Sally?"
Je baisais la tête sans répondre alors Caroline enchaina.
"Sally met toi à genoux et demande à ton patron de t'apprendre à être une vrai femme"
Je m'exécutais et je me retrouvais donc à genoux au pied de mon patron
"Monsieur, pourriez vous m'apprendre?, je ferai tout ce que vous voulez."
"Sally, je suis vraiment très surpris par votre comportement mais j'apprécie votre honnêteté. Je vais vous affecter à des taches à votre niveau, comme me l'a suggéré Caroline tout à l'heure. J
e suis d'accord avec elle : Une femme comme vous doit apprendre à servir et vous aller commencer tout de suite."
Il sortit son sexe et me le mis dans la bouche.
Pendant que je le faisait durcir en cajolant du mieux possible son sexe avec mes levres et ma langue, Caroline m'encourageait et parlait à mon patron.
"Allez suce le bien profond", "Vous savez, elle est très douée pour les choses du sexe !"
"Je vous recommande aussi son petit cul, elle le travaille chaque soir et je suis sur que c'est en pensant à vous. Elle ne vous l'a pas dit car elle est timide mais elle est folle amoureuse de vous.
Mon patron était très excité maintenant . Il me défonçait maintenant littéralement la bouche à grand coup de rein en me tenant par les cheveux
Caroline continua sur ce thème :
"Si vous le souhaitez nous pourrions distendre son anus et le transformer en vrai petit vagin doux et accueillant. Je vous propose qu'elle ne mange que le matin et avec un lavement chaque soir Je vous garantie qu'elle sera propre pour votre usage personnel toute la journée. Vous pourrais la prendre à votre convenance, quand vous voudrez.
Il m'étouffait. Caroline me dit que je devais avaler son gland et qu'elle voulait voir son gland descendre dans ma gorge.
"On pense aussi lui faire une injection de Botox, pour relâcher complètement ses sphincters, quand pensez vous ? Si elle se chie dessus se sera le soir, c'est son problème"
Il éjacula avec abondance. J'avalais tout en pleurnichant.

J'allais m'essuyer le menton avec les mains mais Caroline m'en empêcha. Elle me fit étendre par terre et souleva sa jupe et s'assit sur mon visage. Caroline me fit étendre les bras et demanda à mon patron de m'écraser les doigts avec ses chaussure pour que je ne bouge pas pendant qu'elle se branlait sur mon visage. Elle dit que j'aimais être contrainte même si je disais le contraire et qu'il ne fallait pas faire attention à mes gémissement de douleur qui était en fait de signe que je prenais réellement plaisir à a situation.

"Vous avez raison Caroline, Je crois que je vais la virer comme vous me l'avez recommandé. Cette chose n'a rien à faire dans mon entreprise. Elle ne viendra plus que pour les ménages et les gros clients, c'est le mieux que je puisse faire compte tenu de sa condition. Avec la lettre qu'elle m'a signé sur les conseil de Nick, je n'aurais aucun problème."
"Je vais m'occuper d'elle. Elle aura les seins quevous m'avez dit qu'elle le souhaitait.
Ne vous en faites pas, je vais contacter le docteur qui a opéré ma femme mais cette fois-ci ce sera pour des vrais gros seins, pas comme ceux de ma femme. On va lui demandé d'injecter du silicone et on les lui faire pendre jusqu'à nombril comme une africaine. T pour le Botox, pourquoi pas c'est peut être une bonne idée."

Trip 3, chapitre 12, Sally se fait Coacher par Caroline

Résumé des chapitres précédents :
Je m'appelle Sally, je suis d'un naturel excessivement timide et docile.
Au cours d'une soirée entre filles j'
ai rencontré Caroline qui ma livrée à son ami Nick dans des conditions telles que je n'avais d'autres choix que d'obéir dorénavant à leur désirs.
Alors que je m'habillais plutôt de façon discrète et sans ostentation, depuis qu'ils s'occupent de moi, je ne mets plus que des jupes, je me maquille de façon appuyée, et mes lèvres ont été tatouées. Par ailleurs Nick et Caroline on décidé de m'engraisser. Un régime à la pomme de terre m'a étét imposé. Enfin je dois emmener partout avec moi dans mon sac à main un magazine sur les fille à gros seins, pour "m'habituer", selon eux, car je serais comme elle un jour.
Nick s'est lié d'amitié avec mon patron et celui-ci a pris Caroline en stage pour travailler dans mon service. Au bureau mes colègues ont pris leur distance. Mon patron m'a demandé de ne plus manger avec eux et mon bureau a été déplacé à l'écart.

...............

Lundi Caroline est venue me prendre à la maison. Elle a choisi le chemisier et la jupe que je porterai aujourd'hui puis nous sommes parties ensemble au bureau avec sa voiture.

Après s'être garées loin des bureaux, quand elle m'a demandé de passer devant elle et de marcher jusqu'au bureaux en me déhanchant comme une pute qui fait le tapin, j'ai refusé. Elle m'a alors saisie et pressé violemment le téton et de l'autre mais m'a donnée une gifle magistrale. il ne lui a fallu que quelque secondes. Alors que j'étais encore surprise et choquée elle s'est rapproché tout sourire de mon oreille et m'a glissé d'un air glacial : "Tu obéis ou je recommence", Je n'ai pas répondu tout de suite alors elle m'a saisie le même sein l'a pressée encore plus fortement et à levée la main. Dans une grimace de douleur , j'ai murmuré "Oui".
"Alors avance maintenant et montre moi comment tu bouge tes grosses fesses" "et attention c'est jusqu'à ton bureau que tu dois marcher ainsi, que je ne te prenne pas à arrêter quand tu passeras devant tes collègues."

Caroline me suivait à 50 mettre comme si ne nous connaissions pas. Quand je suis passée, j'avais les yeux baissés. Les salariés présents sont restés silencieux mais je les voyais du coin de l'oeil se retourner sur mon passage. Un seul a lancé dans mon dos. "Alors Sally, tu ne viens pas nous dire bonjour?". Je ne me suis pas retournée, j'ai accéléré le pas mais j'ai bien entendu les autres pouffer de rire.

Nathalie est arrivée dans le bureau une dizaine de minute plus tard.
"J'ai discuté avec ton admirateur, sympa! Je lui ai demandé de me faire faire le tour de la boite. En tant que nouvelle stagiaire j'y ai le droit non? Je lui ai dit que je travaillais au stock, donc avec toi, il passera tout à l'heure me prendre pour la visite."

Je faisait mine de rien baissant les yeux sur mon clavier et c'est Caroline qui l'accueilli en lui disant "T'as vu le C'est le patron qui a donné un tabouret à Sally", "Une vrai petite secrétaire". En partant Caroline ferma la porte à clés en expliquant que le patron lui l'avais demandé. "Peut être qu'i n'a pas confiance ou qu'il veut la garder pour lui? qui sait?".

Ils revinrent une heure après. Ils avaient sympathisé et il reviendrait la prendre pour aller à la cantine ... "puisque je ne pouvais plus y aller".

Quand elle revint elle m'annonça enjouée que mon collègue serait intéressé pour que je le suce !
J'étais abasourdie. Si je commençais à sucer un collègue, c'est toute la boite qui allait me passer dessus. Je suppliais Caroline de ne pas faire ça, quelle ne se rendait pas compte qu'elle était en stage et que moi je resterai après son pasage. C'était impossible. J'étais affolée, je me suis jetée à ses pieds, lui embrassant les chaussures, lui demandant de me dire que c'était une blague pour me faire marcher. Elle lui ferait promettre que cela resterait entre nous et puis ce ne serait pas si dificile pour moi. ...
Tu n'es pas à un mec prêt non? Tu veux que lui dise de te foutre des baffes en plus et passer chez toi? il faut que je te rappelle Bruno, dans la voiture la dernière fois ? Le fait qu'il soit un de tes collègue ne change rien, tu n'es de tout façon bonne qu'à ça". Tu devrais même me dire merci de faire la maquerrele pour toi
Elle me donna une magistrale claque.
"Enleve ta culotte et met la dans ton sac à main, tu vas en avoir besoin pour t'essuyer le visage". "Je vais t'assouplir le caractère tu vas voir sale petite pute".
Puis elle me força à m'allonger par terre en me tirant par les cheveux, baissa sont jean et s'assis sur mon visage. Son sexe tout ouvert prenait tout mon visage.
Tout t'en se masturbant sur mon nez qu'elle enfonçait profondément dans son vagin elle répétait "Sally va sucer tous les mec de sa boite, sally est une pute" en me tirant les petit cheveux de chaque coté des oreilles. Après quelle eu longuement frotté et que j'étais à moitié étouffée elle jouis et je setnis sa mouille remplir mes narines et ma bouche.
Après m'avoir essayé le visage avec ma culotte elle me demanda de refaire mon "maquillage pute"

Alors que j'étais à peine remise mon patron passa accueillir Caroline. Elle lui dit qu'elle avait déjà commencé à s'occuper de moi, que j'étais très appilquée et proposas à mon patron que j'apporte un petit café quand il voudrait.

Trip 3, Chapitre 11, Sally entrevoit son avenir

Résumé des chapitre précédents :
Je m'appelle Sally, je suis d'un naturel excessivement timide et docile, ce qui m'a souvent value d'être humiliée, abusée et même frappée par mes petits copains.
C'est au cours d'une soirée entre filles que j'ai rencontré Caroline. Caroline a tout de suite perçue chez moi une proie facile pour son ami. Elle m'a présenté à Nick dans des conditions telles que je n'avais d'autres choix que d'admettre dorénavant comme naturel pour moi d'accepter ses demandes et celles de Caroline.
Nick a découvert ou je travaillais et s'est lié d'amitié avec mon patron. Depuis qu'il s'occupe de moi je ne mets plus que des jupes et je me maquille de façon appuyée. Cette transformation rapide à été mis sur le compte de la renconre d'un petit ami, elle n'en a pas moins troublé le personnel et mon patron m'a fait aménager un bureau loin des autres salariés.
Ce soir, j'ai du inviter mon patron à diner à la maison, pour le remercié.
La veille, Nick et son amie Caroline m'avait emmenée dans un salon d'esthétique pour le faire tatouer les lèvres avec une teinte rouge permanente . Malgré mes protestations, je m'étais retrouvée avec des lèvres excessivement gonflées pour accueillir mon patron chez moi.

...............

Mon patron s'inquièta de l'absence de Bruno, sensé être mon petit ami, mais je lui dit que nous avioins rompu. Il le regretta et me fit promettre de ne pas revenir sur les changements positifs que cette relation avait provoqué chez moi. notamment sur mon maquillage et sur mes tenues vestimentaires.
Mon patron posa ensuite une question sur mes lèvres. "Vous avez fait quelque chose à vos lèvres, il me semble?", J'étais un peu gênée et Nick a profité de mon hésitation pour répondre. "Sally est aller se faire tatouer les lèvres. Elle aime beaucoup l'idée d'avoir une bouche toujours parfaite. Pour ma part je trouve que la forme et le rouge qu'elle a choisi est vulgaire, mais elle en rêvait depuis si longtemps, n'est ce pas Sally?". J'ai acquiescé.
Mon patron s'est exclamé. "C'est vrai que vos lèvres sont très vulgaire. Je suis sûr que ma femme ne va pas aimer, vous verrez avec elle, mais du moment que cela ne vous empêche pas de bien faire votre travail, ... Vous m'avez assuré que vous étiez très motivée, il va falloir nous montrer tout ça. Je ne crois que ce que je vois " Je n'ai rien répondu, acquiesçant de la tête.

Après avoir débarrassé, les hommes ont continué à discuter sans m'adresser la parole.
Je suis restée debout ne sachant si je devais aller me coucher, attendant un signe au cas où ils aurait eu besoin de moi. Je suis restée une heure comme ça à me dodeliner d'un pied sur l'autre dans un coin de la pièce avant que Nick me dise que je pouvais aller me coucher car j'avais du travail le lendemain. Puis Nick et mon patron sont sortis ensemble prendre un dernier verre.

Le lendemain, je me suis levée à 7 heures, mais je n'ai pas eu le temps de manger. J'ai passé beaucoup de temps à essayer de dissimuler sous du rouge à levre et du fond de teint mes lèvres gonflées et j'étais inquiète de retourner au bureau dans cet état. Peut être que c'est pour cela que je suis arrivée un peu en retard. Mon patron est arrivé après moi . Il est passé peu après dans mon bureau pour me dire que les salariés l'avait informé que j'étais arrivée en retard, qu'il ne ma payait pas à rien faire, et qu'il ne faudrait pas que cela se reproduise. Je pensais qu'il n'en saurait rien et un peu confuse je me suis bien sûr engagée à respecter les horaires du bureau. Il m'a également demandée de ne pas manger au restaurant de l'entreprise car mes lèvres était susceptible de provoquer certains salariés. Il y avait déjà eu des remarques ce matin et j'ai bien sûr accepté.
Je n'avais pas prévu de repas et je ne me voyait pas sortir prendre au sandwich au kebab du coin avec mes lévres déformées. Je trouvais mes lèvres était vraiment horribles et, j'en étais sûr, tout le monde allait me regarder, et se moquer de moi.
Les bureaux devait être fermée pendant l'heure du repas et je ne voulais pas, après être déjà arrivée en retard ce main, avoir une nouvelle remarque de mon patron. J'ai préféré donc restée debout devant la porte de mon bureau et je n'ai donc pas pu manger. A 14h j'ai réouvert mon bureau commencé à travailler sur l'inventaire des fournitures, j'avais très mal au dos du fait de ma longue station debout, mais j'étais rassurée d'avoir fait ce qu'il fallait pour ne pas m'attirer de nouveaux reproches.

Je suis rentré vers 17h. Nick m'a appelée dans la soirée. Il avait été informé par mon patron de sa demande ne pas perturber le personnel. Il était bien sûr d'accord et pensait même que cela était une excellente idée. Quand je lui ai dit que je n'avais pas mangé car je ne voulais pas sortir comme ça, il m'a félicité et m'a dit que cela était au final un mal pour un bien. Je devais penser à préparer mes repas, car ce serait dorénavant toujours comme ça pas de restaurant ni de sortie, je devrais rester dans mon bureau toute la journée. Il me dit qu'en plus il passerait contrôler ce que je mangeais.

Le lendemain et le reste de la semaine mon patron était en déplacement. A par le matin et le soir je n'ai croisé aucun salariée pendant toute la semaine. la réserve était vraiment isolée. Comme demandé, je suis restée dans mon bureau et j'ai mangé le bouef et le gratin que je m'était préparée.

Nick passa avec Caroline le jeudi soir.
Ils me félicitèrent sur mes lèvres qui me donnait un air "très pute". Avec l'oedeme qui les doublait encore de volume, je ressemblais à une poupée gonflable. Nick s'excusa vaguement d'avoir du dire que c'était moi qui les avait choisi mais que c'était mieux ainsi pour moi.
Nick demanda à voir le plat que j'avais préparé et congelé pour cette semaine. Selon lui, la viande n'était pas pour les pauvres et j'avais trop peu de ressources pour gaspiller. Pour me faire passer le gout de la bonne chaire, tu ne mangera à partir de maintenant qe que des patates.
"On va te transformer en canard gras, engraissée à la pomme de terre", rajouta Caroline.
Nick me fit promettre de respecter à la lettre mon nouveau régime et pour faire plaisir à Caroline, j'en mangerai aussi le matin et rien d'autre.
Pour s'assurer de mon obeissance, Caroline demanda à Nick de me faire vider tout mon frigidaire et mes réserve dans un grand sac poubelle. Je ne devais avoir dorénavant chez moi que des pomme de terre. Il étaient tous les deux hilares. " on passera voir régulièrement ta prise de poids, tu as intéret à en plrendre sinon on te gavera à l'entonoir et au baton". J'en avais les larmes aux yeux.

Caroline elle semblait enchantée de venir faire ce petit stage et de s'occuper de moi pendant 15 jours. Elle arriverai Lundi. Elle me dit que j'allais en baver et qu'elle ferait en sorte de faire dévouvrir à mon patron les joie de ma présence à son service.
Elle voulait que j'aménage le bureau pour son arrivée. Elle m'a dit que mon patron lui avait demandé de prendre le grand fauteuil de la pièce d'à coté et qu'elle récupérait évidement mon bureau en attendant qu'on men octroie un nouveau. En attendant je pourrais m'installer sur un coin de son bureau.

Avant de me quitter Caroline sortit de son sac un magazine érotique avec que des filles avec des gros seins. Elle me dit que Nick l'avait acheté sur son conseil. Elle me demanda avec un sourire pervers de le feuilleter et de me masturber chaque soir en regardant bien tous ces gros nichons et en m'imaginant à la place de ces filles, contraintes dorénavant de poser nue pour vivre et nourir leur famille. "Un jour tu seras comme ça alors commence par t'habituer."
Je n'en pouvais plus de leur méchanceté, je leur ai dit que mon corps m'appartenait, et qu'ils ne pouvaient pas dire des choses comme cela, que cela me ferait du mal.
Je me suis pris une grosse gifle de Caroline qui me fit éclater en sanglorts. "Tu te prends pour qui petite pute? Tu nous appartiens, met toi bien ça dans le crâne et on fera de toi ce que qu'on voudra". "Et si tu ne fait pas ce qu'on te dit tu auras affaire à nous. Tu te masturbera comme je te l'ai dis chaque soir, crois moi!"
"Et qu'est ce qu'on fait quand on a du foutre plein les main et qu'on est une pute à gros seins et à grosse lèvres comme toi?" demanda nick
"Je .. je .. ne sais pas."
"Et bien on l'avale et on s'en fait un masque pout la nuit."
"Tu le feras n'est ce pas?"
Je hauchait la tête une nouvelle fois en larme.

Le soir après des pommes de terre à l'eau , j'ai pris le magazine pour le coucher. Ces femmes avaient toutes des seins énormes, et certaines très pendants. Il y en avait de toutes les races. Beaucoup avait mon age ou plus agée. En dernière page il y avait un post-it de Caroline. "tu prendras ce magazine partout avec toi dans mon sac à main. Je vérifierais"
Je me suis branlée en me répétant tout le temps "bientôt toi", "j'aurais des seins comme ça", "je dois obéir, pour caroline et Nick", "ils ont raison tu n'es qu'une pute". Malgrè l'odeur et la sensation visqueuse, j'ai ensuite aspiré le jus et essuyé mes mains sur mon visage avant de m'endormir.

Trip 3, chapitre 10, Sally reçoit son patron chez elle

En une heure difficile d'assurer comme un grand soir. Comme une zombie, j'ai préparé à manger sans m'en apercevoir. J'ai ouvert une boite de confis de canard de ma maman, une boite de haricot, une gousse d'ail, une glace en dessert, une bonne bouteille de vin ....
J'avais la tête complètement ailleurs, je me suis brulée, j'ai brulé les haricots. Je pleurais toutes les 2 minutes, oubliant ce que j'avais dans les mains et ce que je m'apprêtait à faire....

Nick était dans le fauteuil, à me dire de me dépêcher, me mettant une main aux fesses à chaque fois que je passais devant lui...

Je mis la nappe, mon service de porcelaine blanche, les bougies. 10 minutes avant l'arrivée de mon patron j'étais prête. Nick me fit asseoir prés de lui, attirant ma tête sur ses genoux me caressant les cheveux. Je haletais. Lui me disait qu'il n'avait jamais douté que j'y arriverais, qu'il était fier de moi. Mais maintenant il allait falloir assurer pour le repas. Je me souvenais alors que j'étais hideuse et ma bouche repris feu de plus belle. je me remis à pleurer, suppliant Nick de faire quelque chose, au moins de me laisser mettre une robe convenable. Je ne pouvais pas recevoir mon patron dans cette tenue.

Il me fit alors un grand sourire. Ok, tu as été à la hauteur, je vais te laisser mettre la robe que tu veux ce soir. Je me précipitais à ses genoux pour le remercier. Il me dit de me dépêcher qu'il n'allait plus tarder à présent.

Je couru dans ma chambre, pour passer en vitesse par dessus ma tenue une robe à fleur habillée et élégante. Puis j'allais dans la salle de bain voir comment faire au mieux pour mon maquillage. J'étais horrible avec cette bouche de poisson mais heureuse des paroles de Nick. J'avais le sourire malgré tout.

A l'heure dite, la sonnette. Nick me demanda d'aller à l'interphone et de sortir l'accueillir.

Il était sans sa femme, comme prévu. Bien habillé. Un bouquet de fleur qu'il me donna tout de suite. Je lui proposais de prendre son manteau et je suis allé tout de suite mettre les fleurs dans un vase.

Quand je revins vers eux au salon, mon patron remarquant mes lèvres eu l'air étonné mais ne dit rien. Je fis donc comme si de rien n'était. Nick me dit de nous servir un apéritif puis de venir m'asseoir prés de lui en me désignant la moquette entre son fauteuil et celui de mon patron.

Je me retrouvait donc à hauteur des genoux de ces 2 hommes. La conversation allait bon train. Après les formules d'usage et notamment les commentaires élogieux de mon patron sur mon travail, et les réponses de nick assurant que j'étais enchantée et que je lui avait parlé avec enthousiasme de mes nouvelles responsabilités et de mon nouveau bureau.
"N'est ce pas Sally?"
"Oui je suis ravie".
"Et comment cela se passe avec vos collègues"
"Beaucoup mieux".
"Je pense qu'il sont juste troublés par à votre présence. C'est suite à une idée de votre ami Nick que je vous ai affecté à ce poste et fait aménager à ce bureau. Cela est mieux ainsi. Je pense surtout au fonctionnement de l'entreprise. Cette mission vous convient mieux et je vous ai prés de moi. Une personne va venir vous donner un coup de main pour vos débuts. une stagiaire mais déjà très expérimentée. Je crois que vous la connaissez. C'est votre ami qui me l'a présentée. Elle s'appelle Caroline."

Trip 3, chapitre 9, Sally a de jolies lèvres

Je me préparais donc à recevoir mon patron.

Le Samedi, Nick passa me prendre. Il avait une surprise pour moi. Il m'emmena en voiture jusqu'à un institut de beauté. Il connaissait la patronne qui connaissait aussi Caro. Il me dit qu'ils avaient décidé de me faire maquiller par sa copine pour ce soir, pour fêter ma nouvelle promotion, "mon patron allait adorer"

Ils me firent installer, et discutèrent un moment de mon maquillage. Nick, voulait des lévres plus pulpeuses et des sourcils mieux dessinés. Je tentais bien de dire quelques chose, que je trouvais que le maquillage actuel était un peu trop appuyée, que cela ferait mieux avec les lèvres plus fines, ... mais visiblement ni l'un ni l'autre n'y prétait attention.

L'esthéticienne me démaquilla. Ils partiresnt ensuite discuter dans la pièce voisine avant de revenir m'annoncer que ils allaient me faire un maquillage permanent car cela me convenait le mieux.

J'étais attérée. Cela allait faire mal, cela serait surement raté, je deviendrais une bête de foire. Il m'asurérent que non, que la technique était "maitrisée". C'était de toute façon décidé et il m'assurérent que Lise était la meilleure esthéticienne de Paris pour le maquillage permanent.

Je n'étais pas plus rassurée. Je commençait à vouloir partir mais une gifle vint tout de suite me rappeler à l'ordre. Puis ils me coincérent le bras dans le dos. Ils m'attachérent les bras dans au fauteuil avec une corde qui me cillait les poignets.
Ils commencérent par me raser les sourcils, puis vient le tatouage. je voyais la pointe juste au dessus de mon oeil. Cela faisait horriblement mal. Pourtant j'étais térrorisées à l'idée de bouger.

En suite ils passèrent à la bouche. Cela faisait encore plus mal. Nick me tenait la tête fermement. J'avais l'impression que l'esthéticienne débordaient largement autour de ma bouche, qu'elle me dessinait une bouche monstrueuse. Nick l'encourageait en disant "et là et là" en désignant des zones non tatouées.

Au bout d'une heure ils me montrérent mon visage me lassant attaché. J'étais toute tuméfiée. Je ne vis que mes lèvres énormes et rouge sombre. J'étais horrifié, j'étais devenue un monstre. Je pleurais pendant que Lise et Nick, tout sourire, s'autocongratulant des choix qu'il avaient fait, me disant que cela m'allait parfaitement. Lise me donna de la créme réparatrice. Je tremblais comme une feuilleen l'étalant à l'aveugle sur mes lévres

Je géniais pendant que Lise me maquillait prenant soin de ne pas mettre de maquillage sur les zones traitées. Au bout d'une demi heure de gérémiade, Nick me pris un sein dans sa main et le pressa en me disant que cela suffisait.



Lise me dit qu'il ne ne valait mieux pas que je me maquille plus se soir et ils éclatérent de rire. Lise me maquilla les zones non traitées et je parti sans un regard à la glace.

En arivant je me regardait dans la glace. Mes lévres avaient encore grossies. elles était tuméfiées et trés épaisse maintenant. Elle étaient rouges et gonflées. et j'avais l'air d'un poupée gonflable Je me suis dit que jamais je ne pourrais recevoir mon patron dans cet état.

J'éssayais de les dissimuler sous du fond teint cela me piqua horriblement m'obligeant à me démaquiller les lévres en catastrophe, ce qui les rendis encore plus rouge.

Nick me fis mettre une jupe ras le kiki, mon patron arrivait dans une heure et je devais encore préparer le repas.

Trip 3, Chapitre 8 : Sally change de métier

Depuis notre repas, le regard de mon patron a changé. A la fois plus dur et plus froid, je le trouve pesant et distant. Il me parle plus durement, me réprimande, me critique.

Un collègue est venu pour savoir ce qui se passait, si je me sentais bien. Je lui ai dit que tout allait bien, il m'a demandé si j'avais besoin de soutien. Je luis ai dit que non, que j'étais bien. alors qu'en fait j'étais très déprimée.

Immédiatement j'allais informer mon patron de sa visite. Il me dit que j'avais eu raison que j'avais la bonne attitude. Qu'il fallait se méfier des autres salariés. Que des salariés s'étaient plaint de mon attitude et de ma tenue qu'ils jugeaient provocantes. Que c'était mon droit de m'habiller comme je le voulais.

Il me dit cependant qu'il étaient obligé de marquer le coup en envoyant un courrier officiel. Qu'il ne fallait pas m'inquiéter, que j'avais besoin d'être cadrée, qu'il faisait cela me protéger de mes collègues il allait m'affecter à un espace plus tranquille. Je le remerciait. ne sachant trop à quoi m'en tenir.

Effectivement je recevais le lendemain un RAR mettant en cause la baisse soudaine de la qualité de mon travail et la nécessite de me ressaisir, rappelant que mon maquillage outrancier et mes tenues légére mettait mal à l'aise mes collégues donnait une mauvaise image de la société à nos clients.

Ainsi mes collégues me méprisait. Je me sens de moins en moins sûre de moi.

Dés mon arrivé le lendemain mon patron me convoquait en me demandant si je souhaitais continuer à m'accoutrer de la sorte. Devant mon acquiescement silencieux il me citait plusieurs plainte de collégues puis m'annonçait qui serait alors nécessaire pour la bonne marche et la paix de l'entreprise d'envisager mon licenciement ... à moins que je signe le courrier qu'il avait préparé.

dans ce courrier, qu'il me demandais de recopier à la main, je demandais à être "affectée au service de la gestion des des archives et des stocks, afin d'être mis à distance des collégues que je ne pouvais plus supporter".

Une fois le document dument recopié et signé il me dit que je devais préparer mon départ immédiatement et déménager entre midi et 2 pendant la pose déjeuné pour ne pas géner le fonctionnement de l'entreprise. Le visage défait je préparais les cartons et les portais discrètement à l'heure dite;, en rasant les murs.

Mon bureau était triste et vieux. Mon patron passa après son déjeuner. Il me dit qu'il allait améliorer le mobilier et que je pouvais rentrer chez moi maintenant et prendre des congés jusqu'à vendredi. Que le plus dur était fait et que je n'aurait plus à me soucier de rien. Il me dit même que j'aurai une prime pour surmonter la situation qu'il regrettait tout autant que moi et de ne jamais oublier qu'il était mon seul soutien dans la société.

Lundi quand je suis retournée au travail, mon bureau avait été aménagé. Les rideaux avaient été changés, on m'avait mis au centre de mon bureau un fauteuil pullman en cuir trés confortable, mon bureau avait été changé deplace et mis face la porte, mon ordinateur tournée vers la fenêtre, donnait sur la réserve. Je n' avait pas de siège pour m'asseoier, mais le reste était si extraordinaire que j'oubliais vite ce petit oubli et je pris le tabouret qui était dans un coin.

J'étais toute heureuse et passait le reste de l'aprés midi à défaire mes cartons. Le soir mon patron me dit qu'il aller convoquer les salarié pour leur annoncer mes nouvelles responsabilité. que je pourrais entrendre la réunion depuis mon bureau mais que ce n'était pas la peine de venir. J'entendis en effet les gens se réunir et mon patron aborder différents sujet avant de finir la réunion en leur annoncant que j'avais demandé à être chargée de la gestion des locaux et de l'accueil des fournisseur et que j'avais demandé le bureau de la réserve. Il conclu en disant que les salariés devaient s'en référer à lui en cas de problème sur ces sujets.


Le lendemain je me sentais vraiment chez moi. Mon patron passa me donner les instruction pour la journée. Je lui dit que je n'avais pas de chaise mais que j'avais pris le taboutert. "bonne initiative Sally, continuez".



Le soir, avec l'accord de Nick je passais discretement à son bureau pour lui proposer avec ma petite voix de venir manger à la maison ce WE, pour le remercier. Il accepta, et s'excusa pour sa femme qui ne pourrait pas venir.

Trip 3, chapitre 7 : Sally assume

Le samedi suivi, j'étais invitée chez mon patron. L'aprés midi, Caro, la copine de Nick est passé pour m'apporter une jupe à elle. Une jupe droite, en cuir. Elle m'a dit "à tout à l'heure, 19h au bas de chez toi". Elle m'a fait un bisou sur la bouche.

Je suis à nouveau passée chez Sephora pour un maquillage de soirée. Depuis plus d'une semaine j'étais déjà maquillée trés "soirée" en journée, alors la maquilleuse a du un peu surenchérir pour justifier son travail . Je suis repartie avec des paillettes et des faux cils. Le soir en m'habillant je trouvais que le maquillage et la jupe noire cela faisait un peu trop. J'optais donc pour un chemisier et une petite chaine en or avec ma médaille de baptéme pour donner un mon look un peu tendancieux, un air de bonne famille.

A 19h, comme convenu l'interphone sonna, je descendais rejoindre Nick et sa copine qui m'attendaient en bas dans leur voiture.

En rentrant je m'apperçue qu'il y avait quelqu'un à l'arrière. c'était le copain de Nick qui m'avait ramené et j'avais du sucer la dernière fois. Celui là que mon patron croyait être mon nouveau copain et dont Nick m'avait dit que je n'entenderais plus parler. Tout de suite il me dit bonjour en mettant la main sur ma cuisse. J'étais pétrifiée. Je tentais d'ouvrir la porte. Nick dans le rétro me dit de me calmer qu'il y avait la sécurité enfant.

Il me dit que Bruno était un copain, que c'était un mec bien, et que cela se passerait bien. Qu'il avait pensé que ce serait bien que Bruno soit mon partenaire officiel ce soir car il voulait proposer à mon patron un deal et que cela serait mieux si je venais en couple, que se serait plus rnaturel et que mon patron aurait ainsi plus de facilité à discuter affaire. Que de toute façon mon patron attendait sa venu et ne comprendrait pas que je sois venu sans lui. J'approuvais qu'à demi rassurée. Il me dit alors que j'étais ravissante.

Sa copine me félicita à son tour. Me disant que je pouvais me détendre, qu'il était normal que Bruno assure son rôle aprés le diner de samadi dernier et que d'aprés ce qu'elle, Nick et maintenant Bruno savaient (et tout le monde rigola), ce n'étais vraiment pas la peine de jouer la mijorée. Je ne rigolais pas et m'enfoncait un peu plus dans le fauteuril, en essayant de penser à autre chose. Il ne servait à rien de résister.

Pendant tout le trajet, Bruno, m'embrassa dans le cou, me tirailla délicatement les tétons et me caressa les cuisses, me prenant la main pour me faire sentir son désir. Je résistait mais en arrivant j'étais ruisselante et déjà plus proche de lui qu'au moment du départ. Disont que nous étions à nouveau redevenu "intime".

La propriéte était une maison bourgeoise assez grande à une trentaine de km de Paris. Nos hôtes vinrent nous accueillir sur le peron. Tous sortirent sauf moi qui avait reçu l'ordre de me remaquiller la bouche qui avait un peu bavée. Ils plaisantérent avec mon patron en disant que j'étais une vrai blonde.

Quand je les rejoignis, ils étaitent dans le salon, pour l'apéritif. Ils étaient assis et eurent tous le loissir de me voir arriver, fardée, avec mes lévres bien rouges, mes talons, mon chemisier et ma jupe droitre en cuir. Nick siffla asez vulgairement. "je ne tai jamais vu aussi sexy". Mon patron acquiessa d'un mouvement (involontaire?) du menton, sans mot dire . Bruno commenta, et assura qu'il trouvait cela un peu vulgaire , mais que j'adorais être sexy et que l'essentiel c'était que je me sente bien, que je sois moi même, au moins dans le privé, à défaut de pouvoir l'être plus au bureau. Ce que je me sentais obligée de confirmer rouge de honte par un hochement de tête.

Il y avait plusieurs fauteuil de libre. Bruno me désigna un fauteuil. Il était profond et j'avais l'impression qu'on voyait jusqu'à ma petite culotte. Bruno intervint. "Sally, voyons, tu es indécente, viens te mettre prés de moi plutôt". Il me fit m'asseoir sur l'épaisse moquette entre le fauteuil de Nick et le sien. Je m'asseyais à l'emplacement désigné comme possible compte tenu de ma tenue. La jupe en cuir me contraignait à garder les cuisse serrées, je restais donc droite, à genoux.

La femme de mon patron qui était restée distante lors de notre repas de samedi dernier et avait semblé tiquée à mon arrivé, me classa dès lors définitivement classé dans la catégorie fille de ferme, bébéte, soumise, probablement facile, donc dans la case "quantité négligeable". Elle affichait une moue de mépris qui me fit baisser les yeux. Mon patron était attentif mais distant.

Bruno avait posé son rôle officiel de mâle dominant et Nick afficha ses convictions sur la place de la femme dans la société. Bruno et Nick mettait en avant une certaine autorité naturelle de l'homme, me prenant à témoins et n''hésitant pas à me faire confirmer leur propos. La femme de mon patron observait un silence génée avant d'approuver Caro qui notait immédiatement en me regardant que c'était plus vrai pour certaine femme que pour d'autre. Mon patron acquiesçait poliment.

Nous sommes ensuite passé à table. Bruno qui s'assit à mes coté posa sa main sur ma cuisse qu'il carressa doucement et ostensiblement sans se cacher de nos hôtes. Le début du repas était un peu protocolaire mais à force, cela finit presque par passer inaperçu. A table, la discussion allait bon train, le courant passait bien. L'alcool aidait les langues a se délier. Puis il y eu les blagues sur les blondes, auxquelles je me sentie obligée de répondre. La copine de Nick m'enfoncait : "et vous savez pourquoi... " hein Sally que c'est comme ça une blonde!?"

Au déssert, la femme de mon patron demanda de l'excuser, elle avait eu une dure journée. Elle nous souhaita une bonne faim de soirée. et affirma qu'elle était enchanté d'avoir pu faire plus ample connaissance. En disant cela elle semblait m'ignorer totalement, regardant les autres convives.

Après son départ, la discussion se relâcha encore un peu. Ils firent des grosses allusion, me demandant si j'étais une vrai blonde. Il me firent passer pour une fille facile, soumise, docile, ne sachant rien refuser. Bruno me tripotait de plus belle. "Hein ma belle, que tu aime tout en amour", j'approuvais tout, les yeux baissés, sans mot dire. Je me sentais humiliée, au bord des larmes. Les yeux de mon patron étincelaient.

Il devait étre 23h environ quand Nick aborda alors le business et demanda si il pouvait discuter avec mon patron en privé de ce dont ils avait parlé au téléphone. Il disparurent une demi heure environ. Lorsqu'ils revinrent Bruno et Caro m'avait fait enlever mon soutien gorge et reboutonné sur mes seins nus mon chemisier. J'avais aussi du enlever ma culotte sous ma jupe. A travers le chemisier, ils me pincaient les tétons à tour de rôle en me faisant boire.

Nick entra en premier dans la pièce. Je m'étais tournée vivement à leur arrivé et mon patron, je l'espérais, n'avait pas vu mon état, mais il pouvait le deviner car de dos j'imagine que l'absence de soutien gorge devait attirer le regard. Il gronda gentiment ses amis en leur disant de me laisser tranquille. Puis il dit qu'il était temps de partir. "Merci pour cet excellent repas" , "On fait comme on a dit"." Je pense qu'il faut partir maintenant, Sally a encore top bu". Mes bras sur les seins, rouge de honte, j'approuvais nick et me précipitais pour aller chercher mon manteaux et m'en couvrir.

J'attendis dix minutes avec mon manteau seule dans l'entrée, attendant qu'ils se disent au revoir et promettent de se revoir. Lorsqu'ils me rejoingnirent, mon patron vint me dire au revoir. Il me fit la bise, et me dit qu'il avait été enchanté de me connaître de façon plus "privée". Il me dit à Lundi.

Il était 23h30. Je rentrais avec Nick, Caro et Bruno.

Ils me déposérent et Bruno que je suçais depuis le départ et qui n'avait pas éjaculé demanda à Nick si je pouvais m'avoir pour la soirée. Nick lui dit "bien sûr", "mais ne l'esquinte pas trop hein!!"

Trip 3, Chapitre 6 : Sally Change de look

Nick m'appela dimanche soir pour me dire me dire qu'il passerait me prendre lundi après le bureau et me dire qu'il me voulait maquillée comme vendredi. je lui dit que c'était un maquillage de soir, que cela n'irait pas pour la journée mais il insista et j'acquiesçais.

Le lendemain, j'arrivais donc au travail. J'avais les levres rouges, avec un gloss brillant, les joue creusées au fard et les pommettes bien roses, mes yeux étaient noir charbon rehaussés d'or sur la paupière mobile te d'argent au creux de l'oeil. Les filles eurent un ragard génée, mais les garçons me firent des compliments. Mon patron en apparté, m'a dit qu'il avait passé une trés agréable soirée, qu'il m'avait trouvé très jolie, mais qu'il avait regretté que nous nous ayons si peu eu l'occasion de discuter ensemble, mais quil avait laissé faire la nature et qu'il avait trouvé notre rencontre avec ce jeune homme très touchante. Il conclu en me disant qu'il aimerait inviter mon ami en retour, que j'étais invité et que mon nouveau copain (dit il en me faisant un clin d'oeil) était bien évidemment le bien venu. Je m'offusquais, géné, mais mon maquillage et mon récent changement de look démentait mes propos. Je devais nécessairement être amoureuse.

Comme prévu le soir Nick vint me chercher. Il m'attendait dans la voiture. il me dit que j'étais trés jolie et je devrais me maquiller dorénavant tous les jours jour comme ça. Il me donna des nouvelle de son copain. Il me dit l'avoir "brieffé" sur moi et qu'il ne viendrait plus m'embêter. Effectivement il ne m'avait pas appelé dimanche, ni aujourd'hui. J'étais soulagé et je l'en remerciait.

Trip3 Chapitre 5 : Sally rencontre Bruno

Nick m'appela quelques jours plus tard. Il avait pensé à moi tout le temps. Il avait trés envie de moi. Il me dire qu'il voulait passer me prendre à la sortie du bureau et me raccompagner chez moi. Je lui donnait l'adresse. A 17 heure il m'appelait , il était arrivé en bas et me demandait de venir me chercher. il voulait voir ou je travaillais.

Je le présentais à mon patron comme un ami qui venait me rendre visite. Il se présenta comme journaliste dans un magazine économique régional. Il discutérent un moment. Mon patron lui donna sa carte puis nous partimes.

Sitôt dans la voiture, il me fit me tourner vers lui et me donna un giffle magistrale, me disant qu'il n'admetterait plus dorénavant que je porte des pantalons. Je lui dit que j'avais déjà fait des progrés, que je lui jurais que je n'en porterai plus qu'il n'aurait plus besoin de me gifler pour ça. J'étais en pleur, éffondrée. Il me fit le suçer pendant tout le trajet jusqu'à mon appart. A notre arrivé, il me fit lui remettre tous mes pantalons puis il me défonça littéralement le cul et me laissa là en me disant qu'il m'aimait. En partant il dit " A demain peut être".

J'avais 2 ou trois jupes trés classique, au dessus du genoux dans ma garde robe. Mes collégues ne m'avait jamais vu en jupe, mais dés le ledemain j'étais en jupe.

Au début j'était un peu rouge. mais j'ai vite oublié. Nick ne m'a pas appelé, ce jour là. j'étais triste. pendant 3 jours, rien. j'étais effondrée.

Enfin en rentrant du bureau, je trouvais dans ma boite au lettre un mot. "Je t'invite à une soirée chez moi" un taxi passera te chercher samedi soir à 22h. Je te veux sexy". signé "Nick".

Je prenais immédiatement rendez vous chez Séphora, pour un maquillage de soirée, pour le lendemain. Puis je passais la soirée à essayer toute ma garde robe afin de choisir la tenue qui me mettrait le plus en valeur.

Le lendemain, je demandais à la maquilleuse un maquillage "sexy", car j'étais invité par mon copain à un diner et je voulais le séduire. je passai sle reste de l'ap^rés midi à m'apreter, à me parfumer, à choisir mes bijoux.

A 22h comme convenu le taxi était là. J'arrivais chez Nick. un peu plus tard Ils étaient en train de finir de manger. 5 personne étaitent à table, Nick et son amie, un homme seul qu'il me présenta comme un ami et ... mon patron et sa femme!. Je prenais immédiatement Nick à part et le suppliait de laisser mon travail en dehors de notre relation. Il me dit de ne pas m'inquiéter. Qu'il l'avais invité uniquement pour des raioson professionnel, que je n'aurai qu'à tenir compagnie à son copain. Nick me plaça entre lui etBruno, son copain.

Bruno entrepris tout de suite de me draguer tout de suite. Je le comprends, jolie et apprété come j'étais, je faisais vraiment célibataire de sortie. Au début j'étais méfiante et sur les gardes. Mais tout le monde était gentil, l'ambiance était détendue, j'ai un peu bu. De son coté, Bruno avait le coeur brisé. Il venait de faire larguer par sa copine.

Il m'a dit qu'il me trouvait trés jolie. On a bien rigolé. Nick semblait me couver du regard mais ne disait rien. Je sentais qu'à être plus proche de son copain je lui paraissait gentille, voir que je suscitais en lui un début de sentiment de jalousie qui me rendrait plus désirable?

A chaque fois que je croisais sa copine dans le couloir ou à la cuisine, elle me frolait les fesses, la poitrine ou les cuisse, sans un mot, avec un regard lourd de convoitise. Lui, c'est dans la cuisine, qui passa sa main sous ma robe pour me masser les fesses en me disant qu'il me trouvait belle et en demandant d'aller me remaquiller et d'en profiter pour enlever ma culotte que.

Vers minuit il se faisait tard. la soirée touchait à sa fin. Son copain proposa de me racommpagner. En réponse à meon regard intérrogateur, Nick faire un signe d'acquiessement et j'acquiessais donc à mon tour avec le sourire. Je dit au revoir à mes hôte, à mon patron et à sa femme, avec lesquel j'avais trés peu discuté.

Le copain en question était vraiment collant, il insista lourdement, me tripotant, essayant d'atteindre mon entrecuisse. Il avait fermé sa voiture et je n'avais pas de culotte. Je voyais venir le moment où j'allais me faire violer. A force de discussion et à cours d'argument, je dus me résourdre à lui faire une pipe pour "le consoler" de sa salope de copine qui l'avait laissé tomber.

A 3 heures, le gout du sperme dans la bouche. je rejoignais enfin mon appart, épuissée.

Trip 3, Chapitre 4 : Sally est bien obligée de céder

Elle était debout devant ma tête lorsque j'entendis la porte s'ouvrir à nouveau et une autre personne rentrer dans la pièce. Prise de panique, et sans me rendant pas compte du ridicule de ma situsation à 4 pattes les fesses à l'air tournées vers la porte, je me redressais prête à repousser l'intrus, mais aussitôt ma copine marreta en m'attrapa les cheveux et me remena fermement la tête sur la moquett ou elle la maintin en l'écrasant avec son pied.

"Viens", "rentre", "regarde comme elle t'attend", "jolies fesses hein, je ne t' avais pas menti!". "et cochonne avec ça"!

Voilà comment je fus présentée au nouvelle arrivant. Un homme de toute évidence, d'après les chaussures que je pouvais voir du coin de l'oeil

"Viens mon chou, assis toi là".
"Comme je te l'ai longuement expliqué, cette petite pute a l'habitude des hommes pervers. Elle n'arrête pas de tomber sur des mecs qui l'humile et la frappe. Ca va pas la changer et tu vas bien t'amuser."
"Bon je vous laisse. Soyez sages . On fait comme convenu..."
Il n'avait toujours pas parlé et j'étais encore tétanisée par terre lorsque j'entendis la porte se refermer derrière mon amie.

Tout cela s'était passé super vite et ma déchéance était encore montée d'un cran. J'étais là à quatre pattes dans mon salon, la culotte sur les cuisses, les fesses nues et rouges tendues vers un inconnu qui connaissait de moi que les cotés le plus dégradants de ma vie intime .

Il me carressa la croupe d'une grosse main et descendi vers mon sexe encore caché par ma culotte baissée. Ils sorties les parties génitales et les saisies à pleine main. De son autre main il m'administra et fessée qui me laissa bouche bée et les yeux pleins de larmes. Je serais tombée sur le coté si il ne m'avait pas maintenue en position en serrant fermement .

J'etais complétement à sa merci et les fesses meurties comme jamais. Il me dit alors qu'il allait vistiter mon appart et que si je bougeais un cheveux il me donnerait une correctoions dont je me souviendrait longtemp. Les larmes aux yeux j'approuvais en hochant la tête. Il me lacha alors, se leva, et alla directement dans ma chambre pendant que je restais là à craindre et le pire mais n'osant bouger.

Je l'entendis ouvrir les tiroirs, les placards et quelques minutes plus tard revenir dans la pièce. Il me saisi à nouveau par les cheveux pour me soulever la tête à quelques centimytre de la moquette et me demander si le gros god qu'il vait trouvé dans ma table de chevet était bien le mien. J'acquiçais le visage rouge toujours tourné vers la moquette. Il demanda si cela me plairait de me montrer combien je l'aimais ce god. Toujours fermement tenue et sans autre choix, j'acquiéssais de nouveau. Il me tartina alors les fesse de crême (ma crême était rangée avec le god), m'attraps une main qu'il me fit passer entre les cuisses et me la guida j'usqu'au mandrin. Il appuya le gland du god sur mon anus et me dit d'y aller.

J'avais toujours la tête sur le sol et il s'était assis dans mon fauteuil. Pendant que je m'enfoncais tant bien que mal mon god devant lui, il me demanda combien de fois jutilisait ce god. "Toutes les semaines, parfois plus souvent". Si j'en avais d'autre. "Oui, au fond de mon armoire". Pourquoi je me goddais. "Pour devenir souple et accueillante". Si je le portais pour sortir. "Non, car c'est encore un peu trop dur". Si j'aimais qu'on m'oblige à le faire "oui et que j'avais besoin d'être guidée pour progresser".

Pendant que je lui répondait le god allais et venait maintenant profondememnt en moi. Il me dit alors de me mettre debout en gardant les yeux basissés, de retirer le gode et de le poser verticalement sur la table du salon et de venir avec lui dans ma chambre choisir des vétements car nous allions sortir. Il parlais de façcon autoritaire mais sans aggressivité. Pour la première fois je voyait en entier mais pas encore son visage même si je pouvais le devinerdu coin de l'oeil. Il étais petit (20cm de moins que moi) un peu fort, rasé, habillait de façon banal, légérement négligé, le monsieur tout le monde que je croise dans la rue tous les jours.


Il me fit passer devant lui et resta derrière moi lorque j'ouvris mon armoire. Il me demanda de choisir une tenue décontractée que nous allions faire un petit tour en bas de chez moi. Un short et des chaussures basse lui irait mais qu'il voulais un chemisier transparent ou très décolleté. Je suivais à la lettre ses instructions et choisi les vetements demandées que je disposais sur mon lit.

Il choisi ma tenue et sortit de la pièce en me demandant de m'habiller avec soin. il referma la porte et j'enfilais les vétements avec fébrillité : il avait choisi une culotte large et blanche, une paire de collant, un body, un short blanc très moulant, une paire de petit escarpins avec 3 cm de talons et pour le haut un soutien gorge blanc et un T-shirt vaporeux, assez décolleté. J'ouvris la porte de ma chambre toute tremblante. Il étais assis transquillement dansmon fauteuil et me regarda en souriant. C'est bien Sally, je suis content de ton obeissance, tu n'a pas à trembler, si tu continue à m'obeir sans poser de question tout se passera bien. Ca va tu es rassurée. Je dit un tout petit "oui".

Il me fit alors venir d'un geste. Je me présentais devant lui la tête baissée. Il demanda de m'agenouiller et de la sucer. Je m'executais immédiatement et sortais de son slip une bite encore molle que je saisie entre mes lévres. Pendant que je le sucais il me dit qu'il allait revenir et s'occuper de moi et que ce serait une des récompenses que je recevrait le plus souvent et qu'il espérait que j'y prenne rapidement le plus grand plaisir. Je lui montrais que j'aimais ça et m'appliquais à lui donner le maximum de plaisir. Il jouit assez vite dans ma bouche et j'avalais son sperme comme aimait que je le fasses mon précédent copain.

Il me fit me relever et m'envoya me faire un brin de toilette et me maquiller dans la salle de bain. il voulais un maquillage soutenu, me demanda combien de temps j'avais besoin et prendre tout ce dont j'avais besoin car il ne voulait pas me revoir avant que j'ai fini.

Après 20 minutes je demandais si je pouvais sortir. "C'est bon, montre moi le résultat", "Ok on y va". "Baisse ton short" Juste avant de sortir il me fit ouvrir mon short baisser mon collant, ouvrir mon body et baisser ma culotte. Il me graissa les fesse et me demanda de masseoir sur le god juste et de bien l'enfoncer puis en me demandant de bien le tenir il me remit ma culotte, agrafa mon body et remonta mes collant et mon short. P.uis il me demanda mon sac, pris les clès et ouvrit la porte pallière

C'est ainsi que nous primes ensemble l'assenseur. Il était peut être 15h, et il faisait très chaud. Suivant les instructions données dans l'ascensseur, je fis le tour du paté de maison alors que lui marhait derrière moi à une certaine distance.

Je rentrais moi vacillante et en sueur car le god m'affaiblissait beacoup. Une fois dans le hall je l'attendis, n'ayant pas les clès. Voyant l'assenceur descendre, je me cachais dans la cage d'escalier. C'est là qu'il me rejoint. Il me dit que j'avais bien fait mais qu'il faudrait que je m'habittue à mon image et que tout se passerait bien, que j'avais bien travaillé mais que pour la forme et parceque je n'était pas rester dans le hall, il aller me donner une petite claque. Il me demanda si je comprennais pourquoi il devait me la donner. je bassait les yeux en répondant à nouveau un petit "oui". Il me fit alors mettre à genoux et me donnea 2 petites claques puis alors que à bout, je sanglotais il me fit me relever et monter les 3 étages en me carressant les fesses.*

Une fois rentrée chez moi, il déposa les clès sur la table, me reconnada de prendre un bain et me demandade répondre impérativement à son prochain coup de fil en me diant qu'il me laisser mle reposer. Il me laissa son numéro sur un pos-tit et parti.

Je m'effondrait sur mon lit, enlevait le god et dormit jusqu'au lendemain matin.



Trip 3, Chapitre 3 : Sally est prise à son propre jeu

Ma copine était très exitée. Ses caresses étaint de plus en plus pressentes. Elle me pelotait maintenant les seins à pleines mains. Je commençais à ne pas être tout à fait rassurée. et montrais des signes de résistance.

Je demandais à rentrer. Ma copine fit la moue mais ne dit rien. Elle se calma immédiatement et nous discutames gentiment pendant encore une petite demi heure avant qu'elle ne remercisse nos hôtes et me propose de partir ensemble. Alors que nous étions devant ma voiture, elle me pris la main et me la serra tendrement en me faisant un baiser dans le cou. Elle me proposa de me raccompagner mais je lui dit que j'était fatiguée. Elle insista et je lui donnait mon adresse et téléphone pour que nous nous rencontrions le lendemain dimanche en début d'après midi.

Je rentrais et me branlais longuement en pensant à la soirée que nous venions de passer. Je n'aurais pas du résister, je le regrettais maintenant. Vers les 2h je m'endormie enfin le sourire aux levres, remplie d'espérance pour le lendemain.

A 13h mon amie sonna à la porte. j'avais réveillée vers les 10h et avais tout de suite entrepris de me préparer pour la recevoir. J'avais pris une douche, je m'était parfumée abondamment, je portais un désabillé transparent et un tablier par dessus. j'avais mangé tôt et m'était ensuite aussitôt mise à récurer toute la maison. je voulais qu'elle me trouve chez moi en bonne petite femme d'intérieur.

Alors que je rangeais, je veillais à mettre en évidence un certain nombre de choses utile. Dans les toilettes, un magazine d'annonce et un de confessions plutôt hard, sur mon lit des desssous sexy et mes plus hauts talons au pied de mon lits, dans le tiroir de ma table de nuit un god de trè sforte taille.

Lorsqu'elle sonna je parue étonnée, J''enlevais mes gants et l'invitait à faire le tour de mon appart, pendant que je défaissait rapidement et confuse mon tablier. Je lui montrais rapidement la chambre en prenant un air géné, et l'invitait à prendre un verre au salon.

Elle semblait très sûre d'elle et de sa position vis à vis de moi. Je me mis donc naturellemen à genoux à ses cotés pour la servir. Elle me pris la main et m'attira vers sa bouche pour un baissé langouseux auquel je erépondit avec abandon. Pendant qu'elle m'embrassait elle me carressait les fesses.

En me remettant à genoux je fis tomber un verre d'eau. Je me précipitais pour éponger l'eau à quatre patte devant elle. Elle me carressa la croupe d'une main ferme. je posais la tête par terre et tendait les fesses. Elle sortit alors de son fauteuil se mis derrière moi et souleva ma jupe baissa ma culotte et m'adminitra quelle que fessée, gentille plutôt émoustillante, lui permettant d'asseoir encore un peu plus son autorité. A la fin elle me demanda de rester dans cette position et me dot juste qu'elle erveniat bientôt avant de s'éclipser. Elle ouvrit la porte est sortit. je restait là la tête sur la moquette, les fesse à l'air, l'attendant alors que mon coeur battait la chamade

Elle revint après un long moment mais qui n'exéda pas à y réfléchir plus d'une dizaine de minute. J'entendi ses pas avec un certaine appréhension me demandant si c'était bien les siens, mais ses félicitations pour la position que j'avais su garder me rassura aussitôt.

Trip 3, Chapitre 2 : Sally se met dans une situation embarrassante

Le lendemain elle m'a rappelée pour m'inviter à nouveau et me présenter à une de ses amies. C'était à nouveau pour samedi et je dus attendre une semaine entière à m'ennuyer à la maison avant de retourner chez elle. Cette fois ci je m'habillais de façon plus accessible, toujours jupe droite mais plus courte et élastique, des talons un peu plus haut, un chemisier rose, un maquillage très étudiés, plus lolita.

Lorsque j'arrivais son amie était là. Elles discutait dans le salon, assise sur les fauteuils. Ma nouvelle amie me fit à nouveau la bise sur la bouche malgrè ma gêne et m'invita à la suivre en me mettant discretement la main aux fesses. . Je ne bronchais pas.

Elle me fit assoeir sur le canapé, à coté de son amie et s'assis à coté de moi. Les deux filles se trouvaient donc de part et d'autre de moi. Ma copine commença alors à raconté à son amie, mon histoire tout en me possant avec insistance la main suir la cuisse à l'orée de mes bas. Je baissais les yeux ne sachant plus ou me mettre et vidait d'un coup le verre de vodka orange qu'elle m'avait servi.

C'est à ce moment là que le copain de ma copine est rentré. Elles ont arrété de discuter de mon histoire mais on continuer à gliousser et se faire des messes basses. Lui ne sembailt pas comprendre mais sa curiosité était clairement en éveil.

Au moment de passer à table elle me plaça à coté de son amie et s'assit en fasse de moi avec son compganon. Pendant tout le repas elle me carressa avec le bout du pied sous la table et son amie voyant ça, m'effleura mine de rien plusieurs fois la cuisse du bout des doigts avec des yeux concupiscents et lourd de sous entendus. je me sentais comme une proie qu'on s'apprête à dévorer.

A la fin du repas on est repassé au salon, et on a reprit de l'alccol. J'étais gaie et la tête me tournait un peu je ne savais plus trop ce que je dissais. Jj'ai voulu aller aux toilettes. Lorsque je sortis, l'amie de ma copine m'attendait à la porte. Elle me demanda l'autorisation de m'enbrasser me disant qu'elle me trouvait très séduisante. Comme j'acquiéssait en bassaint les yeux, à la place d'un chaste bisou, j'eu le droit à un véritable patin et des carresses très appuyées sur les fesses et les seins. Elle me demanda alors de l'attendre et c'est ensemble que nous sommes revenues au salon.





Il était maintenant clair que je sortais avec elle. Elle était très proche de moi, la main ostensiblement posée sur ma cuisse, me carressant doucement. Puis très rapidement se fut les bisous dans le cou devant son couple d'ami qui semblait trouver cela tout à fait normal.

Trip 3, Chapitre 1 : Sally se fait des amis

Comme je ne connais personne dans la région, je contacte la société Tupperware et lui demande de me mettre en relation avec un groupe, car je dois acheter de la vaisselle. Je suis invitée à une soirée Tupperware, tout ce passe bien et je sympathise avec un petit groupe qui décide de continuer la soirée chez l'une d'entre elle et m'invite les accompagner. Je resiste un peu pour la forme mais suis bientôt entrainée sur le insistance.

L'après midi, nous avions un peu bu. Nous reprenons un petit apéritif en arrivant. Il est 18h30-19h. Je parle peu, elles parlent de mecs, de leur fantasmes. On boit encore. L'une d'entre elle propose de jouer au jeu de la vérité. Ele sont enthousiastes. Là encore je resiste pour la forme mais elle insistent et je suis bien obligée de céder à nouveau.

Elles commence par se poser mutuellement des questions sur les fantasmes des unes et des autres. Elles parlent très librement de fellation, de cunnilingus ou encore de sodomie. Je sens qu'elles se connaissent bien et qu'elles se sont plus ou moins mises toute d'accord pour me faire parler et en connaitre un peu plus sur moi.

Quand vient mon tour, je suis toute rouge. L'une d'entre elle me demande quand j'ai pour la dernière fois fait une fellation. Je baisse les yeux et lui dit que c'était sur un parking.

Elle sont toutes intéressée mais j'ai répondu alors mon tour passe Je pose à mon tour une question. Je la choisie très gentille, plutôt plus que les autres questions posées jusqu'alors. Puis c'est à nouveau moi qui est choisie pour répondre à une question. L'une d'entre elle me demande de décrire la scéne. Je lui dit que c'était il y a plusieurs mois. Que nous nous étions arretés avec mon ancien compagnon sur le parking d'une autoroute pour que j'ailles aux toilettes. Il était descendu pour me tenir la porte qui ne fermait pas. Mais il a eu une envie soudaine et m'a fait mettre à genoux et demandé de le prendre dans la bouche. Je ne sais pas dire non alors je l'ai sucé comme ça à genoux dans les toiletttes du parking dont la porte ne fermait même pas. J'ai arrété là mon histoire

Il était tard et certaines ont commencé à s'excuser et partir. J'en ai profité pour m'écliper, sans manquer de laisser à chaune mon téléphone au cas où elle souhaiteraient me revoir. j'ai ré-insister pour dire combien j'étais seule ici et que je connaissais personne.

Quinze jour plus tard , l'une d'entre elle m'a rappelé. Elle m'invitait à manger chez elle. J'étais enthousisate et j'ai promis de tout faire pour me libérer. Le lendemanin je confirmais.

Le repas était un samedi soir. Espérant que le mari serait là, j'ai mis beaucoup de soin à m'habiller comme j'aime, et comme je pense que beaucoup d'homme doivent apprécier : genre bourgeoise, révant de sexe, ou encore,plus concrêtement, sainte nitouche révant de se faire prendre sur la table de la cuisine : chemiser blanc, collier de perles, jupe droite, cheveux attachées petit talons, bas noirs, ... mais avec un petite touche provocante : maquillage soutenu, porte jarretelle visible sous la jupe sérreés, bague "o". Le genre de détails qui n'échappent pas au mâle à l'affût.

Il n'y avait pourtant pas d'homme ce soir là. Juste elle et moi. Très rapidement la conversation est revenu sur la table et j'ai raconté les yeux baissée la suite de l'histoire. Je lui ai dit qu'un gars avait tout vu et que j'avais du rentrer dans la voiture en pleure le visage plein de sperme. Je lui ai dit combien cela plaisait à mon copain de m'humilier, qu'il était très dominateur avec moi et qu'il me forçait souvent à faire des choses difficile pour moi car je suis très timide. Elle m'a demandé comment cela c'était fini avec lui, je lui ai dit que j'étais son juste son amante et qu'il m'avait laissée lorsqu'il était parti à Hong Kong pou sa boite.

On a un peu bu. Le soir nous nous sommes quitté bonne amie, en partant elle m'a discrétement carressé la fesse et fait un bisou sur la bouche (très chaste) en guise d'au revoir.

Trip 2 : Sally refait sa garde robe

Il fallait donc que je fasses des efforts et je savais dans quelle direction!
Dès le lendemein, , ma tenue avait déjà l'égérement changée. J'avais gardé un pantalon mais j'ai opté pour des talons plus haut de quelques centimétres et j'ai mis un vernis rose soutenu avec un rouge à lèvre plus foncé que d'habitude. Le résultat ne s'est pas fait attender : j'ai eu immédiatement des félicitation de mon patron qui m'a dit que j'était rès belle et que j'étais sur la bonne voie.

J'étais heureuse toute la journée après ça. J'e fredonnais même en nettoyant les toilettes. cela a du se remarquer et j'ai eu beaucoup de réflexions gentilles au cours de la journée. Le soir le patron m'a dit qu'il avait hâte d'être demain pour voir qu'elle heuresue surprise je lui réservais.
le soir j'ai pris rendez vous pour le lendemain 12h chez un coiffeur que m'a recommandé Nat, Palnet'hair à Montpellier. Certaines de nos consoeurs s'y rendent. Il était temps de changer ma coupe "années 70" pour une coupe actuelle.

Le soir je me suis fait plaisir, j'ai choisi une jolie culotte et j'ai mis un petit plug pour regarder la télé. ensuite je me suis branler longuement en pensant à ce qu'allar faire de moi mon patron si je lui laissais décider progressivement de mon habillement. A quoi allais ressembler? genre pute en mini jupe et talon aiguille, ou secrétaire en tailleur, voire chretienne intégriste ou une musulmane voilée?



Je passais en revu toutes ces féminités et leur implication sur la vie de tous les jours. Qu'allaient en penser les collégues et mon amie? Et mes connaissances si je les rencontrais dans la rue ? J'ai éjaculé dans ma mains et j'ai tout bu.

Trip 2 : Sally travaille bien mais peut mieux faire

Et je suis fondamentalement une fille facile. Je réve qu'on me mette la main au fesse, mine de rien en passant lorsque je fait la faisselle, dans le métro, le tram, les bius, au cinéma.... Mes les hommes n'osent pas. .. ou si peu. Qu'elle meilleur compiment qu'une main qui vous flatte la croupe?.

Je m'imagine au bureau, dans un cours de management. On nous à dit qu'il fallait parfois toucher son interlocutteur pour s'affirmer comme le leader d'un groupe. Je pense que cela commencera comme ca. Mon patron me touchera l'épaule, me fera m'assoeir à sa place pour me montrer quelque chose sur son écran et me re-touchera discrêtement l'épaule pour obtenir mon attention. Il sera aderrière moi de coté, de sorte que je sois à la hauteur de sa braguette lorsque je tourne la tête. Normalement un patron doit savoir lorsque son assistante est prête à tout. Il pourrait alors me félliciter pour les toilettes et demander si j'aime mon métier, et si je suis bien dans son entreprise.


Pour lui répondre je ne léverai pas les yeux, je les garderai baissés à hauteur de sa braguette. Je lui dirait combien ses félicitations me vont droit au coeur. Combien je souhaite m'épanouir et réussir dans son entreprise. Je lui demanderai alors ce qu'il pense de mon travail.

Il quittera sa place te me demandera de m'assoeir à sa petite table ronde, celle qu'il utilise pour les réunions pour qu'on en discute. Il me dira alors que je fais du très bon boulot. Que je suis très impliquée et qu'il souhaite me garder. Il abordera ensuite, les points à améliorer : ma tenue, trop classique à son goût et pas assez "vendeuse" compte tenu qu'en tant qu'attachée de direction, je représente la société plus que quiconque et que j'accueille nos clients et ses invités. Je lui dit que je suis d'accord, que je ne savais pas exactement ce qu'il voulait et que j'avais opter jusqu'alors un style sobre, pantalon et top avec talons de 2 à 3 cm maxi car je suis très grande mais que j'étais disposer à changer s'il considérait que c'était important. Je laui ai ensuite dit que j'étais timide et plutôt romantique, que ce ne serait pas facile pour moi mais que je voulais réussir à l'accompagner de mon mieux et lui prouver mon engagement et de mon professionnalisme. Il m'a répondu que c'était très bien qu'il n'en attendait pas moins de moi. Un coup de fil important est arrivé et je me suis eclipsé à ce moment.

Trip 2 : Sally au travail!

Je bosses beaucoup. mais en plus il faut que j'assure certaines tâches "spéciale". Ainsi, c'est moi qui suis chargée de faire la petite vaisselle et la propreté des toilettes, je fais ça le matin en arrivant mais aussi maintenant de plus en plus souvent la journée.

Je suis efficace et tout le monde se félicite de m'avoir. Cela fait une économie de femme de ménage, il y a toujours du papier et les toilettes sont propres.

Comme beaucoup de mes consoeurs, je suis une "pisseuse". Nous allons souvent au toilette. C'est pourquoi, peut être on trouve qu'il est légitime que je les nettoie.

En fait dès mon arrivé j'ai toujours fait bien attention à laisser les toilettes propre derrière moi. Un jour, les toilettes étaient très sales et un mail à circulé avec une photo de chiotte dégeulasse. Il était demandé que la personne qui avait salie devait nettoyer. Je suis aller aussitôt les nettoyer, car je ne voulais pas que qu'un des salariés se sente humilié. D'ailleurs, je n'imaginais pas quelqu'un d'autre s'en charger.

J'ai été félicité par tous et très rapidement tous ont pris l'habitude de m'appeler lorsqu'il y avait quelques chose à nettoyer. Suite à ces félicitation, très rapidement, je me suis aussi chargée de la petite vaisselle. Le matin en arrivant, lorsque je vois des tasses et verres dans l'évier je les nettoie.

Je prend un réel plaisir à avoir les mains dans l'évier lorsque les salariés rentrent. Qu'ils voient que je nettoie leur affaire me place indubitablement à une position féminine dans leur esprit. Je fais partie des chic fille, chic et gentille. Et entre gentille et naive il y a le même distance qu'entre naive et facile dans la pensée d'un mec.

Trip 1 : le chantage "Obeis sinon !"

D'un naturel docile et enjoué il m'arrive d'avoir quelques difficultés à obéir à des demandes particulièrement grave, souvent parce qu'elle mettent en péril ma sécurité. Notamment lorsque je ne me refuse à certains actes ou lorsque j'ai peur d'être présentée à certaines personnes sous mon vrai jour. Le plus souvent je m'exécute après une bonne giffle. Mais parfois, il faut me forcer et le chantage est la méthode la plus efficace.

J'ai peur qu'un jour on apprenne qui je suis. Que le postier le sache et en profite, que le gars qui fait la surveillance me coince dans un couloir et qu'il instaure progressivement un droit de cuissage, que ces copains viennent m'attendre à la sortie du bureau...



Bien sûr tous garde les formes, mais sans plus. Il ne veulent pas se compromettre. Au boulot les histoires de sexe font vite jaser. Alors il font juste des allusions, histoire se faire mousser et, qui sait, se faire de nouveau pote sur mon dos.

Voilà ce qu'il me disent dans les couloirs : "Alors il parait que tu t'es bien amusé hier?", "C'était bon? Tu étais en joyeuses compagnie hier en discothèque !", "mais tu changes tout le temps de mec !?. C'est dit suffisament discrêtement et suffisament fort à la fois pour qu'un tiers entende et créé la rumeur. Je les imagine déjà : "Sally a l'air de beaucoup sortir en ce moment. Elle sort avec quelqu'un de l'entreprise mais personne ne sait exactement qui c'est !" "Tu à remarqué qu'elle baisse les yeux quand elle croise X, je serait pas étonné qu'elle soit amoureuse"

Mes Fantasmes

J'aime m'imaginer soumise au désir d'un homme fort ou d'un groupe d'homme pervers qui abuse(nt) de moi, rencontre après rencontre.

J'aime les fantaisies réalistes. Ma préférée reste celle de l'Attachée de Direction humiliée par son patron et quelques employés de l'entreprise . Le patron connait mes goûts et mon petit secret, en abuse. Il me convoque à des réunions fort tard le soir. Je suis obligée de rester. Je dois aussi l'accompagner ou accompagner certains employés sur des salons ou en voyage. Mon amie ne sait rien. Je suis obligée de lui cacher car le patron m'y a obligée. Je serais virée sinon. Il veut que je vive cette vie de mensonge, la peur au ventre, que petit à petit je m'enfonce dans le mensonge jusqu'à l'entretenir moi même et m'y perdre défnitivement.

Lectures utilses pour devenir Une tigresse blanche

J'ai trouvé à la Fnac un petit livre de poche intitulé "comment faire l'amour à un homme". Très complet, très concret. On y trouve décrit en image de nombreuses technique de fellation et de masturbation qu'une femme peut pratiquée sur un homme. J'ai acheté aujourd'hui un lot de préservatif et un petit concombre pour tester la"méthode italienne", Il s'agit de mettre un préservatif à son partenaire avec la bouche. C'est plutôt facile. J'ai aussi acheter des préservatif piur femme. parait il que on peut les utilser pour le sex anal. Là par contre

Serais je un jour moi aussi une tigresse blanche ?

j'ai lu pendant mes congés dans les alpes de 7 au 15 aout un livre de Hsi Lai : "les enseignements sexelle de la tigresse blanche" (ou un titre approchant..). J'ai trouvé ce livre extraordinaire. Il raconte l'histoire et décrit les régles et méthodes utilisés par les tigresses blanches.

Les tigresses blanches sont des religieuse taoiste qui cherche à developper leur qi (leur énergie) lors de transse atteinte en pratiquant du sexe oral sur des "dragons verts". Un dragon vert est un homme, pas nécessairement vert(;-)) plutôt rassurant et respectueux, choisi selon des critères propre à chaque tigresse. Ce n'est ni un amis, ni une relation de travail, jusquet un homme choisi et séduit par la tigresse pour quelle récupére sa semence. Un dragon vert ne peux être vu que neuf fois. Si la tigresse le souhiate il peut être vue neuf fois encore en respectant une pause de 6 semaines

Les tigresse recoivent leur enseignement auprès de tigresse plus expérimentée qui leur fourni les dragons verts nécessaire à leur apprentissage. L'apprentissage dure 3 ans. Après 6 mois nécessaire à l'apprentissage des bases, les tigresse deviennent soit "errante", soit "en laisse". Dans ce cas elle vivent auprès d'un dragon de jade qui les entretient. Un dragon de Jade est un dragon vert qui a saisie la chance qui lui est faite et qui a montré ses capacités à accepter le mode de vie des tigresse et leur quête spirituelle.

Plusieurs capacité physique sont à developper afin de faire une bonne tigresse. Il faut tout d'abord être souple. S'entrainer à muscler et développer l'agilité et les capacité d'extension de sa langue. Le corps de la tigresse fait aussi l'objet d'une attention toute particulière. Traditionnellement, sa taille doit être fine, ses cheveux très longs, ses ongles et sa bouches rouges. Tout en elle, est orienté pour servir d'appat aux dragons vertd.

Des exercices de yoga sont décrit dans le livre pour acquérir la souplesse et la taille fine. Evidement même en image ces exercices semble assez complexes et j'aimerai bien rencontrer quelqu'un qui les partique déjà. Il y à aussi des exerciced à faire pour la langue. Un des exercices principaux consiste à étendre le frein de la langue j'usqu'à pouvoir retourner sa langue de telle manière à ce qu'elle rentre dans la cavité naso-pharingienne. Tous les jours je repousse un peu plus loin langue. C'est long mais l'enjeux m'exite terriblement et j'ai hate d'exercer mes nouvelles compétences.

Je suis depuis longtemps en quête de mysticisme, mais le puritanisme ne convient pas à mon caractère (ou alors il faudrait qu'il me soit imposé par quelqu'un de très pervers !). Le taoisme pratiqué par les tigresse blanche mèle tradition, mystique, acèse, exercices, sex, beauté, féminité. Il impose des limites (uniquement sex oral). Il permet d'atteinder des états de trans et promet une jeunesse éternelle. Il permet de développer et d'entretenir une double vie qui correspndrait bien à mon obscur.

Je vais continuer à m'entrainer durement, laisser pousser les cheveux et essayer d'apprendre l'exercice de yoga permettant d'affiner ma taille . Lorsque mes seins auront sufisment poussés et que je me serais définitivement débarrassé de toute pilosité superflue, je contacterait Hsi Lai pour qui me mette en contact evc une tigresse blanche ou un tigre blanc.

Mon apprentissage de la sexualité

J'ai ouvert ce blog pour partager avec mes lecteurs et lectrices, les expériences sexuelles qui concours aussi à l'affirmation de ma féminité. Ce blog est un des quelques rares témoignages de la face cachée de la transition MtF.
Je ne pense pas être une exception mais ne croyez pas non plus que toutes les trans sont comme ça. Je pense être plutôt trash... mais bon, tout ça, de mon point de vue, me semble parfaitement normal...